Je Sais Pas Vraiment [En Pause Ou Terminé ]

Chapitre 2

Nos petits étaient devenu moyen. L'une avait seize ans, l'autre avait vu seize automnes.

Quelques années après leurs rencontre la jeune fille avait appris la mascarade pour sortir et revenir aussi propre qu'un sous neuf. Elle prétextait une ballade où elle disparaissait simplement et en chemin elle abandonnait ces vêtements pour ce rendre au courant en chemise et en bas. Malheureusement elle ne pouvait rien pour son teint devenu hallé alors qu'une femme de son rang devrait l'avoir blanc comme de la porcelaine. Et lorsqu'elle devais rentre chez elle elle remettait c'est vêtements grâce à son ami qui avait fini par savoir lacets un corset pour aider son amie à revenir sans bleus ou blessures aux jambes dû aux coups de son père.

Ce que c'était ridicule un corset. Elle ne respirait plus avec ça mais elle devait le mettre. Qui était étrange au point de mettre quelque chose qui faisait souffrir ?

Aucun des deux n'avait la réponse.

Durant toutes ces années ils avaient grandi ensemble, appris ensemble. Ils savaient nager, parler aux esprits, leur demander des choses et faire des échanges avec les éléments. Car quand l'un d'eux apprenait quelques chose il l'enseignait directement à l'autre.

Ils avaient même un code pour ce retrouver. Il demandait au vent de porter trois coups de sifflet aux oreilles de l'autre. Quand ils entendaient les trois coups de sifflets, cela voulais dire qu'un des deux étaient au courant et qu'il patientait l'autre.

Pendant ces années, la jeune fille avait assisté à plusieurs cérémonies de la tribu. Mais jamais lui n'était allé chez elle. Elle avait peur de la réaction de son père face à ceux qu'il appelait "sauvages". Elle lui avait expliqué, et vu qu'elle avait peur il n'en tenait pas rigueur.

Elle n'avait peur de rien sauf de ce qu'il pourrait lui arriver. C'était la seule chose qui lui importait le bien être du jeune homme, le reste elle n'en avait cure!

Les jeunes filles de sont rang devrait s'occuper de robes, chaussures, et bon partis à trouver. Elle ce qui l'occupait c'était Solta et ce qu'il lui disait. Rien d'autre.

Lui ce qui lui importait c'etait le bien être de Védine, elle était courageuse donc quand elle lui disait qu'elle avait peur de la réaction de son père s'il le voyait, il ne préférait pas le voir.

Pourquoi il s'énerverait d'ailleurs ? Il n'était pas différent de lui.

Mais après tout il s'en fichait car s'il avait dû voir le père de la jeune fille il aurait passé moin de temps à parler et à rire avec elle.

Donc il s'en fichait.

Il y a quelques semaines la jeune fille était venu au courant révoltée comme jamais au par avant.

Il avait réussi à la calmer un peu, mais en réalité il l'avait trouver mignonne énervé comme elle l'était. Les joues rouges, ses cheveux naturellement bouclés sautillait quand elle tournait la tête ou faisait de grands gestes pour marquer son mécontentement. Ses yeux lançaient des éclairs à tout ce qui l'entourait sauf sur lui. Quand ces deux perles vertes comme les feuilles d'un arbre se posait sur lui on pouvait y lire de la tristesse. Et le garçon le voyait. Cela devait vraiment être important, ou alors l'impliquer lui d'une quelconque façon.

-Que t'arrive-t'il? Tes yeux me demande des choses que je ne comprends pas. Explique moi ce qui te tracasse?

Il était presque suppliant, il préfèrait voir la jeune fille souriante. Mais si elle avait besoin de la colère alors soit. Après tout la colère faisait parti de la vie.

-Mon père veut me marier lorsque mes dix-sept ans auront sonnés!

Voilà donc pourquoi elle était énervé. C'est ce qu'elle redoutais depuis ces dix ans. Un mariage forcé.

