sans réfléchir

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PDV d'Allie.

J'avais invité Athéna chez moi par ce que je ne voulais pas la perdre de vue. Elle pourrait facilement faire une énorme bêtise, comme aller voir Mike. Bien sur, demain elle rentrerai chez elle, mais bon...

Nous étions enfin revenu chez nous. Ça faisait du bien de sortir de cette hôpital où l'odeur de désinfectant emplissait sans cesse mes narines.

J'embrassai ma mère et montai les marches qui menait à ma chambre. J'enlevai mes chaussures et sautai dans mon lit. Athéna était à la porte ses bras croisés sur la poitrine comme si elle avait froid. Je lui fis signe de venir mais elle secoua la tête.

-Je ne veux pas salir tes draps, j'ai plein de sang sur mes vêtements. Me dit-elle.

Je pris un bloc-note et un bic.

"Vas prendre une douche, je t'apporterai des vêtements. Les essuis sont dans l'armoire."

Elle me sourit.

-C'est où? Je ne voudrai pas entrer dans la chambre de ta mère par accident.

"Deuxième porte à gauche".

Elle hocha la tête et sortit de ma chambre. Je fixai le plafond quelques instants. Elle se sentait coupable. Je le sais, ça se voyait comme le nez sur le visage.

Je finit par me lever et alla chercher un pyjama dans mon armoire. Je sortis de ma chambre et alla jusqu'à la salle de bain. J'entrai après avoir frappé un coups. J'allai déposer les vêtements sur l'évier mais je vis le reflet d'Athéna dans le miroir ce qui m'arrêta dans mon geste. Elle avait la peau clair. Ses longs cheveux mouillés tombait jusqu'à mis dos et son visage était détendue. Mon dieu, son corps était magnifique. Je n'en revenais pas.

Je déposai vite les vêtements et sortis avant de me faire prendre.

vingt minutes plus tard, j'étais lavée aussi, quand je revins dans ma chambre, Athéna dormait déjà. Je me mis dans le lit à mon tour et je ne tardai pas à trouver le sommeil à mon tour.

PDV de Thomas.

Les anti-douleurs m'avait endormi alors que j'étais avec Léna. Quand je me réveillai, mes parents était à côté de moi.

-il est quel heure? Demandai-je à ma mère.

-Thomas! tu es réveillé. J'ai eu si peur... Désolée de n'être pas arriver plus tôt! S'exclama celle-ci en me prenant dans ses bras ce qui me fis grimacer.

-Carol, lâche-le, tu lui fait mal. Dit mon père de sa voix bourrue.

-Alors.. Il est quel heure? Redemandai-je.

-Il est 4 heures du matin, mon cœur. Me répondit ma mère.

J'hochai la tête en reposant la tête sur l'oreiller. Je dormais depuis seulement 4 heures mais je n'étais plus fatigué.

-Fiston, m'interpella mon père, est ce que tu sais qui t'as fait ça?

Je secouai la tête.

-Non, je n'ai pas eu le temps de voir, il m'as poussé dans le os pour que je tombe et il faisait déjà noir à ce moment là.

Mon père hocha la tête.

-La police va vouloir te parler demain.

Je poussai un profond soupir. Je ne répondis rien de plus que ça.

-Essaie de te reposer. Me dit ma mère.

-Je n'ai plus sommeil. Mais vous pouvez rentrer, ne vous inquiétez pas. C'est promis, je vais bien.

l'histoire d'une fille rejetée (en correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant