Chapitre 24

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- Merci de m'avoir raccompagner. Lui dis-je poliment sans oublier de lui rendre son casque et sa veste.
- Je t'empris. Dit-il
- À lundi. Continuais-je mal à l'aise.

Je tournais les talons retournant vers mon immeuble. Je le détestais, je le détestais d'avoir plomber la soirée alors qu'elle avait parfaitement bien commencé. Ça m'aurait vraiment étonné si tout c'était très bien passé. J'en voulais aussi à Prune qui avait posé cette fichue question, je lui avais rien demandé. Et puis C'est quoi cette idée à la con d'organiser un "bal de Noël" sachant que Noël était déjà loin depuis une semaine déjà. Je n'avais vraiment pas l'intention d'y aller de toute manière mais l'avoir entendu dire un non froid m'avait blessé en quelque sorte.

Après tout il avait toutes les filles du lycée, la vrai question serait pourquoi me choisirait-il et pas une autre? Cette question ne se posera même pas puisqu'il ne m'invitera pas, il y avait une tonne de fille qui rêverait d'aller avec lui et il n'avait que l'embarras du choix, aucune d'entre elle aurait refuser.

J'aurais jamais du l'inviter aujourd'hui, après tout il s'était tellement amusé avec notre prof d'espagnol qu'il n'avait même pas honte d'avouer à tout le monde sa partie de jambe en l'air. Étouffer la rumeur que sa soeur avec lancer sur moi, n'avait que fais augmentée sa popularité et avait renforcé sa réputation de Bad Boy, je ne l'aurais pas donné ce surnom mais plutôt Connard. Oui voilà, dans tous les cas nous étions tout les deux gagnant.

- Alors ça sait passé comment? Demanda ma mère déjà sur le canapé.

Tellement pourri que j'aurais préféré rester dans mon lit à regarder un film.

- Ça va, le centre ville était plein. L'informais-je.

Elle me sourit et ce reconcentre sur son programme, j'enlèvais mes bottes et alla m'allonger à côté de ma mère, je posai ma tête sur ses genoux et humais son bon parfum maternel. Je l'aimais tellement. Naturellement sa main se posa sur mes cheveux bouclé et les caressait, me berçant.

- Tu veux me raconter quelque chose ma chérie ? Me demanda-t-elle.
- Je croix que j'ai le mal du pays. Dis-je ironiquement.

Elle riait à ma blague que bizarrement je pensais vraiment, tout me manquais.

- va te changer ma chérie et mange ta part de soupe. Me dit-elle.
- Non ça va j'ai mangé dehors. Lui dis-je en me levant.

Je lui déposais un délicat baiser sur le front, lui montrant mon respect et mon amour en vers elle, Je faisais vite fais un tour dans la chambre de Hanane l'a faisant crier comme une demeurer et alla enfin dans ma chambre me changeait puis sombrer dans un sommeil.

Le lendemain matin, à mon réveille la première chose qui m'était d'abord tombé dessus était ma soeur, je croix qu'elle avait oublié qu'elle était lourde mais ce petit oublié à vite été pardonner puisque à mon tour j'ai oublié qu'il y avait une marche pour accéder à la cuisine donc je lui avais verser mon vers de jus sur ses habilles.

- Ça te dit on va à la librairie du coin? J'ai besoin de quelque chose. Me proposa Hanane.
-Pourquoi y a une librairie ici? Dis-je étonné de ne l'avoir jamais remarquée.
- oue ! Alors tu viens? Dit-elle
- Ouais.

Après nous être préparer, nous sortâmes de l'immeuble blasé du temps pluvieux, Hanane à du remonté pour chercher nos parapluies. Encore heureuse que la librairie n'était pas aussi loin, et surtout qu'elle était encore ouverte, elle avait l'air veille de l'extérieur mais de dedans c'était beaucoup plus accueillant, des gens nous dépassaient. Alors que nous attendions notre tour, cette grosse taré de Hanane jouer avec le bébé d'une dame devant nous.

- Arrête ! Lui chuchotais-je.
- Mais Pourquoi? Me demanda-t-elle perdu.
- Tu lui fais peur. Me moquais-je d'elle.
- C'est pour ça qu'elle sourit n'est-ce pas.

Et ça repartie sur une petite chamaillerie enfantine, qu'elle pouvait être impossible, elle avait toujours un truc à dire. Toujours. Même ci ça ne voulait rien dire.

- Mesdemoiselles? Dit une voix qui nous interrompu.

Un garçon de la vingtaine nous sourit gentiment, nous avions facilement compris que c'était un des employés du magasin, son uniforme beige et bleu lui allait plutôt bien, il était jeune et tout souriant, son sourire me mettait bizarrement à l'aise, son rire avait don d'être contamineux, il était brun au yeux marron et maigre, des lunettes encadraient son regard. Son badge indiquait un prénom, celui d' Ezra, je trouvais ça très jolie comme prénom.

- Je croix que tout y es! Ça vous fera 15$ me souria-t-il.

Ma soeur le payait et nous quittâmes cette endroit chaud vers la pluie qui n'avait toujours pas cessé de gronder.

- Il était pas mal le mec. Dit ma soeur.
- il est mignon. Confirmais-je.
- il est plus que mignon! Moi je dirais craquant. Revassais ma petite soeur. Et puis il a un jolie sourire.
- Ouais.
- Dommage qu'il soit trop grand. Haussa-t-elle les épaules.

Je rie à sa remarque puis la fin de la journée ce passa assez normalement, j'avais passé ma journée à travailler, en fin de soirée je reçu l'appelle de Prune qui prenait de mes nouvelles, elle s'excusa pour hier et la page était déjà tourner.

Le Lundi matin à mon plus grand bonheur je rentrais par l'énorme portail sans capuche, sans accoutrement, de mes habilles habituelles, un jean bleu et un pull. Personne ne me faisait attention, personne. Je sentis des regards furtifs par ci et par là mais rien d'extraordinaire et j'en fus soulagé. Je rejoins mes amis ou plutôt James et Alice.

- Bonjour! Leur dis-je joyeusement.
- Bonjour. Disent-ils en coeur.
- Je suis assez contente que personne ne me voit plus aussi bizarrement. Dis-je souriante.
- ce que Kendrick à lâcher à vraiment fais l'effet d'une bombe. Affirma James.

Je roulais des yeux, entendant le prénom du seul garçon qui ne met pas sortir du crâne pendant mon week-end. Le seul garçon que j'aurais préféré ne pas en entendre parler ce matin.

- Ouais. Lachais-je légèrement froidement.

Je vis Marcus et Prune arrivaient de loin, et je sentis Alice assise sur le banc, se raidir. Elle souffla presque attristé et avant même que nos amis arrivent elle se leva pour s'en aller très loin. Je pouvais la comprendre et je ne raté en aucun cas la réaction du garçon en question.

- Pourquoi elle est partie? Demanda Marcus soucieux.
- très bonne question. Lui disais-je sarcastiquement.

Je croisais mes bras sous ma poitrine et m'en alla trouver mon amie déjà assise à sa place attendant que le cours commence, je m'assis à ses côtés.

- Ça va beauté ? Lui demandais-je.
- Comme sur des roulettes. Me dit-elle toujours aussi attristé.
- ça va s'arranger. La rassurais-je
- Mais je lui avais rien demander moi! Et je n'arrivais même pas à croire qu'elle eu osé lui poser ce genre de question. Non mais sérieux. Dit-elle en posant la tête entre ses bras. Maintenant elle a créé un putain de gêne entre nous. Continuait-elle.
- Je te comprend. Dis-je en voyant le garçon au yeux gris ténébreux entré et à peine me regarder.

La cloche sonna. Une fois que tout le monde avait pris place, notre nouveau professeur d'espagnol fut son apparition. Mon dieu. Lui?

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