De la haine À l'amour

La pas de l'amour a la haine

Un baiser s'échangea entre les deux protagonistes. D'abord doux, il fut vite impérieux et emplis de passion. Après la légère surprise, Bruce repris le dessus et poussa l'homme sur le « lit » de la pièce.
- à nous deux, dit le chevalier noir.

Il entreprit de débarrasser son amant de son costume si particulier tandis que lui même se faisait débarrasser de son costume révélant ainsi son identité de millionnaire.
Bruce marqua le cou à porter de sa bouche se qui fit gémir son clown. Ce dernier ne resta pas sage longtemps et se mit à pétrir le derrière de son chasseur. Dans une râle masculine, la chauve souris dériva ses lèvres sur le torse pâle et balafré sous lui pour taquiner les tétons pointant fièrement. Le clown se cambra sous l'intensité des sensations, gémissant sans gène. Bruce continua de les maltraiter sans douceur, ce qui excita l'homme dans ses bras. Il pouvait sentir son excitation contre sa hanche ce qui le fit sourire de fierté. La bat se glissa le long du corps, en le parsemant de baisers brûlants et de morsures plus ou moins marquante. Une fois devant le sexe tendu, il le gratifia de lent coup de langue pour torturer son amant. Celui ci ne se laissa pas faire longtemps. Il prit voilement son tortionnaire par les cheveux et dans un mouvement de hanche, fourra la bouche chaude. Le Brun ne pu retenir un gémissement qui vibra sur le penis du coloré, et il fit de profond va et vient, faisant taper la verge au fond de sa gorge.
Le clown accorda l'es mouvement de son bassin avec ceux de Wane en gémissant et le traitant de catin. Il finit par venir dans la douce gorge de son homme et ce dernier avalant avec un sourire gourmand.
Après s'être redressé et ravager les lèvres du Joker pour partager son goût, il le retourna sur le ventre. Le  plus mince ria en disant que Bruce ne perdait pas son temps à faire dans la dentelle. D'ailler celui si écarta sans complexe les deux globes chaires et cracha sur le péri troué palpitant afin de l'humidifier. Il le caressa longuement faisant haleter et jurer son amant.  Amant qui poussa un crie tout sauf viril quand Bruce glissa un doigt au fond de lui touchant du premier coup la prostate de l'homme.
Pour reprendre contenance, le Joker se moqua de lui en parlant de la facilité qu'il a fait preuve pour trouver son point sensible. Alors il répondu à cette provocation d'une voix rauque et après avoir mordu son épaule qu'il s'était entraîner quand il était drogué à ses retour dans cette cellule.
Le clown en frissonnât d'un plaisir malsain puis poussa des cris indécent sous les assauts des doigts de Bruce. Car celui si en avait rajouter un second. Pendant qu'il le dilaté, il tâtonna le sol à la recherche de sa lampe de poche qu'il remplaça à la place de ses doigts. Le joker n'était plus qu'une masse gémissante. Il allait venir une seconde fois mais ne pu le faire car le Bat pris fermement sa verge et posa son pouce sur le gland pour gêner la jouissance. 
Le clown se mit à supplier son amant de venir lui défoncer le cul.
Touché dans son orgueil, Bruce retira l'objet et le jette au travers de la pièce et entra d'un seul coup de hanche dans l'étroitesse de son amant. Ce dernier se redressa pour avoir le meilleur angle du sexe du Bat en lui. Le dos collé contre le torse musclé et les bras sur la nuque du brun il se mouvait dans une danse sensuel.
Les deux hommes bougèrent de concert, se foutant de qui pouvait les entendre. Après de fort coup de hanches, le joker rendis les armes le premier se qui entraîna la jouissance de Bruce. Ils s'écroulèrent l'un sur l'autre, le souffle court et haché.
Quand leurs respiration se firent normal, Bruce cassa le silence dans une grande confession
- tu sais joker, je t'ai toujours aimé. D'abord par la haine, puis avec fascination et puis d'un amour malsain.
Il s'était tourner pour regarder les grands yeux noirs du coloré et il y vit que les sentiments y étaient réciproques.
Un baiser enflammé eu raison d'eux et ils s'endormirent dans les bras de l'autres.

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Un grand rire glaça le couloir de l'aile psychiatrique de l'asile d'Arkam.
- qu'était ce ? S'inquiéta la surveillante en stage.
- oh ça ? Répondît Gordon. Un vielle ami...
- c'est... flippant dit elle en se resserrant vers son instructeur.
- oui c'est comme ça tout les mois à cette date. Il rie de la même manière que son grand ennemi qu'il a tué il y a deux ans maintenant.
- vous ... voulez dire qu'il s'agit de Batman ? S'exclama t elle de surprise.
- oui... le grand Batman a sombré dans la folie peu de temps après la mort du joker. Et voilà deux ans qu'il c'est lui même enfermé dans l'ancienne cellule de sa némésis.
Les deux surveillants continuèrent leur ronde sous le rire hystérique et triste du célèbre Batman.

Et voilà la fin de ce os.
En espérant que cela vous aura plus autant que j'ai pris plaisir à l'écrire. A bientôt sur une autre de mes fictions.
Kiss ~