"TERNAIRES" : Un Monde à venir [Tome 1]

Vers la psyché

[n'oublie pas la musique si tu le souhaite c'est juste au dessus 👆🏻😉]

Après avoir déjeuner, Axel s'installe dans le canapé sous la véranda situé juste à côté de la table.

La brise légère rafraîchi l'atmosphère de ce lieu fort tropical. Une atmosphère qui brûle semblable à la lave d'un volcan malgré l'époque de l'année à laquelle nous sommes (C'est à dire "l'hiver").
Le temps se couvre comme quasi-tout les après-midi. Le ciel bleu du matin laisse place à des nuages gris cendres.

Dommage me dirait vous ? Moi je dit génial! Et oui puisque si les nuages sont de sortis maintenant, il y a de forte chances pour que le ciel de ce soir soit fort étoilé et que les nuages n'y soient plus et aient désertés. Une merveille de la nature comme une comète m'attends
peut être ce soir qui sait?
Cela me rappel le mode de pensée binaire, dans le quel on y voit du blanc et du noir mais jamais de gris. Cette esprit de dualité qui bouffe nos vies et qui nous limite.

Depuis que j'ai commencé la thèse du docteur, il faut dire que je ne regarde plus le Monde de la même manière.
J'ai ce sentiment de perpétuel conscience, je remarque de plus en plus d'incohérence dans notre société et comme toujours je ne peux m'arrêter d'y penser. Je me rends compte des diverses alternatives que nous devront sûrement prendre, face aux divers évènements qui pourraient se produire.
Je ne suis pas pessimiste. Je suis réaliste, le Monde va mal et je ne suis qu'un simple pion permettant d'engranger le système de reconstruction. J'ai ma place et ne compte pas devenir célèbre ou quoi que ce soit de ce genre là. Ce qui est sur c'est que je ne pourrait pas continuer longtemps sans agir, mon destin m'appelle.

-Axel!

En me dirigeant vers l'étage, où j'ai cru entendre la voix de ma mère, je remarque un nouveau puzzle de cinq mille pièces si je ne me trompe pas. C'est la passion de ma mère, il faut dire qu'elle est du genre patiente même si cela ne ce voit pas au premiers abords.

-Oui! Tu m'as appelé ?

-Non pourquoi ? C'est peut-être un de tes frères...

Je redescend et pose la même question aux deux. Personne ne m'a appelé. Serai-je un Jean d'Arc ? Excusez moi du jeu de mot je ne pouvais m'empêcher. Retournant à mon activité de relaxation, posé dans mon canapé pour l'une des plus belles siestes de ma vie (du moins je l'espérais à ce moment).
Comme à l'habitude je lance cette douce musique, la brise passe, j'entends le bruit de l'eau tombant de la cascade artificielle donnant sur le bassin des poissons que mon père a créé, c'est sa passion à lui.
Tant de bienfait, tant de repos, je me dit que c'est juste incroyable et ne tarde pas à m'assoupir la tête poser sur une espèce de vieux coussin.