Toi et Moi

Chapitre 9: Une distance, une souffrance

  Je suis rentrée chez moi après cette épouvantable journée, Jack était pâle quand je l'avais quitté, il ne voulait pas en parlait de ce qui s'est passé. Il disait juste cela:

- Ils se sont moqué de toi alors je les ai interpellés et je les ai insultés ainsi j'ai commencé à un taper un de ces deux gars mais ils était deux donc ils m'ont mis la raclés et ils se sont barrés, mais ne t'inquiète pas, ça va aller, dit-il d'un ton lasse.

Comment ne pas inquiétée? Alors qu'il s'était fait tabasser par ma faute. En rentrant chez moi, je n'avais pas faim alors je monta dans ma chambre. On ne s'était pas parler de toute la soirée et s'était mieux ainsi, je lui parlerai demain. Dans la nuit, impossible de dormir, je ne cessais ne ressasser cette scène avant que je m'assoupis à une heure du matin.

C'était dans une forêt, elle ma l'air familière, ses comme si que je la connaissais. Et là, je vis Jack avec deux autres que je connaissais pas, quand je vis Jack tomber par terre, je compris qu'ils étaient en train de le tabasser.Il fallait que je fasse quelque chose mais quoi? Alors pour l'aider je décida de courir dans la direction des gars, pensant qu'ils allaient arrêtés mais en faite je n'ai fais qu'empirer les choses. Un des types me pris et me lança de l'autre bout de Jack, en se rapprochant de nous, il dit d'une voix sournoise et terrifiante:- Hey! Les gars je m'occupe d'elle, dit-il en s'avançant vers moi.

Je me réveilla en sueur et en tremblant, le souffle couper je regarda mon réveille et vis qu'il n'était que 4 heure du matin. Je me leva et prépara mes affaires pour me laver, autant faire quelque chose. Tandis que je me dirigeais vers la salle de bain, je ressassais mon rêve, cette voix était effrayante, non,même plus; elle était effroyablement terrifiante, ce qui me fis un frisson froid dans le dos. Je descendis, pris mon déjeuner, puis mon tel commença à vibrer dans ma poche, je le pris et regarda le numéro qui s'affichait, c'était Karelle:

- Salut, me lance-t-elle, ça va?

- Ça va et toi, dis-je en essayant que ma voix sois neutre.

- Oui, alors explique moi ce qui s'est passés avec Jack, dit-elle d'un ton enthousiasme.

Super maintenant je dois mentir à ma meilleure amie , je dois réfléchir à ce que je vais lui dire. Dois-je lui dire la vérité ou pas? Ceci est bien périlleux. J'étais perdu dans mes pensées quand j'entendis:

- OH! Je suis là, tu est toujours au téléphone Aliéna.

- Oui, oui, je suis là, je...... Euh....Réfléchissais à ce que j'allais te dire; dis-je sur un ton que je voulais pertinent.

- D'accord, j'écoute, dit-elle d'un ton joueuse.

- Je ne te dirais rien, tu n'as qu'à demandais à Jack; il te dira peut-être, dis-je sur le même ton qu'elle.

- Mais s'il te plaît.

- Non.

- D'accord je vais demander à Jack.

OUF! J'ai réussi à ne pas mentir et à ne pas la vérité. Je suis parti dans ma chambre et commença mes devoirs mais j'attendais avec importance un message ou un coup de téléphone de lui, mais rien, il ne s'était pas connecter sur Facebook ou même sur twitter. Je me demandais s'il va bien, je sens arriver une crise de panique, pendant cinq minute que ça à durer j'ai réussi a me calmée. Comme j'étais perturber, je décida alors de parler à son meilleur ami, Hunter. Il me disait qu'il avait eu des nouvelles mais sans plus. Comme personne ne savait où il était et pourquoi il ne répondait pas à mes appels. Je décida de me dirigeais vers la gare de Saint-Just et pris le train direction chez lui. J'alla dans la rue de chez lui en posant des tonne de question "Et s'il avait fais un malaise? Pourquoi n'est-il pas connecté et pourquoi ne répondit-il pas? J'arrive devant sa porta, devant chez ses parents, et prend mon courage à deux mains et toc:

- J'arrive, dit l'inconnu.

