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J'avais vu ma vie défiler sous mes yeux hier soir .et voir Walette autant effrayée m'a fait comprendre que je tenais à elle .si on s'était faites prendre je me serais sentie tellement coupable! C'est vrai quoi elle m'a quand même suivi sans savoir dans quoi je l'entrainais. Ça prouve beaucoup. Elle voulait sûrement se faire totalement pardonnée pour m'avoir poucave (balancer). En tout cas je lui suis reconnaissante.

Ce matin fatima est venue avec Walette certainement pour parler de ce dont tous le village parle .c'est à dire notre escapade d'hier soir.

J'étais avec Walette assise dehors devant notre tente entrain de faire du thé pour nos meres. Quand je sorti un jeu de carte de la poche de ma robe.

-hé Layla !!-Cria Walette en tapant dans sa main.

-ne cris pas sa .

-QUI A T'IL ? -nous demanda fatima de l'intérieur de la case.

-TOUT VA BIEN. - répondu Walette.

-on joue a 151 ?

-Layla c'est interdit.

-et alors est ce que ces gens sont Dieu pour nous donner des ordres ?

-...............

-bon laisse je ne vais pas t'obliger non plus , en tout cas je pensais pas que tu étais une soumise.

-je ne suis pas une soumise, donne moi ces carte .-dit t-elle en prenant les cartes de mes mains.

On jouait aux cartes tranquillement sans se soucier de leurs foutus lois .on passa des heures à jouer aux cartes . Walette et sa mère on mangé le repas en notre compagnie.

Sans demander ma mère je pris le repas de mon père et partis avec Walette pour le lui donner .Sur la route quand on traversaient le marcher il y avait de la foule rassemblée sur la place publique quand on s'approcha pour voir: L'HORREUR.

C'était encore ces djiadistes, mais cette fois ils ne se contentaient pas de fouetter les personnes qui se rebellaient sur la place public.

Il y avait deux hommes enterrés dans le sable et seul leurs têtes étaient à la surface. L'un d'entre "eux"(pour les gens pas très malin je parle des djiadistes ) qui parlait en arabe et un autre qui traduisait.

-ces personnes ont été surpris non loin du lieu où mes hommes ont été agressés. Ils jurent être innocent et même si c'est le cas ils étaient dehors après le crépuscule, ce qui interdit. Comme si ça ne suffisait pas ils avaient l'intention de planifier une rébellion. Ils disent avoir des complices et je conseille à ces complices d'abandonner l'idée de rébellion si ils ne veulent pas subir le même sort.
Nous ne permettrons aucune forme de rébellion.
Et aujourd'hui nous allons vous montrer un exemple de ce que subiront les rebelles.

Il fit signe à ses hommes qui tenaient des pierres .ils se mirent alors à jetter les pierres sur eux .ils criaient de douleur mais ça n'empêchait pas ces djiadistes de continuer. Les pauvres hommes saignaient. Un avait perdu conscience ou était mort ?

A cette pensée j'attrape le bras de Walette et quitta cet endroit choquée. Comment peut on être autant insensible ?

Arrivée un peu plus loin Walette s'arrêta au milieu de la route pensive.

-Walette es-ce que sava ?

-Layla tout ça c'est à cause de nous .

Était ce à cause de nous ?
Non ça n'était pas à cause de nous .si?Mais non ça ne pouvait être à cause de nous .

-non ce n'est pas de notre faute , leur chef a bien dit qu'ils avaient été surpris après le crépuscule dehors et ils étaient entrain de comploter une rébellion. Ils ont été courageux .....eux au moins n'étaient d'accord à l'idée de rester là à les regarder fai.......-disais-je pensive avant que Walette ne m'interrompe

-MAİS EUX ILS SONT MORT . MORT . ils ont décidé de se rebeller et maintenant ils sont MORT. VOILÀ OÙ ÇA AMÈNE TOUT ÇA POURQUOI NE PAS FAIRE CE QU'ON NOUS DEMANDE. LES REBELLES IRONS DANS LEUR TOMBE EN PREMIER. QU'EST CE QUE TU VEUX CHANGER DU HAUT DE TES 12 ANS ?
C'EST QU'ILS NOUS AURONS FAIT SI ILS NOUS AVAIENT ATTRA.......

- MAİS ILS nous ONT PAS EU WALETTE, EUX SONT PEUT ÊTRE MORT MAIS NOUS ON VIT WALETTE ON VIE ET MOI JE NE VEUX PAS VIVRE COMME ÇA. JE REFUSES .MÊME SI JE DOIT MOURIR JE SUIS PRÊTE.

-PAS MOI JE NE SUIS PAS PRÊTE À MOURIR POUR ÇA. .....
JE NE VEUX PAS ME REBELLER , Je je ne veux plus me rebeller .-elle dit la dernière phrase sur un ton calme en baissant la tête et en bégaiyant légèrement sans doute en redoutant ma réaction.

-ET BIEN PART , PART JE NE FRÉQUENTE PAS LES TAPETE MOI .

-MOI JE SUIS UNE TAPETE, ALORS JE TE RAPPELLE QUE CE N'EST PAS MON PÈRE QUI S'EST RABAISSÉ À SUPPLIER "CES GENS ".

-ÉVIDEMMENT TON PÈRE EST MORT .-j'étais prise par la colère je ne mesurait pas l'ampleur de mes mots .

J'ai laissé mon coeur à Tombouctou Où les histoires vivent. Découvrez maintenant