Rant Book #6

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Euh.. Re ? C'est Joyce. Ca fait un bail, je sais.

Bon aujourd'hui c'est résumé de ce qui c'est passé "récemment" on va dire uhu.

Allez... Préparez vous, vous aurez de la lecture uhu !



J'écris pour me sentir mieux. J'écris parce que c'est un besoin. Une passion, certes, mais avant tout un désir auquel je ne peux résister. Je souffle quand j'écris, je me libère. J'entends tout le long de ma journée des mots tourner en ronds dans ma tête, des vers se construire, un amour grandir. C'est à peine si je saute sur mon pc pour tout écrire le soir quand je rentre. Vite, très vite, mes mains flanches sur le clavier, comme le titanic qui éviterais de peu de couler. Vite car il ne faut pas que je perde une miette, un atome de lettres de ce qui me trotte dans la tête. Des fois je sors une feuille de ma pochette, écris sur un coin de mon cahier, quelques mots d'amour, un souffle de secours, un appel à l'aide, auquel je cède. Et quand on m'empêche d'écrire,c'est comme si on me noyais. Il faut que sorte la tête de l'eau, non pas que pour respirer, mais pour vivre. Car au fonds, c'est froid,dangereux, presque invivable. Et bien la c'est pareil. J'aime écrire papa, oui j'aime ça, ça me fait me sentir bien. Oui papa je rêve profondément de devenir écrivaine, au fond de moi. De publier un jour une parcelle de ce que j'écris, de pouvoir voir le fruit de mon amour, naître au grand jour, disposé dans un coin de la librairie d'en bas. Regarder les gens feuilleter mon livre, le regarder, mais celui là il ne reposeront pas. Car oui papa, je ne suis pas qu'exceptionnelle, je veux que mon travail soit exceptionnel, pour que ne le quitte pas des yeux, et qu'on se dise, oui celui là, c'est celui que je veux lire, croquer d'une bouchée. Oui papa, je veux devenir illustratrice. Cela fait des années que j'en rêve, et je ne te ment pas quand je te dis ça. Quand tu m'a dit, tu vois, ce n'est pas ce que tu me disait. Regarde toi, tu es capable de te battre, de répondre à ton père en le suppliant de te laisser écrire, tu veux être écrivaine. Et pourquoi pas les deux ? Oui tu vois papa,je veux devenir illustratrice, car c'est ma passion, et l'écriture mon besoin. Et on m'a toujours dis qu'il est dure, même impossible de vivre de sa plume, comme de devenir chanteuse, avec la voix que j'ai, j'aurais pu, mais non. Alors cette fois ma plume je ne l'abandonnerais pour rien au monde. Je n'abandonnerais pas ce rêve, comme j'ai abandonner mon talent vocal autrefois. J'aurais voulue, et je veux toujours, vivre caché de ma plume, comme sous une autre identité, car mon coup de crayon lui est sans aucun doute remarquable, mais ma plume elle, plus dure à dévoiler au grand jour. Je veux que se soit mon secret. Qu'on ne sache pas qui je suis. Car oui ça fait du bien de se défouler sans que personne ne puisse t'atteindre vraiment. Vous me direz, c'est que je ne suis pas prête à accepter les critiques du monde. Si, mais pas des gens qui ne m'aime pas, qui croit me connaître, comme la fille banale, geek, dessinatrice à temps partiels et etc.. Même mes amis les plus proches, ne savent pas ce que je vous dévoile. Car il est parfois plus simple, de se livrer à un monde de livres, où les gens feuillettent tout les livres qui leur paraissent intéressant,plutôt qu'à des gens qui te connaisse, qui peuvent s'en servir contre toi, de voir différemment, même en bon, c'est gênant. Je me rappelle encore, un matin je me suis réveiller, sortant tout droit d'un rêve, un poème tout fait sortant de ma tête encore pas réveiller caché par mes cheveux ondulants de nœuds devant mes yeux. Je sortis un crayon de bois, écrivis à toute vitesse, et mis ce petit bout de papier dans ma poche de jeans arrière. Par malheur,celle-ci le laissa tomber, laissant à mes amis me suivant de près,mon secret entre leur mains. Une fois découvert, moquerie. « Soleil nu », en rime avec un vers venu, trop poétique pour leur petit cerveau immature, aucune référence poétique pour décrypter mon poème. Que les gens peuvent être nul des fois. Ce moquer de ce qu'il ne connaissent pas, juger quelqu'un que tu ne connait quasiment pas. J'ai beau être votre amis, seul lui ma compris. Lui, il s'est moqué, mais je savais qu'intérieurement tu comprenais. Je t'avais révéler, durant l'été, une nuit de nos longues confidences, ce secret. Tu m'avais promis que tu ne le révélerais, et tu la fait. Tu me soutiens, un petit peu. Toi ton échappatoire, c'est.. Je ne le connais pas d'ailleurs ! Ah si, le dessin, d'une certaine manière comme moi. Mais tes dessins sont typiques, originales et magnifiques oui, mais simplement ceux d'une personne de notre âge avec notre comportement. Mais où cache tu donc, tes secrets d'une quelconque forme artistique ? Dis moi, qui es tu ? Tu sais qui je suis, comment je traduis mon langage du cœur, ma sensibilité.Mais la tienne, où est-elle ? Tu sais, je t'ai toujours bienaimé, c'est pour ça que je me suis confier, que je t'ai fait confiance. Tu es mon ami. Un vrai, celui sur lequel je peux compter. Enfaite quand X, je l'appellerais X, m'a demander en se foutant de moi : « Et toi, t'a combien d'ami ? » C'est typique des questions que j'aime pas, et des personnalité débile que je déteste. C'est le summum des gens que je ne comprend pas, à cause de leur peu d'immaturité, enfin peu, c'est vite dit. Je suis rentrée dans son jeu, et j'ai dit « Plusieurs, mais la plupart,pas ici ». Je pensais intérieurement qu'il n'en faisait pas parti. Tu n'es qu'un « copain » comme les appels mon père. Une connaissance avec qui tu t'entends bien. Cette questionm'a trotté dans la tête tout la journée, et pourtant je ne suis pas du genre à faire un pataquès pour rien, mais je me remets en questions, MOI ! Tout compte fait, je n'ai que trois véritable amis. Ma meilleure amie, « lui », et les étoiles. A les étoiles, enfaite je pourrais continuer à monologuer longtemps comme ça, divaguant de sujet en sujet, mais je vais m'arrêter là. Mes pensées dépassent la compréhension accessible des ceux qui me convoite. Non je ne vente pas. Au contraire, c'est compliqué des entendre avec des gens que tu ne comprend pas. Des fois je me disque je rate mon adolescence, j'oublie d'avoir des pensés de mon âge. Temps mieux, mais ça peux être embêtant. Bon, je m'arrête,cher.. Enfaite je ne suis même pas sûr que quelqu'un verra un jour ça alors.. zouu, tchüss !

Rant Book de 2 QUEENSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant