Chapitre 8: passé intérieur

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Après mes essais de teleportation je me sentais soudain lasse et fatigué.
Je rentrais doucement dans ma chambre, mon antre, mon sanctuaire lugubre... Et je me laissais tomber sur mon lit. Mon esprit complètement vidé, calme et reposé. Mes teleportation m'apportent certes de la  fatigue mais aussi une solitude d'esprit impressionnante, comme si je pouvais me rendre zen, comme une méditation. J'aime me teleporter, même si mes forces m'abandonne à l'instant d'après. J'aime sentir ce pouvoir puissant afflué en moi. Je me sens utile, comme si je pouvais être autre chose qu'une arme de destruction, entraîné au combat depuis mon enfance.
En parlant d'entraînement, je devrais bientôt aller dans ma salle de combat. C'est bientôt l'heure des court d'art martiaux et de sabre. Et si je dois m'échapper d'ici il me faut être plus forte et par conséquent m'entraîner à tuer. C'était difficile de se dire que je serais capable de tuer quand je suis arrivé au penssionat mais après on si fait. A vrai dire je ne ressens plus rien, plus aucune pitié. Ces sentiments on quitté mon corps il y a déjà plusieurs années. Amour, joie, tristesse, peur, stress tous ces sentiments ne font plus partie de mon cotidien depuis bien longtemps. J'ai sûrement développement cette heradiquation de mes sentiments pour mon bien être, ne plus être blessé et ne plus blessé personnes.
Mais je ne pense pas que se soit bon pour moi finalement. J'ai écrasé mes sentiments sans vraiment le vouloir et à présent je ne sais plus aimé, ni être heureuse. La peur est bien plus puissant que tous le reste donc il surgit encore de temps en temps.
C'est difficile, d'être froide et incessible au autre et à ces propres émotions. Mais je vie avec, je continue d'entreprendre les escaliers pour arriver finalement devant ma salle d'entraînement, j'entends déjà les cris des autres filles à travers la porte.
Je suis déjà quelques peut en retard.
J'entre sans me faire prié et je me change, mettant la tenu d'entraînement. Un simple pantalon de sport en cuire noir, un tee-shirt noir et des mitennes de protection en cuir, sans oublier les bandages de protection sur les avants bras.
Je saisie mon sabre sur le côté de la pièce. Un sabre spécial nous avait dit le directeur à notre arrivée à Coda et à moi. Il est lier à nous par un lien de sang, personne d'autres à part nous ne pouvons manier notre sabre, il est forgé à notre image. On nous avait prélevé une goute de sang et ils avaient forgé sa lame avec notre sang qu'ils avait scellé avec un sceau magique. Peut importe où nous allons nous pouvons ainsi faire apparaître notre sabre dans notre mains si nous le souhaitons. Mais malheureusement la salle est protégé par une sorte de champ de force magique annulant ainsi nos invocations. Dommage me direz-vous sa aurait été pratique pour  se révolté et se barré d'ici. Mon sabre est noir, le pomau est en tissu et en cuir sombre, sa lame est un mélange de fer et de pierre, du marbre noir, noir charbon. Un sabre à mon image, en effet, froid, sombre et dure. Je l'observais comme le premier jour où je l'avais reçu. Avec une administration infinie. J'avais un respect indescriptible pour lui, comme s'il avait une âme.
Alors que je sortais mon sabre de son fourau une fille passa à côté de mon et me donna un coup d'épaule volontaire bien sûr.

"Et fait un peu attention " me cracha t'elle à la figure

"Pardon ? Mais c'est toi qui m'a foncé dessus je te signale ! "Lui repondis-je

La jeune fille me regarda avec mépris et commença à se rapprocher dangereusement de moi.
Arriver devant moi elle pris mon menton avec sec doigts et me le releva pour que je puisse la regarder dans les yeux.
"Comment une aussi jolie jeune fille comme toi ose t'elle se mettre sur mon chemin ? Un conseil si tu tien à ta pauvre petite vie misérable ne passe plus dans mon chemin !"

Elle m'avait limite dis sa avec le ton le plus dégoûté et méprisant que j'avais jamais entendu.
Alors qu'elle repartait fier de ce qu'elle venait de profaner je lui attrapa une mèche de cheveux.
Des cheveux long et blond. Couleur blé doré et les yeux qui m'avait regardé avec tans de dégoût était marron orangé.
Je tira la fille qui venait de m'insulter vers moi avec une force étrange.
Le seul et unique sentiments qui avait persisté en moi et qui avait grandit telle un cancer toutes ces années, c'était la rage, le colère, le sentiment d'injustice qui vous fait ressentir la hargne et le feux brûlant du combat à son apogée!
Je la regardais avec rage, je pouvais voir le reflet de mes yeux dans les siens, un regard brûlant, enflammé.

"Ose encore me parler ainsi, sale cruche et je te fait ravaler ta touffes de cheveux agaçant ! "
lui avais-je dis avec un ton percent. Elle était apeuré sa ce voyait mais elle de se laissa pas avoir et ne silla pas.

"Comment ose tu ? Pour qui tu te prends pour me parler ainsi avec tes grands aire petite paysanne ? "

"Paysanne ?! Au moins la paysanne n'a pas peur de se casser un ongle lors des combats et elle ne met pas des heures à ce ponponer pour être la plus belle ! La paysanne, elle, a les pied sur terre et est prête à ce battre dans n'importe quelle situation. Elle au moins elle pourra survivre en cas de danger ! "
Je lui avais cracher ces mots a la figure. Elle était à moins de quelques centimètres de moi elle hurla alors avec hargne, ce débati et échappa à ma prise. Elle me regarda, complètement humilié devant ces camarades et les autres filles venu faire un cercle autour de nous.

"Très bien tu l'aura chercher vermine, je ne te laisserai pas une seconde de plus en vie ici ! JE TE BATTRAIS EN DUEL ICI ET MAINTENANT ! ! !"

Monde parallèle [ EN PAUSE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant