histoires en vracs ou batmaman a histoire

l'amour est aveuglément mortel.

Bonjour ou bonsoir cher lecteurs et lectrices ceci est une réécriture d'une nouvelle que j'ai lu est beaucoup appréciée. Ceci n'est du tout pas un plagiat donc sur ce bonne lecture.

      Cinq heure tapantes du matin, son sommeil se coupa, elle se leva , laissant son cher et tendre mari endormis, pensant aux préparatifs de la fête de ce soir cette fête qui prendrais une tournure totalement inattendue. Mais avant remontons une semaine avant cela.
     
          Il y avait une semaine de cela, elle pensait à l'anniversaire de son cher époux qu'elle aimait à en mourir. Depuis quelque temps, leur couple se disloquait et un gouffre sombre et obscure commençait à se formait,mais bon. Donc elle décida de préparer une fête surprise et prenais sur son temps de travail au bureau, appelant tous les amis de son maris et quelque amis à elle ainsi que toutes sa belle famille, pour ainsi reconquérir le coeur de sont âme soeur et grâce à cela sauver son mariage et finir des jours heureux avec lui. Un jeudi, alors qu'elle parcourait les rayons à  la recherche des ingrédients et des décoration pour les festivités, elle tomba nez à nez avec sa collègue Véronique, la belle et superbe Véronique qui chassait les hommes comme ont chasse le gibier, visage fin, les yeux bleu, profond et limpide mais tout de même un défauts elle était très mais très bavarde et celle ci savait tous les ragots du bureau et d'autre parts. Soudain la langue de notre très chère Véronique fourcha:
          " -Tu sais ma belle,heum ton mari est un peu comment dire...bizarre ces temps ci
            - Ah bon, tu crois, moi je le trouve un peu plus normal moi.
            - Si je te dis que moi, hier, quand...
            - Heu Véro, tu sais j'ai un... gigot au four, je dois y aller, by. Oh oui aussi n'oublie pas la fête, c'est toi qui m'aide, hein, n'oublie pas?! Bisous!"
Laissant son amie sur place elle alla payer ses courses et partis chez elle.

      À la veille des festivités,  elle rappela à tous ces convives l'heure exact de 20h40 précise pour être cachés et à 20h46 crier SURPRISE quand il arriverait tous les deux, elle était un peu perfectionniste et comme sont mari aimait les heures précises,  les heures qui sont des souvenirs et qui rappel les bon moments. Cette fameuse heure 20h46 était l'heure de leur demande en mariage, l'heure de leur rencontre et surtout leur de naissance de son mari, trois heures qui firent leur bonheur à tous deux.
      Le jour J, à 19h00 tapant, son époux arriva chez eux il commencèrent à discuter et elle lui dit:
            " - Sa va mon chéris tu as bien passé ta journée?
              - Ho ouiiii, tous mes collègue m'ont ignorés, le jour même de mon anniversaire tu t'imagines l'ingratitude!?
              - Ce n'est pas grave, moi j'y ais penser, et, et j'ai réservé un restaurant pour fêter cet événement. Dit telle sur un air coquin...
              - Mais moi je voulais rester ici.
              - Aller viens, après on reviendra ici, vas te changer on y vas.
              - Bien bien j'y vais."
Réussissant à le convaincre elle alla se préparée et appela Véronique pour le commencement du plan, elle organisait tous après leur départ.

      Ils allèrent au restaurant,  la femme elle regardait sa montre toutes les cinque minutes, mais profita de ralentir un peu sur la galerie des bijoutiers.

      À  vingt heure trente ils embarquèrent dans leur voiture, pour retourner chez eux.
      À vingt heure quarante deux elle ne sut si c'était l'effet du vin, mais elle vis l'ombre de la mort se tenir à côté de son mari, là,je depuis plus de douze ans de mariage, elle ne c'était jamais, non elle n'avait jamais pris conscience de son sort, Véronique voulut l'avertir elle ne fit aucune allusion aucune relation, elle vit l'ombre de la faucheuse et l'ombre de son cher et tendre maris son âme soeur qu'elle aimait tant soulever une batte de base balle et s' abattre sur elle, l'obscurité se fit une douleur vive se fit ressentir et puis elle sombra dans les flots impétueux de la mort complice de son mari.

                                                      

Tous était belle et bien fini.