La porte s'ouvrir et je vis une silhouette de Jack mais en plus âgé, c'était son père, il se ressemblait comme de gouttes d'eau, je pris la parole:

- Bonjour, êtes-vous le père de Jack ? Dis-je sur un ton un peu timide, ce qui me surpris.

-Oui c'est cela, voulez-vous le voir ?

- Oui c'est cela, puis-je allée le voir ? Où est-il ? Dis-je impatiente.

- Oui, dans sa chambre, entrez, je vais vous y emmener.

Le père de Jack m'emmena dans sa chambre et me dit qu'il n'était pas sorti de sa chambre de la journée, et qu'il ne l'avait pas vu hier soir rentrer chez lui. Devant sa porte, je me demandais si ce n'était pas mieux de s'enfuir maintenant. Son père m'ayant laissé seule devant cette porte derrière laquelle se trouver l'homme que j'aimais. Je toqua et comme il se passait rien, je pris la parole et dis:

- Jack, ouvre c'est Aliéna, ouvre je t'en pris, parle moi, fais quelque chose, dis-je sur un ton d'impuissance et de désespoir .

La poignée de la porte bougea et la porte s'ouvrit, Jack était d'une pâleur extrême, ses yeux prouvaient qu'il n'avait point dormi de la nuit, ses joues étaient plus creuses que d'habitude. Tout cela me paraissait très inquiétant alors je pris la parole:

- Jack, quelque ne va pas ? dis-moi quelque chose, dis-je en entrant dans sa chambre.

J'attendais une réponse, ou je ne sais pas un signe qui me dise que ça va bien, rien! Je regardais ses yeux et je vis un immense vide comme si les ténèbres étaient entrain de m'inspirer alors je dis:

- Jack dis moi quelque chose n'importe quoi, mais parle, dis-je presque en le supplient de parler.

Jack soupira et pris la parole:

- D'accord mais d'abord il faut que tu t'assois sinon tu risque de tomber, dit-il sur un ton froid.

Je m'assis et le regarda fixement.

- Je t'aime plus, dit-il, je vais partir.

- Mais tu peux pas faire ça, explique moi pourquoi? Tu ne m'aimes plus ? Où je ne suis pas bien en fait c'est ça? Mais dis-moi, dis-je blessée.

- Oui c'est ça, je vais partir loin et je ne peux pas être avec une fille aussi niais que toi.Mais je veux que tu me promette que tu ne feras pas de bêtises et que tu ne mettras pas ta vie en danger, dit-il en me regardant d'un air plein de sous-entendus.q

- Tu m'aimes mais tu pars c'est ça?. Mais je dois te promettre ça mais tu n'est pas sérieux là !!!? Tu ne veux plus de moi et tu oses me menacer en me disant que je dois pas dire de conneries et me protéger, dis-je d'un ton énervé et que je voulais blessant, mais rien ne le fis changer de tête.

- C'est ça, promet le moi, dit-il en me prenant les bras.

- Oui je te le promets, dis-je à deux doigts de pleurer.

- Alors maintenant pars, c'est déjà assez dur de ne plus te voir alors s'il te plait vas-t'en!!! dit-il en me hurlant dessus.

- Mais ..... s'il te plait.......je vais partir....Au revoir, je croyais que tu étais le bon, que tu étais ma moitié mais je me suis trompée, comment ai-je pu tomber amoureuse de toi alors que tu ne veux même plus de moi.Pars !! Tu ne sais faire que ça...t'enfuir. T'es comme les autres gars, dis-je en essuyant mes larmes.

Je partie de chez lui en courant, je sentie mon cœur se fendre en deux et une douleur incessante dans la poitrine me vint, mon cœur saignait. Dans le train, je pleura, il allait partir, sois disant qu'il ne me laisserai jamais souffrir à cause de lui. Il m'a menti, comment -ai-je pu être aussi bête pour être tomber amoureuse de lui... En sortant du train, je sentie un vertige arriver, pourquoi lutter alors que maintenant ça ne sert à rien. Je commença à courir oubliant ce vertige, puis au bout d'une vingtaines de minutes environ je tomba sans pouvoir me relever.Une immense souffrance m'envahit et je sombra aussitôt dans les pommes. Je sorti de ma torpeur quand je senti soudainement que quelqu'un me souleva. C'était mon père, il m'avait ramené à la maison, donc ce n'était pas le fruit de mon imagination mais la triste réalité. La solitude, la souffrance ainsi que le désespoir me gagna.