Secret héréditaire

6. Manipulate

dring dring dring

Ce putain de réveille sonne, je me lève avec difficulté de ce magnifique lit, qui me donne tant de plaisir. Je m'étire comme a chaque fois sans laisser échappés des petits couinements sourds.

Bon, comme je vous avais si bien dit, la nuit porte conseille et je me suis détendue, il est temps d'admirer ce lycée d'un autre point de vue qu'une fille comme moi si immature, j'ai mal réagis comme d'habitude quoi. Bon c'est vrai que cette histoire de punition reste louche mais je pense qu'ils veulent juste nous faire peur et au pire je ne reparlerai plus ! Je veux juste oublier ces moments dans ma tête et je verrais bien mais s'il se passe encore quelque chose de surnaturel là, je ne changerais plus d'avis.

Je me dirige vers le lycée d'un pas déterminé et nonchalant, il faut que je montre que j'ai confiance en moi pardi ! Je croise le regard de Pénélope qui me sourit.

Pénélope : c'est aujourd'hui que tout commence ! Enfin.

Me : hein ?

Pénélope : ils vont enfin nous affecter dans des classes qui est à notre niveau mental, cela va se faire tout de suite, viens avec moi.

Me : ah, cool. Comment tu sais ça ?

Pénélope : je le sais c'est tout.

Je n'en dit pas plus et suis les pas de cette chère Pénélope. Elle m'énerve à tout savoir mais bon je suis un peu crevée donc je ne dis rien. Nous déboulons dans une sorte d'immense vérandas, la végétation est omnipresente, elle remplis toute la pièce de fond en comble. L'atmosphère est incroyablement idéale et agréable je m'y sens reposée et couvée. Je peut y apercevoir des roses, des tulipes, des géraniums, des coquelicots, des violettes et plein d'autres plantes ainsi que des plantes grasse tel que des palmiers ou encore de l'aloe verra.

Pénélope : ça commence, s'exclama t-elle toute en s'émerveillant.

Me : ouais, ouais dis-je d'un ton blasé

Pénélope : allez sois joyeuse, on va être avec les anciens maintenant.

Me : je sais pas comment tu fais pour savoir tout ça, je n'étais même pas au courant.

Pénélope : c'est rien.

Provisor : Chers nouveaux élèves, je vous ai réunis ici pour vous affectez dans la classe qui va en fonction de vos capacités mais avant cela nous allons faire un petit test pour ne pas nous tromper. Il serai fort dommage que vous vous retrouviez dans une classe pas adapté à votre niveau. Faites la queue je vous pris.

Nous nous rangeons quand notre prénom est appelé, je suis vers les derniers. Le discours du proviseur m'a semblé hypocrite comme pas possible et son sourire c'était le pire.

La queue avance doucement, mais bizarrement il n'y a pas la totalité des personnes qui ressortent. Lorsque la première personne sort de cette pièce mystérieuse elle me semble essoufflée comme si elle avait fait un effort assez dur. En voyant ça, je me dis que plus j'essaye de me dire que ce lycée n'est pas louche et plus je le trouve bizarre.

Après une durée assez longue, c'est enfin à mon tour de passer, je rentre dans une petite pièce sombre où un jeune homme m'assoie et me passe des électrodes sur la tête. J'aime vraiment pas ça, je ne suis absolument pas rassurée mais j'y suis bien obligée. Je déteste ce genre de situation, j'ai envie de me débattre et de partir en courant mais comme nous le savons tous je suis lâche et tout ça est plus facile à dire qu'à faire ! Même si intérieurement j'ai envie de voir où ce test mène, je ne veux vraiment pas le faire, j'ai une immense boule au ventre.

Me : qu'est-ce que vous allez me faire, questionnai-je l'homme devant pas du tout rassurée.

Le monsieur : ce ne sera pas douloureux.

C'est la phrase la moins rassurante que je n'ai jamais entendue dans toute ma vie.

Le monsieur : ça va être très simple anouk, nous allons voir quel type tu es avec un test, ne t'inquiète pas tu ne ressentiras rien du tout, continua-t-il.

Le monsieur : C'est parti !

Je sentis des ondes qui me frôlaient le cuir chevelu, pendant une bonne minute rien ne se passa puis doucement je sentis quelque chose prendre le contrôle de mon corps j'avais l'impression que je n'étais là même personne mentalement mais surtout physiquement mais je ne voyais rien, ma respiration commença à devenir saccadée et mon coeur s'emballer gentiment. Je sentis que je changeais encore d'aspect. C'était affreux comme sensation, j'avais l'impression que l'on m'arrachais mon identité alors que je commençais à haleter tout s'arrêta. Je repris mon souffle essoufflée.

Le monsieur : mmmmh, intéressant, dit-il en rentrant dans la salle. Tu peux partir.

Je m'apprêtais à sortir mais c'est là que je remarquais un vitre teintée. J'étais donc vu lors de cette événement si peu semblable.

Vraiment bizarre, j'aimerai bien me poser des questions mais là j'ai juste envie de dormir.

Surveillant : vous pouvez aller dormir à l'infirmerie avant de reprendre les cours à 14h,profiter de votre journée les enfants.

J'ai juste envie de dormir, je suis les autres jusqu'à à l'infirmerie mais je sens comme une présence derrière moi.

Quand je me retourne j'ai l'honneur de voir cet homme aux yeux rouges que je peux plus me voir, vu comment il m'a parlé, il fallait pas s'attendre à ce que je le vénère non plus. Il me regarde avec curiosité mais je détourne le regard gênée et lassé par ce garçon.

Me : il a l'air si ennuyeux me chuchotai-je à moi même.

Pénélope : hey, c'était un peu spécial ce test, tu trouve pas ?

Me : ouais, comme ce lycée mais là, j'ai juste envie de dormir je verrais après hein.

Pénélope : ouais t'a raison rien de mieux pour mettre de l'ordre dans cette petite tête dis-t-elle en pointant mon crâne de ces doigts tout manucurés.

J'ai toujours rêvé d'avoir des long beau ongles mais j'ai jamais eu cette chance donc je met des faux ongles, c'est mieux que rien hein.

Je me couche à côté du lit de Pénélope et c'est là avant de sombrer dans le sommeil que je me rend compte que Pénélope à les yeux violets

Hey les girls, ras, j'espère que ça vous a plus et svp mettez des petites étoiles ça me fais extrêmement plaisirrrrr et désolé s'il y a des fautes je n'ai pas le temps de corriger sorryyyy

Bisous, céleste 🍑