|Chapitre 18|

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J'étais toujours étendue sur le ventre, Dylan avait quitté la pièce depuis un petit moment déjà. Je me mis à pleurer, seule, dans le noir.

J'en peux plus de ce jeu stupide.

D'un coup, je me leva et me rhabillai, je sortie de la pièce en essuyant mes larmes. Je traversai la maison sans adresser un regard à quiconque, ouvris la porte d'entrée, sorta, accrocha quelqu'un au passage dans l'allée, mais je m'en fou. Je ne m'excuse pas, je ne relève même pas la tête pour savoir qui s'est, j'embarque dans mon auto, démarre le moteur et pars en direction de ma maison sans un regard derrière moi.

***

Le soleil entra par la fenêtre dont j'avais oublié de fermer le rideau la veille, ce qui me réveilla.

J'étais encore toute habillée et maquillée étendue sur mon lit.

Je regardai mon cadran qui affichait 11h43. Ma mère devrait déjà être partie prendre son avion pour son travail. Tant mieux. J'ai la maison à moi.

Je me levai et alla dans ma chambre de bain. Je partie la douche et commença à me déshabiller.

Je pris un moment pour me regarder dans la glace.

Qu'est ce que j'ai fais pour mériter cette vie médiocre.

J'embarque dans la douche et me savonna tout le corps, mais lorsque je passa la savonnette sur mes fesses une douleur m'envahit.

Bordel! Ça fait un mal de chien!

J'avais l'impression de revivre ma soirée d'hier tellement la douleur était encore présente.

Je sortie de la douche et alla dans mon dressing où je chercha une robe à me mettre puisque mes fesses me font souffrir.

J'en trouvai une simple, noire qui m'arriva à mi-cuisse. Je l'enfilai et alla dans mon salon écouter ma série couché sur le ventre.

***
Toute la fin de semaine j'ai eu du mal à m'asseoir correctement. Aujourd'hui je devrais me rendre à l'école, mais je me vois mal expliquer pourquoi je n'arrive pas à m'asseoir sur une chaise comme tout le monde.

Alors je reste chez moi jusqu'à jeudi où la douleur, une fois assise, est supportable.

Je me rends donc jeudi matin à l'école.

Arrivé à l'école, Lucy était devant mon casier en regardant partout, l'air inquiète. Quand elle m'aperçue, ses épaules ont retombées et elle m'a prise dans ses bras.

- Je me suis tellement inquiétée pour toi, Élie! Tu ne répondais pas à mes messages ni à mes appels! Je me suis dis que tu étais peut-être fâché contre moi mais quand tu ne t'es pas pointée à l'école pendant 3 jours je me suis mise à paniquer!, me dit tellement vite Lucy que je retiens à peine ce qu'elle vient de me dire.

- Eh ouin désolé j'étais... malade et je ne sais pas où est mon portable, je ne l'ai pas retrouvé depuis vendredi soir. Je crois que je l'ai perdu.

- Eh bien va falloir que tu ailles t'en racheter un au plus vite!, me dit Lucy sur un ton protecteur.

Au loin, Dylan nous regardait avec un sourire en coin, l'air de cacher quelque chose.

La journée avança et lors de mon dernier cours j'eue une envie pressante. Je sortie de mon cours et me renda aux toilettes les plus prochent.

Je resortie de ma cabine pour me laver les mains lorsqu'une fille entra. Je relevai la tête pour voir qui est-ce.

Putain de merde!
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Hellooo mes p'tits cupcakes!!!

Voici le chapitre 18 comme beaucoup d'entre vous me l'ont demandé!

J'espère que vous l'avez aimé!

N'hésitez pas à venir me parler en privé, il me fera un grand plaisir de vous répondre!

Continuez à voter et à commenter!

J'vous aime!
Marie Xx

Un jeu tordu || en cours ||Où les histoires vivent. Découvrez maintenant