3. Punitions pas comme les autres

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Mme Gilles : Pénélope et anouk allez tout de suite dans la classe 102.

Me : mais ...

Mme Gilles : je m'en contre fiche, les ordres sont les ordres. Mais si ça vous fais si peur, je peux vous rassurez, vous n'aurez pas de punition digne de ce nom.

Pénélope : oui, désolé milady

C'est quoi ça " milady ". Je vous rappelles que nous sommes en France. What the fuck, en plus la professeur approuve.

Pénélope me tire par le bras et me fait sortir de la classe.

Me : pourquoi tu l'as appelé "milady" ?

Pénélope : les anciens parlent comme ça, j'ai fait pareil pour voir, en plus elle a approuvé, tu vas voir les habitués du lycée sont hyper étrange, en plus ils ont des yeux de différentes couleurs improbables.

Me : pour les yeux j'ai vu, par contre milady, faut quand même pas exagérer.

Pénélope : tellementttt, bon viens faut que l'on aille en 102. Est-ce que tu te poses la même question que moi ?

Me : bah ouais comment ça se fait qu'elle nous emmène pas chez le directeur, bon après il est hyper louche donc pas de problèmes.

Pénélope : ouais je sais pas...On y ai.

Elle toque...

- entrezzzzz

On entre...

Je vois un homme avec des yeux verts, costauds, beau cheveux blonds, il a l'air très grand, je pense qu'il a entre 20 - 25 ans, bon voilà je vais pas tout vous décrire non plus.

- Ah enfin, je vous attendais.

Pénélope : la professeure vous a appelé ?

- aucune question jeune fille. C'est impolie sachant que vous êtes en faute. Passons, vous avez parlé en cours ?

Me and Pénélope : oui, monsieur, disons-nous en baissant la tête.

- très bien, je pense que vous êtes au courant que les punitions ici ne sont pas des choses pacifiques comme, des heures de colles ou encore pire des croix. Non, dans notre établissement nous avons décider de punir pour que la personne ne recommence. Ai-je été claire ?

Me and Pénélope : oui, monsieur.

J'espère que c'est une blague, pour avoir seulement bavardé on va se faire punir "méchamment". Mais en vrai, je me demande ce que c'est.

- donc pour ...

Me : pourquoi être autant puni juste pour du bavardage ? Le coupais-je.

Oops

- pardon ?

Me : ...

- Pénélope ça ira pour cette fois vas en cours tout de suite.

Elle pars m'abandonnant

- alors, anouk c'est ça ?

Me : oui, monsieur

- dans cette établissement, on dit milord pour les hommes et milady pour les femmes alors arrêtez avec monsieur. Donc, à ce que je vois tu te poses énormément de questions. Je vais te dire juste une chose. Ne me coupe plus jamais la parole daccord ?

Me : oui, milord.

C'est hyper gênant, en plus je ne fait plus trop la maline là.

- tu peux partir pour cette fois mais la prochaine fois je ne serai pas aussi clement

Me : merci, Milord

Je sors de la pièce, je suis tellement honteuse, je m'en veux de lui avoir coupé la parole, il est froid. L'ambiance dans la pièce était lourde et stressante.

J'ai juste envie de rentrer chez mamie et de m'engouffrer sous ma couette. De dormir pour remettre mes idées au claire.

Vous savez la petite boule d'appréhension au niveau de l'estomac et bah c'est exactement ce que j'ai.

Je m'avance vers la salle la salle de classe d'un pas lourd et immensément lent à la façon d'une tortue. Non, mais vraiment dès mon premier jour de cours, il se passe n'importe quoi. Franchement...

- Eh, qu'est ce que tu fait dans les couloirs alors que tout le monde est en cours ? M'interrompis de mes pensées, d'un ton froid.

Je relève la tête et vois carter.

Me : euh, je ... je... j'ai été enfin je dois retourner en classe, dis-je en bégayant.

Carter : Tu es tellement pathétique. Débrouille toi toute seule je n'ai pas que ça à faire.

Ah ok, c'était tellement violent c'est la journée de la honte qui mélange le malaise. J'en ai juste marre je le regarde mal et ...

- Mec, je te cherchais partout, dis une autre personne avec un ton froid encore et toujours un ton froid.

Je me tourne et vois le mec avec les yeux rouge.

Carter : ouais, j'arrive.

Le mec aux yeux rouges me toise comme si j'étais une vulgaire merde écrasé.

- dégage

Il parle à moi comme ça c'est une blague. Il a trop cru. Non enfaite je sais que je ne répondrai rien et que je vais partir, je sais je suis lâche. Je me retourne en baissant la tête et pars vers ma salle de classe.

Toc toc toc

Mme Gilles : ah vous revoilà venez vous mettre toute seule devant s'il vous plaît, madame Hills.

Me : oui, mad...milady.

Mme Gilles : je vois que mon collègue. Mr bamer vous a appris les politesses. Il était tant.

Je vais m'asseoir en faisant semblant de ne pas avoir entendu. Plus je vais dans ce lycée plus je le trouve bizarre j'ai tellement de questions. Pourquoi, les anciens élèves sont si froids et si beau et si bien formé ?

Dans cet établissement j'ai tellement honte, moi je suis ni plate ni pulpeuse, je fais la base de taille des seins ça veut dire 85 B c'est tellement commun, je n'ai pas de cuisses, elles ressembles à des cures dents et la seule chose que j'ai d'assez beau c'est que j'ai une chute de rein assez prononcé mais c'est tellement commun. Je suis une élève si commune. Ici tout les filles possèdent leur style et sont toutes magnifiques. Je suis tellement pathétique.

Bon revenons à nos moutons, ce lycée est tellement étrange, je pense demander à ma grand-mère dès que je rentre, si je peux changer d'établissement tout de maniere elle ne pourra pas dire non, il y en a plusieurs à Nice.





Hey, à vrai dire j'écris directement sur mon téléphone et j'ai plein d'idées pour la page 4 donc je pense poster assez tôt celui-ci. Voilouuuuuuuuu.

Célestine 🍉

Secret héréditaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant