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Je marche et marche encore, l'ennuie est présente, je suis contente d'être ici mais, après être passé aux soins intensifs, il n'y a plus vraiment rien d'intéressant, juste les cris de douleurs des patients des psychiatres extrêmement blancs et des murs sombres et sales. 

Je commence quand m^me à regretter ce qu'il c'était passé tout à l'heure, je ne comprends pas pourquoi mais, j'avais envie de faire du mal à cette personne, pas pour une raison particulière, sur ce qu'il a fait ou pas, mais juste pour le plaisir de faire souffrir quelqu'un. Soudain, un souvenir refait surface, je me souviens quand j'étais petite, j'avais déjà l'envie de faire psychiatre et tout le monde me disait que j'étais trop fragile, que ça allait être trop dure pour moi, que je ne tiendrais jamais. Sauf que, j'ai voulu continuer dans ma lancé et leurs prouver à  tous que je pourrais réussir dans ce domaine. Je suis quand même déterminée! Et s'ils avaient raison? Que je ne tiendrais pas une simple journée, je ne pratique rien, je visite  les locaux. J'ai peur de sombrer, un jour ou un autre et si c'était aujourd'hui? Non, ils ont tort, je tiendrais jusqu'à ma mort, je vais leurs prouvés de quoi je suis capable, à mes amis, à ma famille et à mes anciens professeurs, ils verront et pour cela, je dois me rattraper. 

Une journée dans un asile Tome 1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant