Chapitre 10: Une impensable douleur

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      Depuis que Jack et moi nous étions plus ensemble je ne vivais plus, je restais la plupart du temps dans ma chambre avec des musiques triste. Je fessais de plus en plus de crises et cela mettais bien égale, pourquoi vivre? alors qu'un immense vide m'engouffre un peu plus chaque jour. Karelle ne me parlais plus parce qu'on s'était disputer car elle me disait que je me laissais abattre par la situation alors, au lieu de prendre sur moi je descendais au plus bas disait-elle. Prise de colère, je lui avais dis que je ne voulais plus jamais la voir et quelle ne me contacterai plus car je ne répondrais pas. Je ne parlais plus à personne, ne mangeais presque plus, ne travaillais presque plus. Jusqu'au jour où je fis un violent malaise en rentrant en cour de français, j'avais traverser à peine la porte que je tomba et me mise a convulser avec violence. Je sentis une déchirure dans ma tête, c'étais horrible, des secousses violentes arrivaient que j'avais l'impressions que le sol tremblais avec moi. Les convulsions s'arrêtèrent et je sombra dans un profond sommeil, sa m'avait manquée de dormir, ses si paisible, si calme. Je me réveillais à l'hôpital par un crie d'une infirmière:

- A trois on la soulève; un, deux, trois; dit-elle avec conviction.

     Puis me rendormie, c'étais mieux de mourir, que de rester dans ce monde avec un corps. et une âme vide. Pourquoi rester? Je ne suis plus rien.

J'étais au bord d'une falaise, assis, je me demandais de une pourquoi j'étais là? Et de deux pourquoi ici sur une falaise? Je vis une personne qui étais en bas , je la reconnaîtrais entre mille, c'étais lui , Jack. J'essaya de l'appeler, à chaque fois que je crier son nom il ne se retournais pas, il ne fis rien. Donc je pris la décisions de descendre, puis je le vis, il était magnifique, il brillait de partout. Il me sourit enfin se n'étais pas pour moi mais pour une autre. Je me retourna et le fixa, j'essaya de le taper mais il ne réagissais pas, s'était comme si il me voyait pas, je m'effondre par terre et pris la parole:

- Jack! Jack arrête de m'ignorer, s'il te plaît, regarde moi, dis-je en pleurant.

C'est comme si il m'avait entendu car il s'assis à côté de moi et me regarda puis il me pris dans ses bras et prit la parole à son tour:

- Tu es avec moi, tu es renté chez toi, dit-il en m'embrassant on restera ensemble jusqu'à la mort.

        Je me réveilla en train de crier et de pleurer, je tremblais comme une feuille. Ma mère et l'infirmière était arrivées d'une rapidité surprenante. Ma mère me demanda ce qu'il c'était passer, je lui dis que ce n'était qu'un cauchemar, quand mon père débarque dans la chambre et dis cela:

- Jeune fille, tu vas devoir faire des efforts, tu vas arrêtée de te laisser abattre et reprendre vie , c'est d'accord, dit-il sur un ton très sérieux qui auparavant je n'avais jamais entendu.

- Je vais essayer de faire, je te le promets, je vous le promets à tous les deux, dis-je sur un ton neutre.

- Il ne faut pas essayer, tu vas le faire, point barre.

- Okay.

           Je vais essayer de me remettre en forme pour mes parents, je sais pas comment je vais mis prendre mais je vais le faire. Cela fait trois mois qu'il est parti sans me donner de nouvelle , je repensais à mon rêve, c'étais bizarre tout de même mais avec cette phrase " tu es chez toi" et le mot "ensemble" et le baiser. Je n'y comprenais plus rien, est-ce que mon subconscient veut me faire passer un message? impossible Jack étais parti et il ne reviendra plus.            Enfin rentrais, je montèrent dans ma chambre , j'avais bien réfléchis pendant mon séjour à l'hôpital, de une j'allais faire plaisir à mes parents car depuis que Jack était partis je leurs faisait vivre un véritable enfer et de deux j'allais essayer de reparler à Karelle et lui expliquer pourquoi j'avais réagis de cette manière. J'avais supprimer son numéro et bloqué son compte Facebook, je me demandais comment vais-je faire pour lui parler et pour lui dire qu'il faut que l'on se voit. Je recherchais dans mes contactes papier s'il je l'avais pas barrer et par chance non je ne l'avais pas fais donc je décida de lui envoyer un message qui contenait:

- Karelle, je sais pas si un jour je vais réussir à avoir ton pardon mais ma meilleure amie me manque, je m'en veux tellement de ce que je te dis et fais. A ce moment là, j'étais en pleine dépression jusqu'au jour où j'ai fais une crise violente, ces là que j'ai compris qu'il fallait que je me reprenne ma vie comme avant et pour cela j'aimerai que l'on se voit pour que je t'explique donc on se rejoins au cinéma de Saint-Just à 14 h 00, Aliéna.

