Monde parallèle [ EN PAUSE ]

Chapitre 9: Duel à mort

La jeune fille blonde venait de lancer un duel, était t'elle folle ? Ou inconsciente ? Un duel c'est comme un combat au sabre mais celui ci est sortie de son fourau la lame à l'aire, prête à trancher la chair de l'ennemie. Un duel veux aussi dire que le combat ne ce terminera qu'à la mort de l'adversaire. Non ce n'est pas une blague, ici à disastrouse school tous les coups son permis, y compris une mort prématuré, seul les élites d'entre les élites mérite de sévir ici.
La mort fait ainsi partis de notre cotidien c'est aussi pour cette raison que mes sentiments se sont oto effacer. La jeune blonde avait déjà sortie son sabre, un sabre doré, couleur soleil qui semble réfléchir la majesté de cette fille. Mais tout est nunuche chez cette fille au quoi ?!
Mon sabre en main je commence à le sortir de son enveloppe, et le doux bruissement du métal contre la parois du fourau me rend soudain extrêmement concentrer, me rappelant l'enjeux et le danger de la situation. Ceci n'est pas un jeux, c'est bien réelle et seul ma vie joue au jeux de la mort. C'est elle ou moi à présent et tout les coups son permis.
Notre professeur nous observe du coins de la pièce. Non il ne va pas nous arrêter, la règle veux que lors d'un duel il ne dois s'arrêter qu'à la mort d'un des participants et que personne ne dois l'interrompre.
C'est la règle.
La blonde me regarde alors avec un regard méprisant et haineux.
Soudain dans un cris de rage elle se mit à courir, que dis-je chargé dans ma direction avec la détermination d'une bête prête à tuer sa proie.
Rapide comme le vent je ne fie qu'un saut assez puissant pour passer au dessus d'elle et me posé à quelques mètre derrière. Complètement déboussolé la blonde me chercha longtemps puis compris seulement trente secondes plus tard  j'avais atterri derrière elle. Je la regardais avec un sourire moqueur puis je me ressaisit. Ce n'est pas un jeu !
Je fondit sur elle rapide comme le vent et arriver prés d'elle je brandit mon sabre dans la direction de ces côtes. Elle contra mon coup avec le sien et me renvoya en l'aire. Elle me projetta contre un mur. Le souffle coupé je me laissa tomber à genoux, essayant tant bien que mal de retrouver ma respiration. Mes poumons me brûlaient. Dès que mon souffle fus revenu jus à peine le temps de me relever que la blonde me frappa la tampe avec son pied m'envoyant valser à l'autre bout de la salle. Alors que je reprenais mes esprit je pouvais sentire un liquide poisseux sur le côté de mon visage.
Elle m'avait fait saigner cette garce !
Encore plus en colère je pris mon sabre et fonça de nouveau sur elle.
Plus rapide que tout a l'heure je réussi à la toucher à l'épaule, elle cria de douleur et s'écarta rapidement de moi. Je l'avais juste blessé et la blessure que je lui avais infliger était peu profondes. Frustré contre moi même je croisa les bras et lui sortie sur un ton amusé "si tu bouge autant ce combat ne finira jamais voyons. Soit résonable et laisse moi gagner."
J'avais terminé cette phrase en me projetant dans sa direction. Mais je fus arrêté net par le sabre de mon adversaire. Elle venait de réussir à me le planter dans mon flanc droit. Je me retira rapidement en me tordant de douleur. Alors que je me recroquevillai au sol comme une enfant en hurlant je pouvais l'entendre se rapprocher et ricanant.
"Alors petite paysanne, le combat te semblait trop long ? Ne t'en fait pas je vais y mettre un terme."
Mon coeur allait explosé, j'avais peur pour la première fois, de la mort, je ferma un instant les yeux, je les rouvrit gêné par une lumière aveuglante, mon sabre scintillait.
Il changa de couleur devant mes yeux ébahi. Il passa du noir ténébreux au blanc imaculer et alors que je me relevais je pus voir mes mèches de cheveux plus noir mais blanche elle aussi. Dans le reflet de mon propre sang sur le sol je pus constater que mes yeux aussi avait changé. Il étaient rouge écarlate comme mon sang.
Une force inconnue me releva et me donna la puissance nécessaire pour reprendre mon sabre et continuer le combat. Dans un cris guerrier je me précipita en direction de la jeune fille et avant qu'elle ne pus comprendre quoi que ce soit je la transperca de mon sabre, dans le ventre. Elle s'immobilisa, cracha du sang, et tombait en arrière frappant le sol assez violamant pour que tous comprenne que son corps était tombé sans vie. Inerte la jeune fille pattogais ainsi dans une mare de sang à même le sol. Ces yeux devenu vitreux prouvais ainsi à tous que je resortais victorieuse de ce duel. Elle m'avais chercher et elle m'avais trouver ainsi que la fin de sa vie.
A présent j'étais devenu, une meutriere. J'avais tuer quelqu'un et j'en étais consciente et du haut de mes 15 ans je sentais déjà le poids de mes remords peser sur mes épaules.
J'étais de nouveau seul dans mes sentiments détruit et mon âme piétiner et souillé du sang que je venais de versé. . .