Death Note : l'Héritage [ En cours / En pause ]

Chapitre 2

Quelques mois se sont passés depuis que Gloomy avait eu le Death Note et avait trouvé un rythme d'exécution. Le soir, elle choisissait trois personnes à tuer puis donnait une heure pour chacun, choisit au jet de dés. Selon la gravité de leur crime, la mort était différente. Bien sûr, elle ne désignait jamais quelqu'un qui a tué par légitime défense ou bien les policiers qui tués des malfrats. Elle ne tue que les personnes qui avait tuer par jalousie, par gain, par plaisir ou par haine et les personnes qui avaient détruit la vie d'une autre, par quelque manière que se soit. De plus, elle s'était beaucoup renseigné sur KIRA, son prédécesseur d'après les dire de Zetsu. Elle voulait être sûre de ne pas faire les mêmes erreurs, d'où le choix des heures complètement aléatoires ainsi que les victimes choisis complètement au hasard, aux quatre coins du monde qui plus est. En ce qui concerne le Death Note, elle avait pris soin de le déguiser en simple cahier et de faire une sorte de cachette secrète derrière un écran d'ordinateur, dans une extension que même un professionnel aurait du mal à trouver. Avec, elle y avait ajouter les notes sur les différents criminels dont elle avait déjà décidé le sort.

Comme souvent, ce jour-là, elle sortit pour chercher des pièces pour son ordinateur. Cette fois, elle avait besoin d'un nouveau clavier, l'ancien commençant à perdre ses touches rapidement. Elle cherchait un clavier bien particulier, plus confortable et plus solide mais aussi avec des touches moins épaisses pour écrire plus rapidement. D'abord, elle cherchait dans les grandes surfaces mais elle fut très vite déçu et se tourna alors vers les petits spécialistes. Elle n'aimait pas se balader dans les ruelles sombres des basses villes. Elle sortait alors du dernier magasin du quartier et se dirigeait vers l'abri-bus le plus proche quand elle sentit une présence derrière elle. Alors, elle accéléra le pas pour arriver le plus vite possible dans une zone passante mais elle fut rapidement rattraper. La personne l'attrapa par le coup, la jeune fille eue le réflexe de monter ses mains vers le bras de l'agresseur pour se retirer de son étreinte mais l'individu plaqua un chiffon sur sa bouche avant qu'elle n'eût le temps de crier et elle perdit conscience, comme tombant dans un rêve.

Le réveil fut difficile. Sa tête lui semblait lourde et elle se fit violence pour reprendre conscience complètement. Elle était allongée dans un lit avec une ossature en métal et un simple matelas blanc, comme les murs. La seule ouverture était une porte en métal qui semblait difficilement violable. Elle chercha son sac et son portable mais il semblait que l'on lui ait pris. Elle s'assit sur le côté et souffla d'agacement. Puis, elle prit alors son portable de secours caché dans sa botte droite. Par chance, il était encore là. Elle activa le GPS pour savoir où elle était mais celui-ci peinait à retrouver sa trace. Un bruit de clef dans la serrure retentit et elle cacha rapidement son smartphone dans sa botte avant que la porte ne s'ouvre complètement. Un homme costaud aux allures de militaire ordonna durement à la jeune fille de sortir de la pièce et il l'emmena dans une grande salle. En plus de la hauteur de plafond incroyable, la pièce contenait du matériel informatique haut de gamme ainsi qu'un coin pour manger une d'une grande table de réunion. Au bout, un ordinateur était posé, éteint. Il y avait d'autres personnes dans la pièce, en plus des militaires qui surveillaient chaque fait geste.

Il y avait trois hommes autour de la table. Le premier était déjà assis, les jambes croisaient et posaient sur la table, fumant une cigarette. Le second homme avait une allure beaucoup plus classe avec une barbe de trois jours. Il patientait, les yeux fermaient, les bras croisaient, semblant comme réfléchir à la situation actuelle. Le dernier était beaucoup plus agitait et semblait tourner en rond depuis des heures. Il avait tout de l'allure d'un policier renfrogné. Au vu de ses piratages, la jeune fille eut peur qu'il l'arrête mais elle se rappela que personne ne savait à quoi elle ressemblait. De plus, elle portait son habituelle masque noir chirurgical et sa capuche était remontée, ne permettant pas de voir son visage correctement en plus de sa forme de visage caché derrière ses cheveux noirs.