Chapitre 12 : Le plein de sensation forte !

86 6 2
                                    

PDV NALA

Après une bonne dizaine de minutes en compagnie de Castiel dans les ruelles blanchit par la saison, nous arrivâmes enfin devant un immeuble. Il m'ouvrit la porte et nous nous dirigeâmes vers une autre porte ou il y avait une toute petite pièce avec, sur le côtés gauche, une sorte ... d'ardoise avec des boutons clignotantes ... C'est quoi sa ?! 

Castiel : — Bah monte, tu va pas rester sur le palier !

Nala : — Ta ... maison ? ... A ce moment, il explosa de rire sous mon regard incompris.

Castiel : — Ahahahahah !!

Nala : — Ou est ... le chien ? ... La question à ne surement pas poser puisque son rire s'accentua beaucoup plus.

Castiel : — AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !!! 

Nala : — J'ai dit ... une "blague" ? ...

Castiel : — Oh pitié !! AHAHAHAH ! AH-Arrête ! Continua-t-il de rire en se tenant les côtes et les larmes aux yeux pendant que moi, ben ... Je ne comprenais toujours pas ce qui a de drôle dans mes propos ...

Castiel : — Si je vivais dans un ascenseur, sa s'serai ! M'expliqua-t-il après avoir calmer son rire.

Nala : — Ascenseur .... C'est ... quoi ascenseur ....

Castiel : — Monte, tu verra ! Me dit-il avant de me lancer un clin d'œil et un petit sourire en coin. Je m'exécuta pendant que lui me rejoignit dans cette étroite pièce, on était très serrée ! Limite collée l'un à l'autre. Il toucha alors à un bouton qui fit actionner un mécanisme bizarre. Deux autre portes se refermèrent pendant que moi, effrayée, je laissa sortir un crie de surprise et m'accrocha à Castiel. Puis, comme si sa suffisait pas, la pièce se mit à bouger toutes seule !! J'était complétement effrayée que je serrai de toutes mes forces le tee-shirt de Castiel et que j'enfonçai mon visage contre lui pour me forcer à ne pas voir ce qu'il se passait.

Castiel : — Eh calme Nala, c'est rien ! Me répondit-il en laissant apparaître un sentiment de surprise dans sa voix. Et j'eue bien raison ! Parce que quand ce "ascenseur" s'est arrêter de trembler et que les deux portes bizarres se sont rouverte, je le regardais et il avait les yeux aussi gros que des oranges ! Il m'ouvrit alors la porte pour me laisser sortir et moi je me précipitai pour sortir de ce "ascenseur" maudit !

Nala : — Plus "ascenseur" ! ... Plus jamais ! Lui dis-je le ton élevée avec un moue encore un peu apeurés. C'est vrai quoi, j'ai cru que j'allais mourir !! Et lui tout ce qu'il sait faire c'est de rire et de se moquer de moi ! 

Castiel : — Ahahahah !! Sa relève peut-être du miracle de t'faire rire, mais toi tu sais très bien nous le faire faire ! Ahahahahah !!

Nala : — Pas marrant ... Je croisais alors mes deux bras entre eux et me tournais alors de l'autre sens pour lui faire dos, et faire la moue, mais tournis ma tête quand il m'interpella.

Castiel : — Allez Nala, rentre ! Il avait ouvert une porte avec sa clé et me fit entrer. Une fois à l'intérieur de voyais un espace assez spacieux (plus spacieux que ce "ascenseur" en tout cas ! et j'espère que sa bouge pas sa aux moins !!!) et c'est à ce moment précis que je me rappelais y être déjà rentrée le matin même. Il faut dire qu'avec toute cette agitation qui c'est passée aujourd'hui, je ne me souvenais plus d'énormément de chose ... 

Nala : — Maison ... pas bouger hein ? ... Demandais-je en craignant la réponse qui allait suivre parce que, oui sa aussi, je ne m'en souvenais plus ... La honte quoi ...

Castiel : — Non t'inquiète pas va ! Maison pas "ascenseur" ! Me répondit-il avec un sourire fin et en coin comme s'il rigolait de la situation. En le voyant ainsi je lui souris faiblement de mon côtés comme amusée par son air moqueur. Mais mon sourire disparut soudainement quand un gros aboiement vint parcourir l'air de la maison. Cette aboiement, je le reconnais. J'avais déjà eue affaire à eux ce matin par ce fameux chien que je revoie très bien maintenant. Je suis prise soudainement d'une grande inquiétude et me cacher derrière Castiel, en repensant à cette fameuse matinée, quand je vis soudainement un gros chien apparaître devant l'entrée du salon. Il se tenait face à nous et en nous voyant, il stoppa ses aboiements incessant et secoua sa queue de droite à gauche. Il a pas l'air si méchant enfin ... A première vu ... A ce moment la, Castiel se sépara un peu de moi et instinctivement, le chien vint vers moi avec une démarche calme et une fois à ma hauteur, il se mit à me renifler un peu partout pendant que moi, j'était complétement paralysait. Aussi bien par l'animal que les souvenirs du début de journée.

Plongée dans l'océan de mes souffrances ... AS-FIC (CASTIEL-X-NALA)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant