Chapitre 8: Nouvelle rencontre

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Je pensais être seule quand une voix retenti derrière moi me faisant sursauter :

"J'ai pris la liberté de vous faire de renter chez moi, car je ne savais pas si vous alliez bien et puis vous auriez pu attraper froid dehors !"

Je tentais de voir qui m'adresser la parole, mais impossible.

"Excusez-moi, mais qui êtes-vous et où sommes-nous ?

-Ah, mais oui que suis-je bête, répondit la voix, une minute..."

Et la lumière fut, une jeune fille ou dame apparue à mes yeux, elle était très belle avec ses cheveux auburn qui descendaient jusqu'à sa taille et qui entouré un visage délicat aux traits chaleureux.

" Oui, donc, reprit-elle, je m'appelle Rosania, mais tu peux m'appeler Rosie. Et là, tu es dans ma maison, celle où j'habite avec mes parents. Et on est sous-terre, car avec toute cette herbe, c'est plus pratique, m'expliqua-t-elle

-Mais à part ça, où sommes-nous ? , lui demandais-je complétement perdu

-Bah, dans une des bulles, tu sais très bien qu'elles sont toutes différentes et d'ailleurs, toi, tu viens d'où ? T'as de bien étranges vêtements !

-Justement, je ne viens pas d'ici, je viens d'un autre monde, je ne sais pas si tu en as entendu parlé !

- Non, mais attend, tu veux dire que tu connais personne ici. Mais alors comment t'es arrivé ici ? Tu peux toujours rentrer chez toi ?

-Je ne sais pas comment t'expliquer, c'est très compliqué..."

Je n'eus pas le temps de continuer que le noir se fit autour de moi avant que je réapparaisse chez moi. Je me retrouvais dans mon lit sous ma couette, avec le jour traversant les rideaux. Je me levais, et tout en m'approchant de la fenêtre, je compris que je mettais absenté plus de 13 heures et que maintenant, une nouvelle journée commençait.

Cependant si je me suis réveillais sous ma couette, alors mon corps reste présent chez moi quand je suis dans cet endroit étrange ! Mais cela est illogique, car ça n'a pas toujours était le cas.

Coupant cours à mes réflexions sans queue ni tête, j'allais rejoindre mes grands-parents. Je fus accueilli par un : "La Belle au bois dormant à fini par se réveiller..." Qui m'a mise de mauvaises humeur, je détestais être jugée et critiquée.  

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