Prologue : Un lapin lunaire, Des pied nu, Un pardon !

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Cette jolie blonde semblait étrange mais gentille. Gentille mais étrange. Lorsqu'on a tendance à voir le monde à l'envers, nous accordons peu d'importe au sens des mots. Justement ce qui est amusant, c'est qu'une phrase en cache une autre. La jolie sorcière s'en amusé énormément c'est ainsi qu'elle passait son temps à lire à l'envers pour en découvrir le second sens. Les sorciers moins extravagant et plus monotone, parler de sous texte. Pourtant Luna avait beau se concentrer sur celui ci, elle ne voyait rien en dessous. Elle n'arrêtait pas de s'en faire, habituellement c'est elle qui voyait ce que les autres ne pouvait pas voir, et non l'inverse. Ainsi en ces temps de neiges ou Poudlard, cette merveilleuse école, était recouvert d'un drap blanc, elle commençait à croire que c'étaient bien les autres qui étaient étrange et elle, on ne peut plus normal. Pourtant elle entendait toujours se surnom « Loufoca » dans les couloirs de l'école. Surnom qui marquait ça différence ce qui avait tendance à faire sourire la Serdaigle. Mais... Si pour une histoire de sous texte, elle, était devenu banal pourquoi encore se surnom ? Décidément elle ne comprenait rien de ce monde, et reprit les rennes du sien ou elle se sentait en sécurité. Puis en fut sortie bien vite de part l'absence de ses affaires. Livre, t-shirt, chaussette, chaussure. Bon ça devenait une habitude. Mais Luna Lovegood plaignait sincèrement se qui faisait cela à répétition. Toujours les mêmes affaires, toujours la même blague, n'ont ils aucune imagination ? Se demandait elle, effarée par ses sorciers devenu si fou en une pensée. La jolie tête blonde se promena alors en sautillant dans tout le château. Elle passa tout les couloirs ainsi, puis bien des salles mais ça sans succès. Aucune trace de ses affaires dans le coin. Celle ci se demanda si c'étaient les lapins lunaires qui étaient descendu sur terre pour lui faire une farce et mettre ces affaires sur la lune. Comme un signe, pour elle qui s'appelle « Luna » cela est bien possible, n'est ce pas ? La sorcière reprit sa marche en se disant qu'elle ne retrouvera pas ses affaires de si tôt mais comment aller sur la lune ? Se posa t'elle. Enfouie dans cette pensé là Serdaigle ne prêtait plus attention au faite qu'il a des élèves à part elle qui empruntait ces couloirs. Elle sentit un choc, puis une barrière l'empêcha d'avancer. Wouah ! Un mur invisible se dit elle, de surprise ? Elle leva alors les yeux un tantinet plus haut, et vit alors son choc causé par un sorcier blond, le regard hautain, toujours cette tête héritante. Luna ne put s'empêcher de sourire, elle qui aimait pas montrer de la tristesse, n'ayant aucune raison d'en avoir.

« Tu ne compte pas t'excuser ? » Demanda t'il presque étonné, étant donné que selon ses dirent c'est elle qui l'heurta.

« 7 » Répondit elle simplement l'air amusé.

« Pardon ? » Reprit de plus belle le serpentard qui fronça les sourcils, ne comprenant en aucun cas sa réponse.

« Tu m'as demandé si je comptais « excuser » et c'est fait ! Il y a sept lettres. C'est vraiment pas compliqué. » Acheva t'elle, repensant qu'elle a plus eut à répondre à un problème aussi facile depuis des décennies. Puis, ce n'était pas tout ça, mais selon elle le plus important était cette bousculade. N'arrivant pas à comprendre comment le grand prince des serpentard a fait pour ne pas encore la réprimandait à se sujet. « Je ne sais pas quoi te dire, tu sais, j'ai strictement aucune idée de qui a bousculer qui en premier, il faudrait refaire la scène. La vrai question n'est pas de savoir qui doit s'excuser car cela est bien trop facile, regarde : Pardon ! Tu vois par contre savoir qui a heurter l'autre en premier. ça c'est beaucoup plus compliqué et c'est un mystère bien plus intéressant à résoudre. »

Après cette longue et vaine explication de la petite sorcière, le blondinet resta muet un moment toujours dans l'incompréhension. Puis se souvînt maintenant qui était devant lui, Luna Lovegood, la fille dites étrange, mais gentille, mais étrange. Il ricana intérieurement avant de se concentrer sur la partie de sa parole qu'il avait plus ou moins comprit.

Le fil rouge entre nos lignes [ Druna ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant