PDV NALA
Nathaniel se mit à émettre trois toquement à la porte avant de l'ouvrir et d'entrer dans la salle de classe. En me voyant le professeur comprit que j'était la nouvelle de son groupe d'élève.
? : " — Oh je comprend mieux votre retard Nathaniel, vous faisiez les préparatifs avec la nouvelle arrivante c'est bien cela ?
Nathaniel : — Oui c'est bien sa.
Juste aprés la réponse émises par le blond, le regard du professeur se jeta sur moi avant de me dire.
? : — Je t'en prie, entre.
C'est vrai, j'était encore au pas de la porte ... Je rentrai donc avec impréhension avant de tourner la tête et le visage toujours cacher par ma capuche. Mauvaise idée ... Je sentait déjà les regard des autres élèves et ils fallaient qu'en plus je les regarde m'observer. Je tourna alors immédiatement la tête malgré le fait que personne ne pouvait voir mon visage.
? : — Je me présente, je suis ton professeur principale Mr Faraize. A toi maintenant présente toi à la classe.
Me ... Me présenter ? ... Devant tout ce monde ... Je ne peux pas ... Je .. J'ai trop peur ... Je mit alors à triturer mes manches montrant mon malaise face a tout le monde.
Mr Faraize : — Mademoiselle ? Quand il m'interpella, je tournis la tête dans sa direction avant de la baisser, génée par son regard.
Mr Faraize : — Bon, je vois que notre nouvelle recrue est mal à l'aise alors je vais éviter de durer ce moment. Vous pouvez allez vous asseoir, je vais vous présenter à la classe.
A sa réponse, je partis m'installer au fond de la classe sur une table seul placé à côté d'une grande fenêtre donnant sur une forêt.
Mr Faraize : — Bon je vous présente Nala Johanson, cette jeune fille à 18 ans alors je vous prie de l'accepter comme camarade.
Moi je vous prie du contraire ...
? : — Eh Monsieur, les capuches sont pourtant interdite dans l'enceinte de l'établissement, pourquoi elle la garde sur son crane ! A la remarque que cette voix féminine avait faite, remarque qui avait fait rigoler deux ou trois personnes, je commencais a sentir le mal-être revenir.
Mr Faraize : — Cette jeune fille échaperra à la règle suite à des raison euh ... médicale si je puis dire ... Bon nous allons pouvoir débutez le cours maintenant.
Pendant tout l'heure du cours, mon regard et mon attention était portée sur la forêt et cette vie qui s'en dégageait. J'y voyais des oiseaux voler et planait, des arbres danser avec le vent et les nuages défiler paisiblement. Cette vue m'intriguais tout comme ce batiment. J'avais l'impression d'être dans un nouveau monde.
FIN PDV NALA
PDV ???
Depuis le début de l'heure, la nouvelle n'a pas arrêtés de fixait la forêt des yeux. Enfin ... Je pense. Je ne vois que son crane quand je tourne la tete pour la regardait. Remarque, j'ai encore même pas vu son visage ou ses yeux avec sa capuche. Elle est étrange et attire ma curiosité, a croire qu'elle m'intrigue.
FIN PDV ???
PDV NALA
DRIIIIIIIIIING !!
A l'entente de cette sonnerie, je pris mon sac et sortie de la classe avant de me diriger vers mon casier armés de mon emploi de temps. En l'ouvrant je pris soin de regarder les matières qui allait suivre pour pouvoir prendre les bons livre et une fois terminer, je refermis mon casier et partit en direction du petit coin de verdure que j'avais vue plus tôt. Une fois arriver, je m'installa sous le grand arbre et sortit mon carnet de dessin. Dedans, de nombreux dessin y était affichait mais surtout ... Une photo. Mais pas n'importe laquelle ! Une photo de ma mère et de moi enfant face à un piano. Je me souviens du jour ou on a prit cette photo, ma mere m'apprenait à jouait ce morceau que j'aimais tant écouter dés l'apparition de mes larmes salé sur mes joues. Ces le seul souvenir que j'ai de ma mère. La seul photo que j'ai d'elle. Alors que des souvenirs défilait dans ma tête, de tout petit coups se mirent à toquer le haut de mon crâne.
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Plongée dans l'océan de mes souffrances ... AS-FIC (CASTIEL-X-NALA)
Jugendliteratur18 ans. 18 ans que je me noie dans l'océan de mon passée, ma tristesse, ma douleurs, ma solitude. Inondés par les eaux gelée des océans, je rêve d'un jours pouvoir toucher la liberté du bout de mes doigts glacés, ressentir sa chaleur me traverser...