Chapitre 8: Un baiser inatendu et une soirée chaude.

109 2 0
                                    

Le lendemain matin, dans le restaurant de l'hôtel, encore, nous prenions le petit déj, quand notre responsable de communiqué presse est arrivé.

"Bonjour à tous ! s'exclama Killian. Vous êtes prêts pour vos interview et séances photo ?!
- Seulement si je peux faire une photo avec toi, souriait Henri.
- Heu... Quoi ? Comment ? Heu.... Pourquoi pas...
- Génial !"

Je ne sais pas ce que Henri a dans la tête mais je sens que Killian ne va pas résister longtemps. Enfin bref. Nous finissions de manger et nous dirigions vers notre mini bus pour aller à la séance photo. Une dizaine de photos ont été prise. Trois ou quatre photos de toute l'équipe et d'autres individuel dont une de Killian et Henri.

Après la séance photo, on se dirigeaient vers le gymnase où la compétition allaient se faire, pour l'interview avec la présentatrice.

Enfin, après l'interview, on allait sur le praticable pour s'entraîner. Il faut être au top pour la compète dans deux jours. Killian regardait intensément Henri faire ses abdos et ses pompes. Depuis les anneaux, je les voyais. Mais je ne mattais pas que les tourtereaux ignorant de leurs sentiment. Je mattais aussi mon gymnaste favori, Tristan, qui lui, exposait ses muscles sur la piste de saut. Il me fait craquer. Mais revenons à Henri et Killian. Que se passe-t-il entre eux ?

Après cette séance d'entraînement, on rentrait à l'hôtel pour se doucher. On a organisé avec toute l'équipe, le coach et Killian, une sortie en ville pour s'éloigner du stresse de la compétition.

"Aller les gars ! s'exclama Killian. On se bouge ! Je dois vous montrer un des clubs les plus génial !
- Hâte de voir ça ! répondit Henri.
- Ah... ah oui, vraiment ?
- Killian... Henri te dévore des yeux... Ça se voit... dis-je dépité."

Ces deux là se font la cours sans le savoir...

Quand tous le monde fut prêt, le mini bus nous emmena dans Berlin. On s'arrêta devant un bâtiment sur lequel est marqué Trésor. On descendit tous. Le coach paya la moitié des entrées et Killian paya l'autre moitié. On entra et nous dirigeâmes vers le bar. Tous le monde ce paya son verre. Sauf moi et Henri. Tristan m'offrit mon verre et Killian paya celui d'Henri.

On dansait, on buvait et on riait. Jusqu'à ce qu'on ne voyait plus ni Killian, ni Henri. On monta à l'étage pour les chercher. On s'arrêta d'un coup. Là, sur le balcon, à la lumière de la lune qui brillait, Henri rougissait sous les lèvres de Killian cousuent aux siennes.

À la vue de cette scène, tous le monde souriait et applaudissait. Henri et Killian, sur sautaient de surprise. Ils avaient été interrompu dans un moment cruciale.

"Et bien... En voilà une fâcheuse situation, fit Killian gêné. Qu'en penses-tu Henri ?
- Heu... Je ne trouve pas. Ça fait si longtemps que je me cache et que je n'ouvre pas mon cœur. Maintenant, je ne me cache plus et je vais ouvrir mon coeur à la personne qui a réussi à le déverrouiller. Toi, Killian.
- Wouah... Je... Je ne sais pas quoi dire.
- Ne dis rien et embrasses moi.
- OK."

Ils sont mignon. On les laissa jusqu'à ce qu'ils descendent du premier étage pour partir.

Le lendemain, on passa la journée en ville, dans les magasins, dans les marchés, en shopping quoi...

Le midi venu, on se fit un restaurant avec spécialités allemande.

J'avais plongé mon regard dans les yeux brun de Tristan. Aussi indiscret qu'il est, il me fit du pied qui m'excita à mort. On décida de prendre un taxi et rentrer à l'hôtel.

Arrivé dans notre chambre, on se déshabilla et fila sous la douche. Oui, originale comme lieu de désir charnel.

"Aller Yann... me sourit Tristan sadiquement. J'ai très envie de dominer aujourd'hui.
- Oh... Oui mon maître... Je suis tout à vous.... répondis-je.
- Très bien. Mets toi à genou dans la douche et fait couler l'eau chaude avant mon cœur.
- Oui mon sucre. Mais le dominant n'est pas sensé donner des mots doux à son dominé.
- Est-ce que nos partie de jambes en l'air sont sensés ?
- Il est vrai que ta bite est insensé. Je la veut dans ma bouche maître.
- Tu l'auras, tu l'auras. A genoux ! Maintenant.
- Oui maître."

Je souriais car je savais que l'appeler "maître" le déstabiliser. Je m'agenouillais après avoir allumé l'eau et m'être mouillé un peu. Il est entré dans la douche, a prit ma tête entre ses mains et l'a empalé via ma bouche sur sa queue si droite et si dur. Dix bonnes minutes sous cette douche à se sucer, se lécher, se mordiller, se câliner tour à tour.

Nous sortons de notre douche, nous posons sur lit double aménagé et commençons à faire l'amour comme un couple, que j'ose dire, classique.

Nous sommes interrompu par la porte qui s'ouvre avec fracas. A notre surprise, c'est Killian et Henri qui entre en s'embrassant comme des fous. Ils ne se sont pas rendu compte qu'ils se sont plantés de chambre. On décida de se couvrir l'entre jambe avec le drap et de les interrompre du regard. Ils se sont couchés sur le lit simple d'à côté sans nous voir, jusqu'à se que Killian jette un œil dans notre direction et poussa un cri à faire éclater les vitres.

"AAAAAAAHHHH ! Vous faite quoi dans cette chambre !
- Cher Killian... C'est notre chambre... répondis-je.
- Quoi ?!"

Ils se levèrent avec précipitations.

"Les mecs, je suis vraiment désolé. Je crois qu'on a un peu bu pour se trompé de chambre, dit Henri.
- On a remarqué, répondit Tristan, frustré de ne pas m'avoir pénétré. On vous pardonne à condition que vous partez de notre chambre et qu'on puisse baiser avant que...
- Bonsoir ! Wouah, y'a du monde... dit Sébastien.
- Avant que quoi Tristan ? demanda Killian.
- Huff... Tristan soupira."

Killian et Henri partient dans la chambre de notre agent. Oui, Killian s'est arrangé pour devenir notre agent, se qui ne déplaît à personne, puisqu'il est doué dans son travail. Enfin, c'est surtout à Henri que ça fait plaisir.

Sébastien, Tristan et moi, nous endormions. Demain, est un jour important. La compétition international de gymnastique artistique masculine de Berlin commence demain.

Tristan & YannOù les histoires vivent. Découvrez maintenant