-Et tu sais déjà avec qui?

Il ne comprennait pas cette notion de mariage forcé, elle non plus d'ailleurs alors que c'était censé être son "monde". Peut-être aurait-elle compris si plusieurs années auparavant elle n'avait pas échappé à la surveillance de sa mère et par conséquent n'aurait pas rencontré un petit garçon sur l'autre rive d'un courant d'eau. Peut-être n'aurait-elle pas compris même si elle ne l'avait rencontrer. Car déjà à ce moment-là elle avait un fort caractère.

-Non. Il fera comme une sorte d'annonce vicieuse dans les réceptions. Comme si j'étais quelques chose à vendre au plus offrant.

-Les hommes pâles sont vraiment énigmatiques.

Ils se regardèrent et hochairent la tête.

-Mais tu m'avais pourtant dit que les femmes et même parfois les hommes n'aimaient pas cette façon agir. Alors pourquoi n'est elle pas abolie ?

Elle le regarda et haussa les épaules.

-J'en sais rien. Peut-être pour ce venger d'avoir subit la même chose.

-Ça doit être ça. Et que feras-tu si quelqu'un veut ce marier avec toi?

Elle s'assit et réfléchit quelques instants. Elle releva la tête vers Solta et le soleil l'éblouit quelques instants.

-Je partirai, je veux choisir ma vie.

Une bouffée d'excitation grandit en Solta. Lui aussi voulais partir avec elle.

-Tu accepterais que je vienne avec toi?

Elle le regarda comme s'il venait de dire une chose idiote.

-Pourquoi tu pensais que je partirai sans toi?

En vérité aucun des deux ne se voyait plus dans l'autre. Cela faisait tellement longtemps qu'ils étaient tout les deux que même dans leurs têtes ils étaient deux.

Il sourit, rassuré et il leva la main vers Védine. De l'eau accompagna son geste et vint s'écraser sur le visage de la fille. Elle cria surprise, et leva la tête vers Solta.

Lui riait en ce tenant les côtes. Si elle avait vu ça tête ! Elle rirait sans doute comme lui.

Elle sourit en le voyant comme ça. Elle le regarda, attendrie, quelques secondes jusqu'à ce qu'une goutte d'eau dégouline d'une de ses boucles et trace un sillon froid dans le dos de la jeune fille.

Elle releva les yeux sur une mèche de cheveux qui lui tombait sur le nez et déssida qu'aujourd'hui elle ne serai pas là seule trempé.

Elle se leva, enfonça c'est pieds dans le sol et ballaiya l'air de son bras.

Solta fut envoyé par une bourasque dans l'eau du courant.

Il tomba comme un pierre dans l'eau et le choque envoya de l'eau partout autour également sur la chemise de Védine.

Il se releva en sourire carnassier sur le visage. Il leva les deux bras et les ramena brusquement vers lui. La jeune fille fut enmené vers lui sans pouvoir rien y faire.

Il souleva son bras vers le ciel et Vésine décolla. Le bras du jeune homme était bandé et on voyait les muscles de son bras apparaîtrent sous sa peau.

Même s'il était aidé des esprits il ressentais le poids de la jeune fille. Et elle l'évitait à trois lettre de l'eau, avec des vêtements gorgés d'eau qui lui collait à la peau.

Comme à leur habitude Solta lâcha sa prise sur elle et la laissa tomber dans l'eau.

Elle en sorti souriante et hilare.

Puis son sourire se teinta de tristesse.

-Tu vois je ne peux me marier avec un inconnu qui ne m'aimera pas. Je ne peux vivre avec les peau pâles qui ne sont jamais joyeux.

Solta approuva. Il ne la laisserait pas être malheureuse et se marier avec un inconnu. Il l'aimait trop pour ça !

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Petit changement de prénom pour notre petite elle est passée de Hémiana (je crois)

À Vésine( c'est plus simple pour moi l'autre je m'en souvenais plus)