BLEU AZUR

CHAPITRE 15: ASFIXIE

Je demandais alors au vieille homme:

Moi: <<- Vous pourriez peut être m'aider? Si cela ne serrais pas abusé votre gentillesse.>>

????: <<- Bien-sûr je suis là pour ça... Dit il en rigolant des quelques dents qui lui restaient>>

Je devais peut être rigoler mais s'était sérieux, si ce qu'il a dit était vrai c'était à la fois terrorisant que cool pour moi, après pour les autres je ne sais pas...
Si je pouvais vraiment faire tout ce qu'il dit c'est effrayant, vraiment, j'insiste, j'ai peur, je suis terrorisée! Gab se rapproche de moi et vient se coller à moi en me voyant grelotter dans mon coin. Le grand père continu en me tendant quelque livres poussiéreux:

????: <<- Prend le temps de les lires, les étudier, et tu verra, ça va t'aider, ils sont très anciens, mais très utiles! Prends en bien soin, ils sont à toi.>>

Moi: <<- Merci beaucoup. Dis je en souriant>>

????: <<- Mais de rien. Dit il en se levant et en repartant s'asseoir à une table à l'intérieur. >>

Stanley: <<- Bizarre le gars mais bon, on a appris ce que l'on voulait apprendre...>>

Lucas :<<- Tu m'étonnes qu'il est bizarre, il sent la clope froide mélangé à la vodka, désolé mais c'est deguelasse!>>

Moi: <<- On est d'accord, j'avais hâte qu'il parte... Dis-je en souriant ironiquement. >>

Gabriel: <<- Il est partit, nous disposons des informations que nous voulions. Il est partit, enfin...! J'avais peur qu'il reste encore, encore et encore!! >>

Je me colle à lui et le prend dans mes bras, il sourit et tente de me réchauffer en vint. Il me regarde, des ses magnifiques yeux bleu, des cheveux bruns, bruns comme les cyprès qui ornaient le café, j'étais en train de tomber amoureuse mais pour une fois, j'en étais heureuse, qu'est ce qu'il était beau quand même, oh mon dieu, oui, c'est lui que j'aime... Pour le moment, c'est avec lui et personne d'autre...