Je Sais Pas Vraiment [En Pause Ou Terminé ]

Chapitre 6

Elle se réveilla nez à nez avec Solta. Son visage s'empourpra.

Ils n'étaient pas aussi proches quand ils s'étaient endormis si?

Leur front étaient collés, une jambe de Védine capturait une jambe de Solta qui était elle même capturé par l'autre jambe de Solta. Leur mains étaient liés et leur bustes pressé l'un contre l'autre. Non seulement leur front ce touchaient mais leur nez ce frôlaient et leur bouches n'étaient qu'à quelques millimètres d'un contact plus que désiré.

Elle voulu ce dégager de cet étreinte bouillante car sous cette couverture leur corps dégageaient une forte chaleur et elle cru exploser. Mais elle ne voulait pas briser cette proximité avec lui. Cette ce n'était pas la première fois qu'ils dormaient ensemble. Après les cérémonies où elle participait ils dormaient ensemble et au petit matin elle se faufilait dans son grand lit froid et vide de tout.

Mais jamais elle n'avait eu cet, cet,.. cet envie. Mais l'envie de quoi? Presser ses lèvres aux siennes? Coller son corps un peu plus contre lui?

Non elle n'avait jamais eu cette envie.

Elle ferma les yeux exaspérée par ces propres pensée quand Solta remua dans son sommeil. Il faisait vraiment chaud sous cette couette. Et le corps de Solta était au moin voir plus bouillant que le sien.

Elle réfléchit quelques instants à certaines choses. Si elle avait eu la chance d'avoir un endroit où aller pour fuir la doctrine pâle, d'autre ne l'avait pas.

Aurait-elle eu la force de fuir si la situation avait été différente? Si Solta n'était pas là et qu'elle n'avait personne, nulle part où aller ?

Elle aimerait croire que oui mais elle n'en était pas sûr.

Elle comprenait les autres femmes qui devaient ce sentir acculées. Elle elle avait de la chance.

Sa mère avait-elle accepté son sort ou avait-elle souffert de son sort la nuit dans ses draps froid et mouillé par des larmes pleines de tristesse et d'espoir d'arrêter toute cette machinerie incontrôlable ?

Ou les femmes pâles étaient-elles réellement ce qu'on leur disait ? Des instruments à pondre des enfants, incapable de réflexion lucide et incapable de vivre sans hommes pour les protéger ?

Non , elle était le fruit de deux personnes pâles, par conséquent elle l'était aussi, plus en apparence mais dans ses origines. Pourtant elle savait réfléchir, elle savait ce défendre sans homme, la preuve en est qu'une fois elle avait sauvé Solta car il avait dérapé sur une parodie lisse et humide alors qu'ils étaient lancé à toutes vitesses. Il allait ce tordre le coup en tombant.

Elle avait lu la peur dans ses yeux. Alors elle avait fait demi-tour pour l'attraper au dernier moment afin de le relever grâce à tout les colliers qu'il avait autour du coup.

Donc non les femmes pouvaient ce passer de la force des hommes. Les hommes comme le disait son père seraient le "sexe-fort", elle venait de se prouver qu'il avait tort.

Elle en était la dans ses réflexions quand une main lui caressa doucement la joue. Elle ouvrit les yeux pour voir le visage de Solta, les yeux clos mais un sourire sur les lèvres.

Son ventre se contracta sous ce contact.

-Bien dormi? Demanda-t'il, ses lèvres pleines ce courbant pour parler. Elle en était obnubilé.

-Oui et toi? Souffla t'elle.

Il hocha la tête pour toute réponse.

Quand ils décidèrent de ce lever la vielle alla à la rencontre de la jeune fille.

Elle l'attrapa par la main et lui donna des vêtements. Elle ne pouvait tout de même pas ce trimballer en corset et en robe tout le temps? Surtout si ils partaient, ils devraient courir et escalader des choses. Donc cette tenue peu confortable ne convenait pas. Elle n'était pas d'accord, un corset !

Elle lui donna des vêtements qui lui iraient puis partit avec le corset pour le bruler. La jeune femme aurait préfère le brûler elle même, comme une sorte de vangence personnel mais la vielle en secouant la tête et en levant les bras en l'air tout en déblatèrant sur l'inutilité de cette chose là tout simplement ballancé au feu pour s'essuyer les mains après.

Une bonne chose de faite avait-elle pensé.

Védine sorti de l'abrit où la vielle dame l'avais poussé avec de nouveaux abits qui ne l'entravaient pas! C'était merveilleux.

Sa robe en daim était serré à la taille par une ceinture ou des formes coloré y étaient représentés, ces mêmes formes étaient également représentées sur son décolté. Sa robe ce terminait en forme triangulaire au niveau de ses genoux avec des franges de cinque centimètres environ. La vielle lui avait aussi donné des bijoux. Elle avait un bandeau sur le bras qui rappellait les couleurs de sa ceinture de de son col et un bandeau lui aussi semblable au front. La vielle voulu lui faire deux nattes mais elle refusa, elle voulait garder ses cheveux bouclés en désordre. Toute sa vie presque ils avaient été attaché, en chignon serrés ou en cascades extravagantes. Elle les voulais normaux.

La vielle lui attacha un bracelet de pieds à chaque chevilles et y plaça une plume dessus.

-Comme ça ton pas sera léger et tu pourras voler. Lui avait-elle dit.

Elle l'a remercia en la prenant dans ces bras et elle rejoignit Solta.

Quand il la vu apparaître dans ces habits ses yeux s'ouvrirent comme deux gouttes d'eau.

Il n'en revenait pas. Sautillant jusqu'à lui elle lui paraissait magnifique.

Elle l'attrapa par le bras et ils partirent explorer ce monde.