Le lendemain matin, après avoir rêvé de phallus toute la nuit, je me lève de très mauvaise humeur. J'ai extrêmement mal au vagin, comme si un dinosaure essayait d'y pénétrer avec une Range Rover.

Moi : Maria !

J'appelle ma boniche mexicaine en hurlant de toutes mes forces, tandis que je me prépare pour le lycée. Une fois de plus, ma tenue est simple : des lunettes de soleil Nike (c'est l'hiver mais à L.A., on n'est jamais trop prudent. Je ne suis pas à l'abri de paparazzis voulant me photographier pour un magazine de péquenauds), un choker en véritables strasses de chez Gucci, une veste en jean de chez Tommy Hilfiger (mon oncle, si vous ne le saviez pas), un crop-top en dentelle Prada (oui, que voulez-vous, même moi il m'arrive de porter des vêtements dont la marque n'est pas très glorieuse, mais bon, la vie est terne), un mini-short Levis (je n'aurais pas froid car mes jambes sont entièrement siliconées, ce qui fait que je ne ressens rien dans cette partie de mon corps), un collant résille Yves-Saint-Laurent (mon grand-neveux maternel par paxe éloigné), des chaussettes Calvin Klein et enfin, mes baskets de chez Balenciaga.

Maria pointe enfin le bout de son cul dans ma suite adolescantale, et me demande si ce qui ne va pas. Comme je n'ai pas que ça à foutre et que j'ai la flemme d'écrire cette daube, je vous dis bye. Rendez-vous au prochain chapitre (c'est à dire dans une trentaine de mois j'imagine). Bye !

Forcée à me prostituer, mariée de force et séquestrée par ma meilleure amie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant