Chapitre 6 : "Ennemie" rimes avec "Ennuis"

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PDV NALA :

La mort est paisible.


Je la sens m'envelopper de sa douce est paisible chaleur ...


J'ai l'impression d'être sur un nuage tellement le sol me semble moelleux et pourtant, je me souviens m'être abandonner sur un sol enneiger. Si loin de la chaleur et de la douceur.


Mon sens du toucher est était gatée pour toutes ses sentations agréable.


Je sens comme un petit nuage placé sous ma tête d'ailleurs, en parlant d'elle, je ne sens même plus le poids de ma capuche sur mon crâne.


Je sens comme deux grands bras musclés chaud et puissant m'entourait avec force sans pour autant qu'ils soient violents.


Je sens ... Attend ...

...

Des bras ?

...

Mais la mort n'a pas de bras ! Quoi que ...

On ne sais rien de la mort en faite et quand certains lui ont rendu visite, il sont plus jamais revenue étrangement ... 

Je décide donc d'ouvrir les yeux doucement pour mieux comprendre ma situation et, effectivement, il y avait bien de bras musclés qui m'entourait.

Prise de panique, je sursauta violemment dans ce ... Machin tout moue ... Un truc avec une couverture épaisse au dessus ... 

Je tourna alors la tête vers un grognement qui venait de se faire entendre dans la pièce inconnue ou j'était.

Non mais c'est un blague ... pitié ...

Le type au cheveux de ma classe n'a pas de vêtement sur lui à part un boxer et c'est lui qui me tenait dans ses bras !!

Oh non qu'est ce que je vais faire ...

FIN PDV NALA


PDV CASTIEL

Je dormais paisiblement quand soudainement sentit le matelas de mon lit remuer comme je ne sais quoi, tirant au passage la couette poser sur moi ! Putin, elle m'a foutue la trouille !

J'ai grogner un coup, signe de mon mécontentement, et en ouvrant les yeux je découvris que Nala était réveiller et arborer, dés le matin, un visage effrayer. Elle se tenait là, debout devant mon lit contre le mur. 

Castiel : — Salut p'tite, bien dormie ?

Elle me regardai toujours horrifier et se rendit compte qu'elle n'avait plus sa capuche sur elle. A ce moment elle remit, à sa place habituel, sa capuche en un coup de main rapide.

Castiel : — Non non !

Elle leva alors les yeux en me voyant me lever de mon lit et en ayant entendu mon crie. Enfin ... levée plutôt sa tête de quelques millimètre ... 

Je me dirigea alors lentement vers elle et me mit à lui parler calmemant et doucement.

Castiel : — Ne la remet pas ... Enlève là ... S'il te plaît ...

Elle me regardai m'approchai sans qu'elle puisse reculer davantage à cause du mur déjà contre son dos. Je me suis retrouver devant elle, m'accroupie à sa hauteurs car oui, elle est plus petite que moi et la regardis dans les yeux. 

Plongée dans l'océan de mes souffrances ... AS-FIC (CASTIEL-X-NALA)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant