Le pays des merveilles : L'amour, plus fort que tout!

Chapitre 1

PDV MADDISON
Debout, dans ma chambre, j'étais entrains de jouer du violon. C'était pour moi, un bruit de relaxation qui me calmais toujours. Sa douce mélodie me faisais rappeler mon oncle, qui était malheureusement mort... Il m'avait tout appris de la musique, comment la jouer et la chanter. Je n'avais qu'un an quand j'avais commencée à chanter. Si on pouvait appeler cela comme ça... Maintenant, j'avais 10 ans, je m'étais donc beaucoup améliorée avec le temps. Sauf, que mes parents ne voyaient point ma passion. Pour eux, je devais devenir la cuisinière en chef de la reine et rien de plus. Soudain, mon meilleur ami apparu de nul part dans ma chambre.

Cheshire - J'adore t'entendre jouer, tu es excellente!

Ce chat souriait tellement qu'on voyait toutes ses dents. C'était malheureusement, mon seul ami dans ce pays. Je ne sortais pas beaucoup à cause de mes parents donc, je ne pouvais faire d'autres rencontres. J'avais connus Chess, grâce à mon oncle. Si mon oncle avait été comme mes parents, je n'aurais jamais eu d'ami... Je me comptais donc chanceuse de le connaitre.

Maddison - Merci Chess.

Je regardais ma porte de chambre qui était fermée et soupirais. Je ne voulais pas aller cuisiner ce soir... Je détestais cela, c'était très stressant devoir être parfaite...

Cheshire - Tu sais, tu n'es pas obligée d'y aller?

Je pensais pas trop longtemps à sa proposition. Je savais que j'allais avoir des ennuies, si j'écoutais mon coeur et mon meilleur ami. Je lui donnais donc mon violon et lui souriais.

Maddison - Tout va bien aller... Garde mon violon, je ne voudrais pas que mon père le brise... Encore une fois...

Il hochait la tête et s'en allait pour ne pas que personne le voit. Après quelques minutes, quelqu'un cognait à ma porte.

Grand-mère - Maddie? Tu es prête?
Maddison - Oui, grand-mère!

Je soupirais une dernière fois, avant d'afficher une fausse joie sur mon visage. J'ouvris par la suite la porte, et fit une petite révérence à ma grand-mère.

Grand-mère - Tu sais Maddie, un jour tu vas suivre les traces de ton père et ta mère!

Je me retenais pour dire aucun commentaire. Je refusais de faire de ma vie la passion de mes parents!

Grand-mère - Tu vas te trouver un homme et vous allez vous marier. Vous allez vivre heureux avec la cuisine et vos enfants!

J'imaginais tout cela, sans la cuisine... On arrivait finalement dans la fameuse pièce. Tout les cuisiniers étaient à leurs fourneaux, sauf moi. Mes parents venaient me voir plus qu'excités par l'évènement.

Papa - Je suis sûr que tu vas y arriver! Quand tu vas gagner ce concoure, tu pourras avoir une place réservée pour cuisiner chez le roi et la reine! C'est géniale, n'est-ce pas?

J'essayais de paraitre aussi excitée qu'eux mais, je n'y arrivais pas.

Maddison - Oui, géniale...

Ils me souriaient et m'encourageaient du regard à aller me placer. Je ne l'ai décevais point là-dessus mais pour la suite, je ne pouvais l'assurer...

Juge - À VOS FOURNEAUX! PRÊT? GO!

Tout le monde commençaient à cuisiner rapidement. Tandis que moi, j'étais complètement perdue... Je détestais les compétitions de ce genre, ça me stressais pour rien. Je regardais mes parents qui m'encourageaient, et je me sentis mal de ne pas aimer leurs passion... J'aurais plus être leurs petite fille modèle mais, je ne l'étais point.

Maman et Papa - VA-S'Y MA GRANDE! TU ES LA MEILLEURE!

Je décidais de ne pas les décevoir, à ce moment. Je pris les ingrédients de la recette et commençais à travailler. Tout allais bien, jusqu'à ce que j'arrive au four. Je ne savais jamais comment cette machine marchait. Je faisais toujours sois une cuisson trop longue ou trop courte... Je déposais donc le plat dans le four, et mon stresse monta en flèche. J'attendais, j'attendais et attendais encore... C'était long, peut-être même trop long... J'ouvris mon four en panique et une grosse fumée noire s'échappait du plat. Je commençais à tousser et prenais un linge pour disperser la fumée. Je savais à cet instant, que j'avais gravement déçus mes parents... Je n'osais alors pas me retourner vers tout le monde.

Juge - Bravo Mademoiselle Miller! Vous venez de vous garantir une place dans les perdants.

Je regardais mes parents, honteuse de leurs faire vivre cela. Les larmes me montait aux yeux, et je partais de la salle avant que ma mère ne parle. Je ne voulais plus être ici, je voulais sortir et prendre l'aire. Je me sentais extrêmement étouffée là-dedans.

Maman - Maddison!

Je courais à toute allure vers la porte de sortie. Je dévalais les escaliers puis, sortis dehors en continuant ma cours. J'étais une honte pour mes parents à cette heure... Je finissais par m'assoir sur un petit banc abandonné, et commençais à pleurer. Je me détestais au fonds de moi-même...