Chapitre 2

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Me faire réveillé par Félix a été plutôt gênant, premièrement il stressait quand l’avion descendait et deuxièmement il a prétendu que je ronflais pendant mon sommeil ce qui bien évidemment était totalement faux, enfin j'espère. J'ai dû reprendre mes esprits un moment quand l'avion s'était enfin arrêter. Je fixe longuement un point vide sur le siège de devant.

Nous voilà. J'allais repartir à zéro, un nouveau pays, une nouvelle culture, des nouveaux visages, une nouvelle école, de nouveaux amis, de nouveaux quartiers. Mon dieu faite que cette nouvelle vie nous convienne, un peu de bonheur dans notre vie ne sera pas de refus.

Félix se leva et alla vers ses amis dont il m'avait mentionné l'existence au début du trajet. Il se précipita dehors sans m'adresser le moindre regard. J'attend que l'agitation se calme un peu avant de me lever de mon siège mon fidèle sac à doc sur mes épaules. Enfin sur mes deux jambes, elles me lâchèrent subitement, traitresse que vous êtes ! j’essayai donc de m'accrocher à un des sièges mais ma prise était totalement nul, deux bras fort me rattrapèrent avec justesse. Je me reprenais au plus vite et me leva en pliant les jambes pour qu'elles reprennent vie, je me tourna enfin vers cette personne qui a eu l'amabilité de m'aider. Je fus étrangement manquer d'air quand je rencontrais des yeux gris profonds me détaillée.

-Merci de m'avoir retenu. Dis-je toute gêné.

Il me sourit gentiment .

-Je t'en pris. Répond-t-il.

Sa voix, j’avalais difficilement ma salive, étais-je tombée malade ? Je me fis aussitôt tirer par le bras d'une des mains qui met plus que familière, Hanane, je l'a regarda quelque peux apeuré elle regarda derrière moi et sourie. Devenait-elle folle ?

-Leïla on s'est inquiété, tout le monde est sortie sauf toi !  Me gronde-t-elle.

Elle me tirait vers la sortie, incrédule, je jeta un dernier coup d’œil au garçon avant de sortir de cette avion.

-À peine arrivé et déjà un garçon en vue, doucement sœurette. Se moque-t-elle.
- Tais-toi Hanane et avance. Dis-je agacée.

Ma mère était avec deux personnes inconnus à mes yeux, Hanane m'expliqua que maman avait dis que c'était des amis à elle et eux comme nous été venu trouvé un peu plus de bonheur ici, et ça devait marcher vu qu'ils ne sont jamais revenu au Maroc. Je leurs fais la bise par politesse. Avec Hanane nous sommes allé prendre nos valises, à peine arrivé je remarquai ma valise et celle de ma mère. Je m'en munis et attendis celle de ma sœur qui elle n'arrive que 10 min plus tard.

20 h de vol et bien tôt 1h de route, à notre sortie de l'aéroport la vue a été noir sans aucun intérêt, de toute façon il faisait nuit, puis des bâtiments ont commencé à faire surface, plus on s'engouffrait dans cette ville connu par ses endroits touristique ou aussi par sa grandeur; Montréal. Cette ville était tellement belle de nuit, ses bâtiments plus beau les un que les autres, les rues étaient bondée de gens, le centre ville grouille de passant aussi. La circulation n’était pas spécialement bouché, on s’arrêtait de temps en temps à des feux rouge. La discussion était bien présente dans la voiture, je devais même être la seule à ne pas parler, je devais sans doute êtres impressionné ou je n'avais juste pas de sujet de conversation intéressante.

Une main se posa délicatement sur ma cuisse, une main différente de celle de ma sœur mais que je connaissais aussi très bien, celle de ma mère. Je tourna quand même brusquement la tête vers celle-ci. Elle m’offrait un sourire de bonheur ? Ou d'amour ? Peut être de fierté ? Je ne sais pas ! Je sais seulement que ma mère croyait au changement et au seconde change. Je lui souris à mon tour et elle m'embrassa tendrement la main. Ma mère était belle, je ne disais pas cela parce que c’était ma mère, non, elle l'était vraiment, ses cheveux blond et long vacillant dans l’air lui donnait un charme, elle n’était pas très grande les 1m 67 peut-être, ses yeux marron en même temps vert illuminaient ses yeux, ce que malheureusement je n'ai pas hérité d'elle. Elle avait la quarantaine, c'est dis quelqu'un de sensé, qui a tellement vécu de chose horrible mais aussi merveilleuse.


Ma génitrice ouvra la porte en boit costaud, un grincement résonna le lent du couloir, je rentrais la dernière, la maison était un peu plus grande de ce qu'on avait au Maroc, un salon était présent, une cuisine raisonnable, un peu trop petite à mon goût celle-ci s'ouvrait au salon, puis une salle de bain, et trois chambre. Mes lèvres s'étirèrent, enfin ! J'aurais une chambre à moi toute seule depuis le temps que je rêvais d'un peu d'intimité. La peinture des murs sont amoché, on allait devoir s’improviser peintre pour quelques jours. Je déposa enfin ma valise et m’assis grossièrement sur le canapé devant la télévision. Je grognais de fatigue. Ma mère me prévenu que la chambre du milieu sera la mienne. Je déposa donc ma valise et pris ma trousse de toilette, je me brossais les dents avant de me changer en un pyjama, mon pyjama, le plus confortable. Je m'engouffrais juste après dans les draps, et sombre dans un sommeil profond.

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