Chapitre 26

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Nous sommes dans un café, pas très loin de la place de la bastille. Je tape le nom de mon agresseur sur la tablette que j'avais mis dans mon sac de vêtement pour Paris. Clément trouve risqué d'utilisé la connexion de l'appartement, ce qui explique notre arrêt à cette terrasse. Je sent le verre froid au bout de mes doigt.

Sam Bigonve. Aucun cite correspondant. Même pas un Facebook ou un vieux skyblog. Aucune donnée. Aucune trace. rien.

- Je ne trouve rien, j'annonce en tournant la tablette vers mon fiancé pour qu'il puisse juger de lui même.

- Tu es sûr d'avoir écrie correctement ?

- Oui, j'ai essayé plusieurs fois.

- Alors nous ne sommes pas plus avancés. Il ne nous reste plus qu'à finir nos verres et à partir.

- Attends j'ai une dernière recherche à faire.

- A bons ! Laquelle ?

- L'entreprise qui a engagé Sam : N.F.R.B. Tu en as déjà entendus parler ?

- Non. C'est la première fois que j'entend ce nom.

- Tu n'as pas amélioré ta manière de mentir. D'après internet c'est la Nouvelle Fabrique de Roulement à Bille, j'annonce, les yeux rivés sur l'écran.Qu'es ce que une entreprise de roulement à bille nous veux ?

- Enfaite c'est N.F.R.B. pour Nightmare For Royal Blood ( cauchemar pour sang royal ). La fabrique n'est qu'une couverture. J'en conclu que tu as écouté ma conversation avec Logan dans l'avion en faisant semblant de dormir.

- Je me suis réveiller à ce moment là donc je ne sais pas ce que vous avez dis avant. Pourquoi tu ne m'as pas mise au courant et comment tu l'as sus ?

- Je te l'ai dit hier soir. Je peu voir le passé d'une personne en la regardant dans les yeux; et il se trouve que j'ai croisé le regard de plusieurs de nos assaillants dans la serre. Si je ne t'en ai pas parlé, c'était pour que tu évites de paniquer.

- Je savais déjà que des personnes étaient à nos trousses alors je ne vois pas ce que ça aurait changé.

- Parfois l'ignorance est la meilleure des armes.

- Mais parfois l'ignorance est le pire des fléaux.

- Écoutes je suis désolé. C'est pas possible, je fais tout de travers en ce moment, se lamente-t-il.

- Attends ! Je viens de comprendre un truc.

- Quoi ?

- Tu savais exactement qui j'étais quand tu m'as embrassé le premier soir !

Il fini son verre de cocktail cul-sec.

- Je dois dire que tu semblais torturé. Mais je n'était pas sûr à 100% que c'était toi. Tu n'es pas la seule personne à t'appeler Thalie. Et je dois dire que avant de te parler j'avais déjà pas mal bue.

- En quoi s'emblais-je torturé ?

- La solitude fais partis des pires tortures. Je crois que tu en as trop souffert. Et puis je n'ais pas vue ton souvenir de premier baisé, qui est un souvenir que je vois chez toutes les personnes. Alors avec l'alcool qui me montai à la tête, je me suis dis pourquoi pas. Mais une fois fais, j'ai eu honte, c'est pour ça que je suis partis. Je passe mon temps à faire des choses que je finis par regretter, en ce moment. Et je ne t'ai même pas encore offert de cadeaux pour ton anniversaire. Je crois que je suis le pire fiancé du monde.

Ces derniers mots rouvrent la brèche que j'essaye tant bien que mal à fermer. Il n'y a plus de retour en arrière. J'ai l'impression que je vais passer ma vie dans une prison dorée.

- Je ne veux pas de cadeaux. Je ne serai même pas quoi choisir. Je n'ai besoin de rien.

- J'ai une idée. On vas allé dans une librairie. Je crois qu'il y en a une au bout de la rue.

- Si tu veux, dis je d'un air pas très enthousiasme.

Je fini mon thé glacé, range la tablette dans mon sac, après l'avoir éteinte, puis nous partons du café, une fois les boisson réglé.

Après quelques minutes de marche, nous arrivons devant une petite librairie indépendante.

- Tu veux bien m'attendre dehors cinq minutes, s'il te plait ? me demande Clément.

- D'accord mais si quelqu'un essaye de m'enlever je coure à l'intérieur, dis-je en plaisantant.

Cette remarque ne l'a pas amusé mais plutôt inquiété. Quand il entre dans le magasin son visage est crispé. Il a l'air stressé. Après quelque minutes d'attente à regardé les vitrines remplit de livres, Clément sort de la librairie un sac à la main.

- Tiens, dit il en me le tendant. C'est pour toi. La vendeuse m'a aidé à trouver. J'espère qu'ils te plairont.

Je prends le sac en papier et l'ouvre. J'en sort deux roman : La sélection de Kiera Cass et Promise écrit par Ally Condie.

- On peu dire que tu es un vrais petit rigolo, toi.

- Je trouvais que c'était de circonstance. J'ai demandé à la vendeuse si elle avait des roman de science fiction qui parlés de près ou de loin de mariage arrangé et elle m'a sortie c'est deux là.

- Mais tu as oublié une chose alors on y retourne, enfin tu y retourne car je ne suis pas encore entré dedans.

- Qu'es ce que j'ai oublié ?

- Le premier tome de Percy Jackson.

- J'avais totalement oublié.

- Mais c'est pour ça que je suis là. Allés, viens.

- Vous rentrez demain, nous annonce Logan qui nous attendais devant notre studio.

- Déjà ! s'exclame Clément.

- Oui. N'oubliaient pas que vous avait un mariage dans moins d'une semaine et rien na encore été préparé. Je viendrai vous chercher demain matin à dix heure. Soyez prêt. Au faite, ajoute t'il avant de partir, jolie bague Thalie.

- Merci, je réponds poliment tout en maudissant cette fichue alliance.

Je vais passer ma dernière soirée à Paris en compagnie de Léo. Cette pensé ne m'enchante pas beaucoup.

Un Été RoyalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant