Chapitre 7 - Sauvetage

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Jonathan se métamorphose en un magnifique jeune homme musclé. Bien que nu, il soulève la tête de la jeune fille sans gène. Il essaie de la réveiller à l'aide de ses fins doigts délicat, mais elle bien trop faible pour rester éveillé. Voyant que rien ne sert de la secouer, il décide de doucement soulever le corps frêle de la jeune fille du sol crasseux. Il met les bras d'Ynya sur son estomac - à elle - et fait rouler sa tête contre son épaule tendre de viande.

Alors que les deux cousins, unis par le loup, continue de se battre contre la sansue humanoïde, Jonathan, suivit de François - quant à lui toujours sous sa forme de loup - cours à grande foulées dans la forêt. Ses pieds s'écrasent avec délicatesses dans la terre. De loin, ce ne sont que des ombres à travers la nuit. Il enjambe les buissons, slalome entre les arbres vers un refuge où ils pourront panser ses nombreuses blessures.

Jonathan entend le cœur de la petite battre dans son toraxe​, lui rappelant à chaque tam-tam la mission qui lui a était confiée : emmener la fille en lieu sûr.

Il veille à ce que son visage si détendu ne heurte pas les branchages qui pourraient l'abîmer. Ils finissent par arriver devant une petite maison aux fenêtres allumées. Les rayons jaunes s'écrasent sur l'herbe et illuminent les environs autour du bâtiment.

François devient Homme et toc à la porte en bois de chêne. Une femme amincie aux cheveux blancs-argentés, la trentaine, leur ouvre la porte et les fait entrer sans ménagement.

Jonathan dépose Ynya sur la table d'un marron foncé alors que la trentainaire apporte du matériel médical, en parti des bandes de soins.

Après ça, les deux garçons partent se changer dans une chambre avec trois lits, à l'arrière de la maison.

Le reflet de flamme vient frapper le visage de la blessée. Elle à les yeux clos et la tête penchée vers la cheminée en brique. Elle s'accorde parfaitement avec le reste du mobilier. Ynya porte toujours ce simple t-short  et sa jupe hélas déchirée par la lutte.

Ses plaies ne cicatrisent pas comme elles devraient. Quelque chose semble bloquer son pouvoir de guérison.

Les deux garçons reviennent habillés avec des couvertures : l'une pour la couvrirs, l'autre comme coussin. Puis ils font la bize à la chevelure glacée et s'en vont avec des sacs rempli de vêtements, afin d'aller aider Alexandre et Mathis.

La fille aux cheveux blancs commence à soigner Ynya, veyant à ne pas brusquer les membres de la jeune fille.Le coton, emplit de désinfetcant, se balade sur ses plaies toujours saignantes qui fendent une chaires déjà tellement abimée et meurtrie par les remps difficiles.

Isabelle- qui a les cheveux blancs - est choquée par le nombres de cicatrices qui hornes sa peau, plus bizarre est grande les une que les autres. Elle est horrfifié à l'idée de ce qui a pu lui arrivée pour acquérir autant de blessures, secouant la tête à chaque pensée.

Tendis qu'elle la panse, Ynya gémit et grogne faiblement de temps à autre, rappelant qu'elle est toujours en vie.

Isabelle s'active autour de la table, ne gaspillant pas une seule goutte de transpiration. Elle fait tout pour qu'elle guérisse plus vite, mais seule, elle s'épuise plus vite et ça n'a rien de facile seule.

Alors qu'elle vienttout juste de finir de déposer les bandes sur le nombre incalculable de blessures, les garçons renytre en trombe en se soutenant. Les deux cousins sont blessés, mais commencent déjà à cicatriser. Ils s'assoient sur le canapé en soufflant, voir en grimaçant. Jonathan se rapproche de la blessée tel un fantôme.

" Comment elle va, chuchote t-il à Isabelle en la faisant sursauter.

- Elle ne cicatrise pas. Je ne sais pas ce qui bloque son pouvoir, mais je m'inquiète. Elle est vulnérable et la morsure l'a énormément affaiblit.

- Elle sera guérit quand ?

- Elle guéris comme une humaine, j'en sais trop rien pas conséquent.

- On devrait la transporter dans la voiture dès qu'elle ira mieux, s'incruste Mathis.

- Demain matin alors. Ça nous laissera une journée pour nous remettre et comme ça tu pourras essayer de voir ce qui closh. Ça m'étonnerais que Kramer se tente de la récupérer en plein jour.

- Surtout dans une maison de magicienne, renchérit Jonathan.

- Jonathan.

- Oui ?

Il se tourne vers Alexandre.

- La ferme.

Elle lui lance un regard noir avant d'envoyer un sourire de satisfaction et de remerciement à son bien aimé.

- Ça marche pour moi, mais vous dormirez ensemble. On va la mettre dans ma chambre. Jonathan, tu la porte s'il te plaît ?

Son ton émane plus un ordre qu'une simple question. Il baisse la tête et se dirige vers la table. Il soulève doucement la nuque de la brune, mais cesse d'un coups.

Alexandre grogne.

- Pose... La, articul t-il entre ses dents.

Il s'exécute sans broncher.

- Ale, se désespère la chevelure glacée...

- Je préfère le faire moi même !

Il commence à se lever, se tient droit et ferme sur ses deux jambes. Isabelle est en colère. Très en colère. Elle lui prend les épaules et le force à se rassoire. Il laisse un grognement couler.

- Pas de ça avec moi ! Tu arrêtes de suite !

Il obéit en baissant la tête, soumis et respectueux de la volonté de son amante.

- François, tu la porte. Jonathan, je te laisse commencer à soigner ces messieurs. Aller ! Exécution !

Ils suivent les ordres. François se dépêche de rejoindre le fille dans une chambre que l'on ne pourrait imaginer dans une aussi petite maison.

Un rideau en temps que porte,teint en violet, quelques caractères en écriture dorées. Des anneaux le suspendent à une barre de bois accrochée à chaque pant de mur. François finit de remettre d'épèces couvertures sur Ynya, qu'il vient de glisser dans les draps du lit.

Sa tête est déposée sur une pile de cousins blancs qui moules sa forme. Ses pupilles bouges sous ses paupières closes.

Il sort pour rejoindre le groupe de mâles dans le salon.

Isabelle commence à essayer de comprendre ce qui se passe dans le corps de la mourante.

Car il faut le dire, elle est tellement affaiblie que ses chances de survie sont minces.

François s'affale sur le canapé en cuir marron en soufflant. Alexandre le regarde, septique.

- Comment va t-elle ?

- J'en sais trop rien Alex. Elle transpire beaucoup et elle est bouillante. J'en sais vraiment rien, mais Isabelle est en train de l'analyser.

- T'inquiète, elle est entre de bonnes mains, tente de la rassurer Mathis.

Ce dernier donne quelques tapes amicales sur le dos du concerné, voulant le rassurer.

- On devrais aller dormir, une longue journée nous attends.

Tous aquiècent puis se lèvent. C'est les pieds traînant et l'esprit inquiet qu'ils partent se coucher.

Isabelle transpire. Son tatouage frontal bleu clair brille, illumine la pièce. Elle n'arrive pas à tenir sa puissance à un niveau stable. Les yeux fermés, les sourcils froncés, elle se concentre autant qu'elle peut. Alors qu'elle commence à tomber de fatigue, un drame se produit.

Elle perd le contrôle.

La Sacrifiée Des Flammes [Anciennement "Ynya, la Louve"] 🐺Où les histoires vivent. Découvrez maintenant