Mon histoire clichée.

Chapitre 6

Après seulement quelques secondes quelqu'un me toucha la cuisse...
J'étais surprise à l'idée que ce soit une fois de plus Benjamin et qu'il soit déjà revenue de ça périlleuse aventure pour nous ramenez des verres. Je me retournais donc, sûr et certaine que la personne que j'allais découvrir étais mon ami mais l'homme qui était présentement devant moi m'était inconnu.
Il devait être dans la vingtaine, il portait une légère barbe, il avait des cheveux bruns, des yeux bruns et des petites lèvres rosée. Il était beaucoup plus grand que moi, un peux comme Jack mais en un peux moins bâtit.
Il sentait l'alcool et ses petit yeux étaient rougis, sûrement par de la drogue ou par un surplus d'alcool dans son sang. Un rictus était déposer au coin de ses lèvres. Il me regardais de haut en bas, remplie de désir, je me sentais nue, il me glaçait le sang. Je regardais ses yeux, ses yeux remplis de folie.
J'étais toujours figé sur place et sa main était toujours placée sur ma cuisse droite, il la caressait du bout des doigts. Je le regardais dans les yeux incapable de faire un mouvement, mon souffle était saccadé et mon cœur manquât un battement lorsque l'homme dirigea sa main vers mes fesses. 
Je commençais à transpirer il posa sa deuxième main sur mon autre fesse. La musique et les gens avaient beau être présent je ne les entendait plus.
J'étais comme hypnotisée par l'homme qui me touchait.
Il me chuchota à l'oreille :

- C'est bien tu me laisse faire, tant mieux j'avais pas envie de me battre...

Soudain une secousse me réveilla de mon état second, comme une neurone qui c'était enfin réveiller et qui avait sonner l'alarme pour toutes les autres.
Je le gifla.
J'en avais mal à la main, le coup était partie tout seul. Ma main avait eu beau claquer terriblement fort sur ça joue la musique était tellement forte et les gens tellement nombreux que personne ne s'en rendit compte.
L'homme ne sembla pas apprécié l'acte car il attrapa mes poignets fermement  il me susurra une fois de plus à l'oreille :

- je vois que tu es féroce, ça m'excite aussi...
Dit-il perversement.

Il me tira par les poignets dans un coins légèrement plus isolé de la cours, arriver dans celle-ci il me plaqua sur un mur. D'une mains il tenait mes poignets et de l'autre il caressait mon corp.
J'avais beau me débattre, j'avais beau criée, j'avais beau le frapper avec mes jambes il n'arrêtait pas.
Je me mis à pleurée, plus les larmes coulaient sur mes joues plus je me disais que j'allais mourir, en cette soirée de septembre, loins de ma famille, seule, tuer par un ridicule violeur.
Il m'embrassa, un baiser rude et froid mais remplis de désir. J'avais beau fermer ma bouche et ne pas répondre à son baiser, il continuait. Il descendit ses baiser sur ma mâchoire puis dans mon coup. Il me fit quelques petits suçons non désirer et retourna à ma bouche. Il me regardais encore aussi perversement, il glissa sa main toujours sur mes fesse et la remonta sur ma poitrine. Il avait placer mes poignets au paravant dans mon dos maintenant au dessus de ma tête accoter sur la brique froide. Mon corps frissonnais à chaque frôlement entre mon dos nue et cette même brique.
Il promenait ses doigts sur ma poitrine, il avait l'aire affamé, comme si j'allais être le repas d'un homme qui n'avait pas manger depuis des années.
Il glissa sa main dans mon dos pour agilement détacher l'attache de mon soutien-gorge.
Ma poitrine nue lui était complètement à sa vue et il se rinçait l'œil. Il caressa ma poitrine, j'étais dégoûter, de lui et de moi. Mes larmes qui jusqu'à maintenant avaient continué de couler cessèrent.
Encore une fois mon instinct de survie avait résonner dans ma tête.

- je ne mourrais pas ce soir...Reprend toi Amy! Me dis-je à moi même.

Je tremblais.

Je profitai d'un moment d'inattention pour lui donner un énorme coup de pied dans ses bijoux de famille. Il lâcha mes poignets et sa bouche qui était au paravent sur l'un de mes seins disparue.
Il se plia directement en deux en gémissant sur le sole.