Hunter x Hunter / Wassilissa en pause

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                                                                         Média : les jumelles. Bonne lecture ! 

Il faisait nuit, froid, humide.

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Mais au final on s'habitue.

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303 ...

c'est 303 ixième lapin que j'égorgeais pour, sois disant, attirer les papillon. C'est vrai que des papillons, il n'en manquait pas, mais de l'action... Moi je la voyais pas ! Hisoka faisait son château de carte et Illumi avait les yeux fermés et détectait, à l'aide d'une puissance monstrueuse, les futurs ennemis, attendant que quelqu'un se présente alerté par tant de papillons. Mais personne n'avait la présence d'esprit de se dire que ce n'était pas un phénomène naturel. Et moi pendant ce temps là j'égorgeais toujours des lapins pour attirer les papillons. Pourquoi on me refilait toujours les taches ingrates ! 

304 ...

305....

306 ... 

Soudain on sentit plusieurs personnes avancer en notre direction. Et ben c'était pas trop tôt.

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Ah ! Les voilas qui arrivaient. C'était un groupe de trois personnes, ils dégageaient une force impressionnante. Mais, pas suffisante. On entendis Hisoka pouffer. C'est vrai qu'ils étaient drôle. En plus, ils croyaient qu'ils allaient me faire peur. Ils se mettent le doigt dans l'œil. Je remarque que le plus grand se mets à cracher. Et sans le vouloir je laisse un : 

- Beurk ! 

Il était plutôt mignon pourtant. Pff... Je suis déçue mais bon vu leur niveau, je m'attendais à quoi...

- Naniiii !!!! crie-t-il 

Je lui explique posément : 

- Cracher par terre en public, ce n'est pas des manières et si tu veux provoquer quelqu'un autant le faire avec plus de classe.

Les traits déformés par la rage, il se jette sur moi mais Hisoka se place devant lui son éternel sourire sur le visage.

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312... 

Tiens j'ai fini par y prendre gout, je sors un briquet de ma poche et brûle le tas de lapin et de papillon, essayant en vain de s'extirper des flammes destructrices. Personne ne peut échapper au feu, tout le monde le sait. Il laisse des traces indélébiles qui font atrocement mal. Mais la douleur réveille, elle fait souvent su bien. pauvre de moi, je ne la ressens plus depuis longtemps. Un homme du groupe des trois s'avance en courant silencieusement vers moi, il me saute à la gorge avec son sabre, les yeux fermés. Il enchaîne une pluie de coup que je pare avec facilité. A droite, maintenant à gauche, puis devant, encore à droite. Le schéma s'enchaîne se répète inlassablement de longues minutes. Il es fort. Mais comme je le disait depuis tout à l'heure pas assez. Je le saisi avec ma vitesse maximale à la gorge et lui ouvre ses yeux, des yeux rouges comme ceux de Kurapika. 

- Qu'es qu'ils ont tes yeux? Ils sont jolis alors pourquoi tu les laisses fermés. C'est du gâchis. 

Je saisis mes lames coincés dans mes manches ( en cas de besoin ) et lui sectionne les veines du cou. Le sang jaillit, mais je me rapproche de son visage et lui dit à l'oreille en perdant mon sourire : 

- Et tu sais ce que j'en fais des gens qui gaspille ?

Comme il ne me répondait pas malgré son pouls qui battait toujours, je lui répondis :