          Après ça, je suis descendu et j'ai proposé à ma mère de cuisiner avec elle et après j'irai voir Karelle en espérant qu'elle soit là. Ma mère souriait car on était ensemble, ça m'avait manqué de rire et de faire la folle avec elle.

- Cela fait du bien de rire avec toi, cela m'avait beaucoup manquée, dis-je en la serrant dans mes bras.

- C'est toi, ta personnalité qui m'avait manquer, dit-elle en me serrant à son tour.

Ensuit, j'alla dans ma chambre pour rangeait ce foutoir, puis je suis parti à Saint-Just. Ma mère m'avait dit que s'était à moi de faire le premier pas et de ne pas fuir dès qu'il faut que je m'explique. Mon père me déposa à la gare et je parti a pied jusqu'au cinéma. De loin, je vis Karelle, d'un coup un sentiment de peur est venue me submergée, je voulais fuir mais cette fois-ci je ne fuirais pas .Dés que je l'ai vu, elle avait l'air d'être fatiguée, ses yeux était rouge, je voyais qu'elle avait pleurer mais me tus, puis on marcha dans Saint-Just tout en lui expliquant, elle me pris la parole:

- Cela a du être dur, dire que s'était l'homme de ta vie , que t'allais vivre avec lui. Mais de la à me parler et à me rejetais comme tu la fais, je ne comprends pas , dit-elle sur un ton de colère.

- Je lui donnais mon cœur et lui il la brisé, et toi qui le répétait qu'il fallait pas se laisser abattre et qu'il fallait reprendre vie, mais je n'ai pris que conscience lors de mon séjour à l'hôpital, je sais que j'ai fait beaucoup de mal autour de moi, surtout à ma famille dont toi et mes parents, je croyais que c'étais lui mais non.  A chaque fois que j'étais avec toi et Hunter, des souvenirs remonter;  voilà pourquoi j'ai réagi comme ça, dis-je en colère et prise de tristesse.

- Dernier séjour à l'hôpital? Ta fait une crise! Ah oui tu me la dis dans ton message. Je crois que je viens de comprendre.

- Dis-moi, comment reprendre vie alors que ton cœur n'est plus en toi car il a était brisé en mille morceau? Dis-je sur un ton de dédain et une souffrance qui était toujours là.

- Je ne sais pas, dit-elle sur un ton neutre.

- Moi non plus, alors tu peux m'en vouloir pour ce que j'ai dis et fais mais tu n'as pas le droit de m'en vouloir pour ça, dis-je en sentant les larmes qui montèrent aux yeux.

- Je sais, dit-elle en pleurant, désolé de t'avoir laissée toute seule.

- Cela n'est pas de ta faute car je voulais voir personne et là je fais un énorme effort pour te dire tout ça mais le truc c'est  que je me demande si ses pas mieux de vivre dans les ténèbres, broyer du noir car tu vois, tu ne ressens plus rien à part la solitude qui te tue à petit feu, dis-je en pleurant à mon tour, donc arrête de t'excuse, OKAY!

-Okay! Tu m'as tellement manquer, dit-elle en me prenant dans ces bras.

- Moi aussi, dis-je le cœur alléger.

       Tout ça m'avait complètement retourner, j'avais pris conscience que les ténèbres n'étais pas toujours ténèbres et que la lumière n'étais pas toujours lumière. Ce soir, j'ai retrouver ma meilleure amie et je remercie le ciel de m'avoir accordé cette chance, demain sera meilleur. Ce matin tout va à merveille, je me prépare, déjeune et pars pour le lycée. Tout à coup mon petit monde tomba en miette, en ruine, quand je le vois; ici; devant mon lycée. C'est lui, c'est Jack. Il vient vers moi, qu'est-ce que je vais faire? J'ai envie de fuir, je me retourne et cour à toute vitesse.

Toi et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant