l'histoire d'une fille rejetée (en correction)

la menace

PDV d'Allie.

Alors Athéna venait de partir pour aller voir Thomas, ma mère se tourna vers moi.

-J'ai vu comment tu la regardais quand elle dormait. J'ai vu aussi que vous vous teniez la main. Me dit-elle.

Je haussai les épaules. Je savais ce qu'elle allait me demander.

-Tu l'aimes? Me demanda-t-elle.

Ma mère était au courant de mon attirance pour les filles depuis l'histoire dans mon ancienne école, au début, elle était choquée et en colère, mais elle a appris à l'accepter.

Je haussai encore une fois les épaules et elle me sourit.

-Pas à moi, Allie. Je suis ta mère. Je vois bien comment tu la regarde. Me répéta-t-elle.

Je sortis mon téléphone.

"Oui, je l'aimes."

-Elle le sait? Me demanda-t-elle après avoir lu.

Je hocha la tête en pinçant les lèvres au souvenir de cette soirée où je le lui avait dit.

-Comment elle l'a prit?

Elle voulait vraiment avoir des réponses, bon sang.

"Comme je m'y attendais. Mais j'avoue que nous nous sommes embrassée."

Ma mère sourit en voyant le messages.

-Je suis contente pour toi.

"Rien n'est fait. Elle ne sait pas encore."

Elle hocha la tête. Il y eut un moment de silences durant lequel ma mère ne cessa de m'observer.

Cinq minutes plus tard, Athéna revenait. Son expression triste m'inquiétait. Je sais qu'elle pensait que c'était ça faute et je ne pouvais rien faire pour qu'elle arrête de le penser.

Elle se dirigea vers moi et je me levai pour aller la rejoindre. Elle éclata en sanglots et je la pris dans mes bras pour la réconforter.

Que ce passe-t-il? Thomas a eu un problème? Les médecins avait pourtant dit qu'il allait bien!

-Il est réveillé. Finit-elle par souffler entre deux sanglots.

Je poussai un soupir. Elle pleurait seulement de soulagement. Pendant un instant j'ai cru que....

-Tu peux aller le voir. Continua-t-elle en se détachant de moi. Je dois aller prévenir mon père, Léna et ses parents qu'il va bien.

Elle me donna le numéro de chambre, je hochai la tête et la laissai sortir. QUand je vis la porte de la salle d'attente qui menait à l'extérieur se refermer, j'allai voir ma mère.

"Thomas est réveillé. Je vais le voir, Athéna est partit prévenir tout le monde."

Elle hocha la tête en expirant un grand coups.

J'entrai dans le long couloir rempli de porte derrière lesquelles de nombreuses personnes se battait entre la vie est la mort. Je haies vraiment les hopitaux.

Je finis par trouver la chambre de Thomas et toquai.

-Entrer. Me fit-il.

J'ouvris la porte et le vis. Il avait la peau toute blanche et des bleus tous plus gros les uns que les autres ornait celle-ci. Je courrus le prendre dans mes bras.

-Aë. Me dit-il.

Je me décolai immédiatement de lui de peur de l'avoir blessé.

-T'inquiète pas, ça va.