"Ces moments où il y a impact, ces instants de grandes intensités qui chamboulent complètement nos vies finissent au bout du compte par nous définir."
Adrien Rabiot - Maia Corbière
Cela fait maintenant deux heures que je suis bloquée dans les embouteillage de Tanger au Maroc.Mon avion pour Paris décolle dans 15 min et je suis toujours la,assise sur la banquette arrière de ce taxi.
- Vous pouvez faire plus vite s'il vousplaît ! Criais-je au chauffeur
- Je fais de mon mieux mademoiselle mais avec l'embouteillage je peux pas avancer. Me répondit-il
Le reste du trajet se fait en silence, je check nerveusement l'heure sur mon téléphone toutes les trente secondes.Je refuses de croire que je vais rater mon avion. «Maman va me ter » pensais-je. Au bout de minutes qui me paraissaient interminable le taxi se gara devant l'aéroport il m'aide à sortir ma valise du coffre et je me mis a courir dans l'aéroport en regardant l'heure sur mon téléphone 14h45 j'allais rapidement enregistrer mon bagage et couru de plus belle direction l'embarquement 14h57 l'avion décolle à 15h, « Les passagers du vols 5589 en direction de Paris Charles de Gaulle sont priés de se présenter a la porte d'embarcation J » je cours en bousculant tout sur mon chemin quand j'aperçus au loin la porte J je me dirigea vers elle.Je vis l'hôtesse de l'air faire embarquer les derniers passager.
- Attendez moi ! Criais-je dans tout l'aéroport. Attendez !
Je courais de plus belle quand je vis l'hôtesse de l'air fermer la porte.
- C'est pas vrai ! Comment je vais faire ! Murmurais-je
Je viens de rater mon avion et le prochain vol pour Paris est dans deux jours! Je quitta l'aéroport en traînant des pieds et en tirant ma valise derrière moi en arrivant dehors je vis que mon taxi était encore la.
- Pas d'avion ? Demanda le chauffeur
- Je l'ai raté. Répondis-je
- Allez je t'emmène gratuit. Replica t-il un sourire aux lèvres tout en mettant ma valise dans son coffre
- Merci. Répondis-je doucement
Le trajet jusqu'à mon hôtel se fit en silence,une fois arrivé prés de l'hôtel je remarqua une horde de paparazzi qui bouchaient l'entrée, je me demande ce qu'ils attendent.Une fois dans l'hôtel je me dirigea vers l'accueil afin de réserver la chambre que je venais de quitter quelques heures plus tôt.
- Bonjour, je suis mademoiselle Corbières j'occupais la chambre 205 jusqu'à ce matin j'aimerais la récupérer car j'ai raté mon avion.
- Excusez moi mademoiselle mais la chambre est déjà prise.
J'entendis les flash des paparazzi retentir à l'unisson je me retourna pour voir qui était au centre de autant d'attention, je tomba nez à nez avec une dizaine de mec en tenue de sport je cru en reconnaître quelques un.
- Donnez moi en une autre alors ça ne fait rien
- Eh bien c'est à dire que...toutes les chambres sont occupées.Me répondis le réceptionniste
- Comment c'est possible ? Dis je indignée
- Un envenimement sportif de grande envergure se déroule ce week-end de ce fait toutes nos chambres libres sont réservées aux sportif ainsi qu'au staff,nous sommes vraiment navrés. Rétorqua le réceptionniste d'un air gêné
Je quitta la réception pour passer un coup de fil à ma mère, je fus directement renvoyé vers sa messagerie.
- Salut maman c'est moi,Maia, tu dois sûrement être à la maison à m'attendre mais je ne vais pas arriver de si tôt,j'ai raté mon avion, et l'hôtel n'a plus de chambre libre à cause d'un stupide événement sportif.Je vais essayer de trouver un autre hôtel plus prêt de l'aéroport, enfin bref, tu me manques,je t'embrasse.
Je raccrocha et me mis a regarder les hôtels de la région sur mon téléphone après en avoir trouvé un je pris ma valise et entrepris de sortir de l'hôtel quand quelqu'un cria mon nom.
- Mademoiselle Corbiere !
Je me retourne pour voir le réceptionniste me courir après des clefs à la main.
- Oui ?
- Eh bien il se trouve que votre chambre vient de se libérer. Me dis t-il en me tendant les clefs
- Mais...je pensais que l'hôtel était réservé aux sportif et au staff.Dis-je dans l'incompréhension
- Il est vrai mais le sportif auquel la chambre était attribué m'a demandé de vous la donner.
- Ah oui ? Dis-je incrédule. Qui ça ?
Il me montra discrètement de la tête la réception ou se trouvait un des garçon que j'ai vu tout à l'heure, grand, des cheveux bouclés en pagaille et un t-shirt sur lequel je pouvais lire Rabiot lorsqu'il se retourna je pu voir qu'il avait des yeux bleus et un sourire béa scotché aux lèvres,quelque chose chez lui attira mon regard,c'est comme si mes yeux se sentaient obligés de l'observer et d'analyser chaque trait de son visage comme si j'observais un tableau de Monet. Une fois tirée de ma rêverie je remercia le réceptionniste pris les clefs et me dirigea vers le jeune homme à la réception ,Rabiot apparemment.
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- Euh merci pour la chambre.Dis-je pour entamer la conversation
Il me sourit avant de me répondre.
- C'est rien, je t'ai entendue quand tu étais au téléphone avec ta mère et je trouvais ça dommage qu'un stupide événement sportif t'empêche d'avoir une chambre.
- Désolée pour ça. Dis-je l'air coupable
- C'est pas grave.repondit-il toujours avec ce même sourire au lèvre. Je dois y aller on m'attend passe un bon séjour
- Merci. Répondis-je doucement
Il s'en alla avec deux autres types qui portaient le même haut que lui Aurier et Kurzawa.
J'espère que ma fiction va vous plaire ! C'est la première fois que je fais ça alors soyez indulgents.N'hésitez pas à voter/partager et commenter j'accepte les commentaires positifs comme les négatifs tant qu'ils sont constructif, dites moi aussi ce que vous aimerez voir dans l'histoire.
