Hunter x Hunter / Wassilissa en pause

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Les arbres défilent tandis que le vent fouette mes cheveux roses. J'agrippe mes mains à la fourrure de Mickey le laissant aller jusqu'à la demeure des Zoldicks sans la moindre réflexion. Je croise la jeune femme qui garde la seule entrée de la propriété et lui fait un sourire narquois car la dernière fois que je l'avais croisé, s'était la première fois que je venais ici, et j'étais encore toute petite. Je sortais de la misère, je voulais de l'argent pour sauver le garçon que j'avais lâchement abandonné à son triste sort. J'avais réussi à ouvrir la 2 ème porte j'étais toute fière. Je m'avançais en direction de la deuxième entrée mais une fille me bloqua le passage. Elle me tabassait à coups de canne. Mais je me suis énervé alors je lui est tranché le ventre et je suis passé en la piétinant au passage. C'est pour ça qu'elle m'en veut maintenant, elle est rancunière n'est ce pas. Je sais moi aussi ça m'a surpris au début. Mickey s'arrête soudain. Ohhhhh.... Terminus tout le monde descend ! Enfin je suis seule donc bon. Je toque trois coup à la porte en bois avant d'entrer. Seul un grand hall froid m'accueille. Personne à l'horizon. Sympa l'accueil. Pourtant je suis comme un membre de la famille, non ? Enfin je ne pense pas vu la tête qu'ils tirent à chaque fois que je viens prendre mon salaire mais bon. Je bifurque à droite pour aller voir Killua qui, je suppose, est dans la salle de torture, si j'en crois les bruits de fouet. Quelle famille de boulet profonds, vraiment. Heureusement qu'ils ont de la tune. Sifflote, flotte, flotte. Fu fu ! Le bruit de mes pas sur le carrelage blanc retentit. Je suppose qu'ils m'ont déjà repéré mais ça va, je suis une habituée ici. Je rentrais  dans la salle en tapant dans la porte avec une force insoupçonnée.

- Yo, Miruki. Dis je d'une voix joyeuse. Je l'entendis murmurer :
- Tch, gamine.
En ricanant, je passais outre et m'avançais vers Killua qui ricanais luis aussi dans son coin. Je lui pinçais les joues et lui fis un bisous sur la joue.
- Tes amis t'attendent. Lui murmurais je à l'oreille.

Il me dévisage un instant puis me dit :

- Alors c'est toi l'informatrice. 

 Je me recule en souriant et claque la porte en gardant mon fidèle sourire. Je croise Zéno et lui fis un signe de la main, il ne me le rend pas et continue sa route un rictus sur les lèvres. Pff les Bourges alors.... Je sorts puis me dirige vers la demeure des domestiques.

-Salut les gars ! 

J'entends quelques cris puis tous me saluent avec enthousiasme. Décidant de me poser une petite semaine je me revêt des équipement spécialement crées à mesure. Il pèsent chacun 60 kilos, ça fait plutôt lourd. Cet enchaînement dura une semaine sachant que une fourchette pèse 60 kilos je commençais à fatiguer mais heureusement viens mon heure de délivrance.  Je sorts de la propriété et m'avance vers mon domestique Walraf qui va m'emmener à la Tour Céleste. Si vous voulez savoir comment je la connais simplement parce que deux candidats en parlaient durant l'examen ! C'est donc toute guillerette que je prends une jet privé pour partir à la Tour. 

- Mademoiselle !!!!

-Mademoiselle !!!! 

- Un autographe !!!! 

- Pouvez vous signez cette revue s'il vous plait !!!!

Les journalistes alors.... C'est essayant de passer jusqu'à l'entrée de la Tour que je me démenant bien que mal. J'ignore jusqu'alors que j'avais tant de fan... C'est plutôt drôle  ! Même si je pense pas qu'il soient là pour m'admirer mais plutôt pour mon argent.... Je les aimes bien on dirait des moutons !   Les portes coulissantes s'ouvrent, laissant place à une foule de gens et à un hall gigantesque. Ohhhh je ne peux certainement pas passer devant. Il ne reste plus qu'a attendre 1 ou deux heures. Pff .....  Enfin mon tour après avoir été derrière quelqu'un qui puait le fennec et quelqu'un qui avait une halène de poney, je passe enfin pour prendre mon ticket vers l'apprentissage de nouvelles techniques. Je m'avance dans le couloir et trouve enfin la bonne salle. Verte et les sièges des gradins verts eux aussi. Brrrrr quelle faute de gout. L'arène sent une odeur de transpiration mélangée avec des cris de boulets soutenant leur candidat favori.  Soudain le cri du présentateur retentit :