Partie 58

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"Elle me répond que de toute façon que les gros comme moi ne l'intéresse pas, qu'un gars comme moi l'utilisera, lui fera la misère et la délaissera. Je ne comprend pas, pourquoi elle me dit ça, je vais pas lui faire à la Dsk. "

Je savais pas comment ça se passait au niveau des repas, j'avais donc pris de l'argent.

Aymen : Tu as ramené à graille ?

Moi : Non.

Aymen : Ça te dit on va manger dehors il y'a un snack à côté ?

Maria : Je viens avec vous.

Moi : C'est d'accord.

On y va, on mange tranquillement.

Maria : Alors pas trop dur ?

Moi : Il faut avoir un coeur solide pour les voir dans cette état là.

Maria : C'est pas un métier facile.

Moi : Je sais.

Aymen : En plus t'es là pour les deux semaines avant Noël, t'as de la chance tu pourra les voir sourire en décorant l'étage et l'air de jeu.

Moi : C'est bien alors.

Maria : Et vis à vis des gens de l'équipe ça va?

Moi : Oui vous avez l'air tous bien, il y'a juste Malika qui a l'air froide.

Maria : Elle a toujours été comme ça.

Moi : Et la secrétaire ressemble beaucoup à mehdi.

Aymen : C'est sa soeur.

Moi : C'est un hôpital familiale ?

Maria : Oui *rire*

Moi : Ils ont l'air sympas.

Maria : Ils le sont.

On fini de manger, et on retourne travailler.
Je passe en duo avec Maria , je suis ce qu'elle fait. Sandra et Malika avaient fait le repas du midi. Il y avait certains traitements qu'ils restaient à donner, et des vérifications, aux niveau de certains patients.

Maria : Il a l'air de bien t'aimer Aymen.

Moi : Ah bon?

Maria : C'est un dragueur, mais méfie toi.

Moi : Pourquoi?

Maria : Il a dragué la petite soeur à Mehdi et Malika. Justement Malika est son ex mais maintenant elle est sur Mehdi.

Moi : Sérieux, et la petite soeur de Mehdi elle l'aime Aymen ?

Maria : Non mais va savoir si il a pas déjà une meuf mais par contre il est super sympa mais il aime trop les femmes.

Moi : Vaux mieux l'avoir en ami en faite ?

Maria : Tout à fait.

Moi : Tu as quelqu'un toi?

Maria : Oui, ça fait 2 ans avec mon copain mais c'est tendu vu que je suis moitié algérienne et italienne c'est compliqué mon père est musulman et mon copain est un français espagnol.

Moi : Ton père veux un musulman?

Maria : Oui.

Moi : Aïe la galère.

Maria : Et toi tu as quelqu'un ?

Moi : Non pas vraiment.

Maria : Si Aymen le sait il va pas perdre un instant *rire*.

Moi : Mais non. *rire*

Je vous passe le reste de la journée.
C'était une journée riche en émotions par rapport aux petits enfants malade mais au niveau équipe ça gère à part Malika mais Je m'en fiche d'elle.

Mehdi voulait absolument me voir.
Je toque à son bureau.
J'entre.

Mehdi : Alors comment vas tu?

Moi : Je vais bien.

Mehdi : Pas trop dur?

Moi : Un peu.

Mehdi : C'est les risque du métier.

Moi : Oui.

Mehdi : Tu te sent bien au saint de l'équipe ?

Moi : Oui, vraiment tout vas bien.

Mehdi : D'accord, Je t'ai imprimé ton emplois du temps.

Moi : Merci.

Mehdi : À demain Nayla, passe une bonne fin de journée.

Moi : Merci à toi aussi Mehdi.

Je rentre chez moi.
Il est 17h.
J'arrive en bas de mon bloc,
Je vois qu'il y'a Sofian.
Il s'approche de moi et je fait demi-tour vers le parc.

Sofian : Nayla attend.

Moi : Non.

Sofian : Je veux te parler.

Moi : Je veux plus avoir à faire à toi.

Sofian : Mais faut que je te parle Nayla.

Moi : Je te laisse 5 minutes.

On va jusqu'au parc. On s'assoit sur un banc.

Sofian : Je voulais pas te dire toute ses choses mais tu m'a mit tellement les nerfs.

Moi : Tu m'a tellement déçu.

Sofian : Je me suis sentit remplacé.

Moi : Je vais pas te mentir Je t'ai un peux remplacé par Reda mais c'est inconsciemment.

Sofian : Guetlek inconsciemment t'es sah tu me remplace par un con comme ça?

Moi : Tu le connaît pas.

Sofian : Je m'en baleck.

Moi : Il m'a soutenu quand j'avais le plus besoin de toi, toi tu m'a laissé tombé sans raison.

Sofian : J'avais mes raisons.

Moi : Lesquel ?

Sofian : J'avais besoin de temps.

Moi : Pourquoi?

Sofian : Pour t'oublier.

Moi : Pourquoi?

Sofian : Nayla j'étais amoureux de toi.

Suite prochainement..

À force de trop l'aimer j'ai fini par me détester.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant