VIII - Commencement.

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[chapitre qui sera corrigé demain. N'hésitez pas à réagir tout au long du chapitre.]

Un pied était sortit de la pièce, cette pièce où il était soit disant né.
Le deuxième pied? Non, il n'y arrivait pas. Comme si, en sortant de cette pièce, il franchissait l'interdit, l'inconnu.

J'y arrive pas, j'y arrive pas. Vraiment pas... Je suis bloqué..

Leiko et Ozan étaient devant, ils l'observaient, silencieux, sans expression.
Les deux se jetèrent un regard furtif.
Et l'homme se mit à parler;

- Tu peux le faire Nezu, ne reste pas dans cette pièce bourrait de malheur.

Tout en se mordillant l'intérieur de la lèvre, il leva légèrement les yeix vers eux deux.

- Juste, pourquoi moi?
- Tu l'as toujours été Nezu, ces événements sont simplement le déroulement de la procédure.
-Quelle procédure?

Et Leiko prit la parole;
- La procédure, est la procédure. Coopère et tu le sauras plus tard.

Et Nezu ferma sa bouche aussitôt, ces mots s'échappant de son esprit, il ne trouva aucune réplique pour continuer.
Et se contenta simplement d'un hochement de tête, sans le vouloir.

Et voilà, ce coup-ci. Il était complètement sortit de la pièce. Il n'y avait plus aucune marche arrière à présent.

C'était le début d'autre chose.
Ou bien simplement le commencement de sa vie.

Et tous les trois, se mirent à marcher dans le couloir aussi blanc que l'autre pièce.
Évidemment, Ozan était devant. Leiko juste derrière l'homme aux racines blanches.
Et Nezu, le dernier de ce groupe, était derrière.
Et certaines pensées chaviraient dans son cerveau;
Fuir. Loin. Courir, jusqu'à trouver la sortie de cette prison.

Il n'avait qu'à fuir, derrière lui. Le couloir paraissait si long derrière lui, ce n'était pas un cul de sac, il y avait sûrement une sortie.

Quel temps pouvait-il faire dehors? Il fait froid? Le temps est pluvieux? Ou bien le soleil est présent pour réchauffer sa peau?
Quel jour était-il? Quel mois? Et même qu'elle année?

Et ses jambes se mirent à bouger toutes seules, reculant, il fit demi tour. Et sans réfléchir, il se mit à courir, malgré que la force lui manquait. Les yeux pleinement ouverts, un sourire se décrocha de son visage. Comme si la liberté était juste devant lui et le cauchemar s'éloignait derrière lui.

Continue, continue encore. C'est bientôt fini.
Libre, libre, libre.. Répéta t-il, inlassablement.

Pendant ce temps, Leiko et Ozan l'avaient bien sûr entendu, des jambes robotiques qui courts n'est vraiment pas quelques choses discret. Voyons.
Les deux le regardaient faire, sans bouger, même Ozan riait.

- Tu n'es pas allé assez fort toute à l'heure, je crois, Leiko.. Regarde le, il court sans méfiance.. Si innocent..~
- Maitre, Nezu est à 44m de moi, dois-je utiliser la manière forte?
-Bien-sûr, allez. Dérouille moi tes vieilles articulations!

Les yeux de Leiko virent alors directement, au bleu et au noir, son bras levait vers Nezu, son poing resta fermé;
- Je ne suis pas vieille. Enfin. Dit-elle fermant les yeux.

En moins de deux secondes, des traits bleus apparus sur son visage si pure.
A peine deux secondes plus tard, ses yeux s'ouvrirent.
Et puis quatre secondes en tout, son poing se rouvrit.

~illusion, belle illusion;
Dès que mon poing se referma, tu t'arrêteras.
Mur, devient feu,
Sol, devient lave,
Nezu, brûle.

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