Death Is Everywhere [CHANBAEK/HUNHAN] {Tome 1; TERMINÉE}

CHAPITRE 1

Pdv Baekhyun :

(Apparence de Baekhyun dans l'histoire):

La fin du monde, la race humaine qui s’éteint, les morts qui reviennent à la vie, on ne voit ça que dans les livres, les films et les séries, on ne se dit jamais que ça pourrait nous arriver. Pourtant, aujourd’hui, plus de la moitié de la population sont devenus des assoiffés de sang, des bouffeurs de chair fraîche. Moi, je suis l’une des personnes restantes possédant un cerveau non éteint par un saleté de virus.

Avant tout ça, j’avais ma petite vie anodine de citoyens. J’allais à l’Université, rendais régulièrement visite à mes parents qui étaient tout ce que j’avais. Je travaillais dans un café pour me payer mon appart, en bref, une vie des plus normale.

Quand tout a commencé, l’armée à évacué la ville pour nous emmener en sécurité dans un campement loin du danger. J’espérais qu’ils aillent chercher mes parents qui habitaient dans la ville d’à côté. Malheureusement ce n’est jamais arrivé, et même l’armée disparaissait de plus en plus quand ils partaient en ravitaillement. J’étais désespéré, je n’avais personne et mes parents me manquaient, je priais pour qu’ils s’en soit sortis.

Enfin, je n’étais pas totalement seul. Au camp, j’avais fais la connaissance de deux personnes qui me sont devenus chers maintenant. Ils étaient comme moi, sans famille, sans personne. Alors on a appris à se connaître et maintenant ils sont tout pour moi. Quand le camp a été envahi par ces monstres, on s’est enfui tout les trois. Ça doit faire des mois que l’on est dehors, à espérer pour que nos vies redeviennent comme avant. Mais plus le temps passe, plus les morts vivants que nous appelons « rodeurs » se font nombreux.

Je souffle en rajoutant du bois pour garder notre feu debout. Je m'assis à côté de Luhan qui semble penseur.

(Apparence de Luhan dans l'histoire):

On est tous très fatigués, et c’est a peine si nous pouvons fermer un œil la nuit. La fatigue nous rend vulnérable, et je crains qu’un jour ça nous sera fatale.

-Il faut vraiment qu’on trouve une pharmacie, ou une maison n’ayant pas encore été fouillée, me dit le châtain.

-C’est ce qu’on fait depuis des jours, et on arrive toujours pas à mettre la main sur un fichu antibiotique.