Chapitre 4: Jeanne

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Le voyage n'avait pas été aussi long que je l'avais imaginer. J'avais enfaite dormis la plupart du temps, et t'en mieux car l'idée d'être assise dans un machin de plusieurs tonnes à des kilomètres du sol ne me rassurais pas vraiment...
Après avoir atterrie et récupérer nos bagages, on joua au Tetris pour rentrer toutes mes valises dans le coffre d'un taxi jaune. Eléa me râla dessus à ce propos pendent tout le trajet mais j'étais trop occuper à contempler avec émerveillement les gratte-ciels qui s'élevaient autour de nous. Cette ville est démentielle!
Des milliers de gens martelaient les trottoirs de leurs chaussures. Tous portaient des styles différents et plus extravagants les uns que les autres. Enfin un endroit dans ce monde où l'on peut être vraiment soit sans se cacher derrière des masques!
On arriva enfin à destination, devant un building de verre et de mentale à l'intérieur duquel se trouvait l'appartement de notre père. (oui, il est chef d'entreprise et possède plusieurs pied à terre)
Eléa, cette espèce de traitresse, me laissa porter toutes les valises jusqu'à l'ascenseur.
- Tu vas pas me dire que c'est trop fatiguant de transporter quelques valises sur même pas 10m?!
- C'est pas n'importe quelles valises! Ce sont MES valises! Elles pèsent au minimum 1 tonne chaque unes! déclarai-je fièrement.
Elle ne se donna même pas la peine de lâcher un soupir lasse ou de lever les yeux au ciel, la seule expression de ses yeux suffisait.
Quand on pénétra dans l'appartement, j'étais un peu déçu, je m'attendais à un appart' comme on en voit dans les séries américaines avec 7 pièce, décorer par un grand designer, avec des escaliers dans le vide, des canapés immenses et des lits en 240, un jacuzzi, une piscine intérieure !
Mais rien de tout ça, c'était un petit appartement tout simple avec deux chambres, UNE salle de bain et une pièce à vivre, il était blanc, épurer.
Eléa court vers les chambres, et bien sur elle choisis la plus grande.
- C'est pas juste! hurlai-je
- Si tu avais mis des baskets comme moi, tu aurais peut-être pus me rattraper ! cria-t-elle à travers l'appartement.
Je marche vers ma chambre en bougonnant et en trainant des pied, tirant mes valises derrière moi.
Je constate avec soulagement qu'il y un petit dressing dans la chambre, je regarde un peu autour de moi. Le dressing se trouve juste à côté de la porte, il y a un lit deux places avec les draps posé dessus, une petite coiffeuse et quelque étagère meuble la pièce, en face du lit une immense baies vitrées qui aller du sol au plafond offre une superbe vue sur New York et central Park.
Je commence à ranger mes top par couleurs dans les étagère .
Eléa fait éruptions dans ma chambre.
- Ah ouais elle n'est pas mal ta chambre ! s'exclame-t-elle en regardant autour d'elle.
Je passe la tête par la porte du dressing .
- Bah pourquoi tu as mis ta veste ? Tu sors ? demande-je.
- Ouaip, je vais en ville moi j'ai fini de m'installer.
Je fronce les sourcils.
- Tu pourrais m'attendre quand même!
Elle sourit.
- Non, parce que si j'attends que tu aies fini de ranger tes vêtement par couleurs et par marque, que tu range tout tes pinceaux à maquillage, demain matin on est encore là!
Je soupir en faisant la moue.
- Tu pourrais m'aider un peu au moins sœur indigne!
Elle soupir en laissant tomber sa tête en arrière .
Je fais des yeux de chien battu.
- S'il te plait!!!!!
- Ouais! c'est bon!
Elle enlève sa veste noir et la jette sur mon lit avant de me rejoindre dans le dressing .
Elle se baisse et attrape une pile de pull que j'avais soigneusement plier et les pose sur une étagère devant elle .
- Non ! Les pulls en cachemire ça va à côté des chemisiers ! l'interpelai-je.
Elle soupira et posa les pull sur la bonne étagère.
- Je vois pas pourquoi tu te fais chier à tout bien ranger, toute façon ils sont moches tes vêtements! dit-elle en prenant un porte manteaux.
Je lui jette un pull qui me passer sous la main dans la tête .
- Et toi t'est pas moche peut-être?
Elle fit une mine choquer et me relança le pull.
- Moins que toi déjà! s'écria-t-elle.
Je lui lance un top, elle me lance un soutien-gorge, je lui lance un foulard et bientôt à peu près tous mes vêtements vols à travers la pièce.
Au bout de quelque minute Eléa s'arrête et sort du dressing.
- Je t'ai un peu aidé, maintenant je veux sortir visiter un peu la ville.
Elle attrape sa veste et sort de l'appartement.
Et je me retrouve seule dans le dressing. Mes vêtements tout sauf ranger.
On pourrait croire qu'une tornade est passer dans la pièce.
La tornade Eléa...

The mortal sistersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant