Chapitre 27

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Elles étaient sublime, toutes, mais aucune n'en valaient la peine que je casse ma tire-lire, enfin de ce qu'il en restait.

Je sortis du magasin les bras pendantes, la vendeuse me suis du regard, ce demandant si j'allais vraiment sortir sans rien prendre.

J'attendais pendant quelque minutes Kendrick mais étant une grosse impatiente je tournais les talons vers la foule de gens qui se baladait et je suivis le courant suivant leur pas. Je m'ennuyais à mourir.

Bip.Bip.Bip

Je froncais délicatement les sourcils et enfui ma main dans mon sac à main cherchant mon téléphone. Je répondus précipitamment.

- allô.
- imbécile t'es où? Me hurla-t-il.
- Tu pourrais au moins demandé gentiment! Grognais-je.
- Tu préférais peut être que je te laisse ici et que je retourne chez moi? Me menaca-t-il.

Crétin, jurais-je intérieurement. Je relevais la tête et reconnu le magasin.

- Je suis près de Victoria secret. Tu sais le magasin de lingerie. Il est tout en...
- Je sais qu'est ce que c'est.

Et il raccroche. Quel culot.

Je vais m'accouder près des portes rajustant mon bonnet et remettant mes gants essayant de me réchauffer comme je pouvais. Je profitais de cette attente pour dessiner du bout de mes baskets tout ce qui pouvait s'approcher de n'importe quel forme. Je relevais la tête presque contrarié quand des baskets noirs écrasèrent mon chef d'oeuvre.

- Gauffre? Me tendu Kendrick en mordant dans la sienne.
- Merci. Dis-je en l'a prenant dans mes mains.

On commença a marché ne trouvant rien à dire puisque nous étions en pleine dégustation, elles étaient très bonne faut ce l'avouer.

- Et si on reparlait du prof d'Espagnol. Essaya-t-il.
-huh-huh. Dis-je négativement.
- Mai.. tenta-t-il a nouveau.
-Non. Redis-je.
- T... . Commenca-t-il.

Je me mis brusquement devant lui ce qui le surpris et le fusia du regard.

- Non ! Je te préviens. Grondais-je
- Ça va je voulais juste débuter la conversation. Dit-il agacé.
- Et si tu me disais plutôt pourquoi avoir acheté un costume supplèment cravate si tu n'as pas l'intention d'aller au bal.
- J'y serais peut-être, ça dépendra. Dit-il irrité presque.
- De quoi?

Il haussa les épaules dévorant sa dernière part.

- Si c'est moi qui pose problème, je te rassure, je n'y serais pas, tu peux y aller le coeur léger. Dis-je sans réfléchir.
- Et pourquoi tu n'irais pas? Dit-il surpris.

Bonne question.

- Hors mis le faite que je n'ai rien à me mettre et que je ne suis jamais aller à ce genre de fête. Je n'ai personne pour m'y accompagner. Dévalais-je honnêtement.
- Oh. Dit-il presque silencieusement.
- Et toi? Essayant de changer de le déroulement de la conversation.
- Pas mon truc. Dit-il sèchement.
-Bien sûr. Dis-je ironiquement.

Je sentis ses yeux me dévisageaient alors que je mâchais ce qui rester dans ma bouche.

- C'est à dire? Dit-il presque offensé.

Je le regardais surprise et nos yeux se rencontrèrent, on s'arrêta au milieu de la foule à une étreinte peu recommandable me dépassant d'une tête.

- C'est à dire? Pfeu.. Gloussais-je. Rien n'est assez bon pour monsieur. Commencais-je en faisant de gros geste avec mes mains suivis de ma tête qui émettait des grimaces et qui allait sans aucun doute regretté ce qui allait venir.
- Il est clair que tu t'en contre fiche de ce que les gens pensent, ce qui est pour certaine situation recommandable mais tu te donne un air de matcho et d'arrogance ce qui... Dis-je en me crispant.. ce qui me met hors de moi, je me demande si tu fais attention un peu au personne que tu blesse. Lachais-je d'un trait, mais il était hors de question que je m'arrête sur une si bonne lancé surtout qu'il s'était enfin décidé à se taire.
- Et ce n'est que la première partie, huh huh. Rigolais-je nerveusement. Tu ne sais pas t'arrêter, tu es près à rabaisser les gens pour ton seul confort moral ne te souciant pas une seule seconde de leur confort à eux.

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