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Nayel

Je me leva ce matin mieux que jamais. Je me souvins la veille puis souris. C'était magique. Je me leva et enfila ma culotte ainsi que la chemise de Zûhir. Je me rappela de la scène d'hier quand je ne pu fermer les boutons. Je ris puis me promis de la recoudre. Je me saisis d'un téléphone et demanda à ce que l'on m'apporte deux petits déjeuner. Quelques minutes après on toqua à ma porte.
Je me lava les dents puis alla reveiller Zûhir. Je m'assis en tailleur puis pris sa tête sur mes genoux.
Je me mis à faire des papouilles sur ses joues, son cou et son torse. Je le vis se réveiller, tout souriant.

«-Salam aleykoum mon bébé.
Zûhir - Wa aleykoum salam ma princesse.
- Je t'ai pris un déjeuner.
Zûhir - T'es la meilleure. »

Je me baissa, embrassa sa joue puis il se redressa pour manger.

«Zûhir - T'es mignonne de bon matin.
- C'est pas comme ça tous les jours.
Zûhir - Il faut que je te fasse crier tous les soirs pour que tu me ramène le déjeuner le matin?
-Eh !»

Je lui mis un coup dans le bras et il rit.

«Zûhir -  Je rigole ! Mais tu m'as tuer ma chemise.
- Je suis désolée je vais la recoudre.
Zûhir - C'est pas un soucis ça t'en fais pas, mais voila je savais pas que t'étais une coquine tu cache bien ton jeu ! T'en pouvais plus d'attendre !
- Oh mon dieu on va en reparler toute la journée ?
Zûhir - Je suis pas prêt d'oublier cette nuit alors on va en parler des jours et des nuits.
- T'es relou.
Zûhir - Moi j'aime bien que ma femme sois coquine tant qu'elle ne l'est qu'avec moi.
- Avec qui d'autre veux-tu que je le sois ?
Zûhir - Fais moi un câlin. »

Je me baissa au niveau de son cou et vint nicher mon nez dedans. Je déposa un bisou puis alla pour me relever quand je sentis une légère claque sur mes fesses.

«Ma petite coquine à moi.»

Je ris puis on continua de manger. Je savais pas que Zûhir avait un esprit aussi tordue, mais après tout il restait un homme avec des envies.

[...]

On sortit de la douche qu'on avait prit à deux. On était de jeunes mariés et on inaugurait ce genre de moment. Je vous rassure il ne s'était rien passé appart des caresses et des bisous. Je sortis, enfila un peignoir puis chercha des vêtements dans ma valise. On allait visiter la ville.

J'alla ensuite me maquiller légèrement : mascara, poudre et un léger rouge à lèvre brun/nudes

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J'alla ensuite me maquiller légèrement : mascara, poudre et un léger rouge à lèvre brun/nudes.
Je laissa mes cheveux comme la veille : raie au milieu, wavy avec quelques ondulations.

je rejoins Zûhir qui m'attendait assis sur le lit. Il m'embrassa la joue et me guida vers la porte, de nouveau la main sur mes fesses.

Zûhir «Retour en terre natale»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant