Tom Joking 7

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La jalousie ne permet jamais de voir les choses telles qu'elles sont. Les jaloux voient le réel à travers un miroir déformant qui grossit les détails insignifiants, transforme les nains en géants et les soupçons en vérité.

Miguel de Cervantes

Thomas était retourner chez son meilleur ami après avoir quitté Rebecca et il commençait très sérieusement à le regretté.
Car après lui avoir vaguement expliquer l'entrevue avec le frère de cette dernière, Benjamin était entré dans une sorte de transe, cela faisait bien vingt minutes qu'il n'avait pas arrêté de parler, lui disant qu'il aurait dû rester chez elle pour la soirée, voir même la nuit et Thomas avait beau le lui répéter, il ne semblait toujours pas comprendre que la relation qu'ils avaient la jeune fille et lui n'était rien d'autre qu'amicale.

- Attends mec, tu bave sur cette fille depuis des mois, tu viens de faire près de dix kilomètres fois deux pour la ramené chez elle et tu persiste à dire que tu ne ressent rien pour elle ? Le sermonna Benjamin, en gesticulant dans tous les sens.

- Je ne peux pas tomber amoureux et tu le sais très bien ! Répliqua Thomas, les yeux fermés et les mains dans les cheveux.

- Tu ne Peux pas ? Dis plutôt que tu ne Veux pas. Personne t'interdit d'avoir une petite amie, de tomber amoureux, d'aimer ! C'est toi qui t'empêche de vivre ! C'est toi qui pense que cela va changer ton objectif !

Après ces mots, Thomas décida de partir. Il savait que s'il rester dans cette maison et surtout s'il continuait d'écouter Benjamin, cela aller mal se finir.

- Salut Tom, entendit-il quand il fut prêt à ouvrir la porte d'entrée.

- Moi c'est Thomas ! Pas Tom, combien de fois je devrais te le dire, répond-t-il à Lola qui affichait maintenant une mine boudeuse.

- À Rebecca tu n'as rien dis.

C'était la voix de Benjamin. Il avait dit cette petite phrase juste avant que la porte ne se referme, Thomas n'avait donc pas pu répliquer.

♤♡◇♧le lendemain au lycée♧◇♡♤

Ce matin là il pleuvait des cordes et la chaleur rendait l'air irrespirable. C'est pourquoi, quand il arriva au lycée, Thomas était totalement à bout de souffle et comme il avait oublié son parapluie, il était complètement trompé, du pied a la tête.

Il balaya la cours du regard mais, bien évidemment, tous le monde était entré à l'intérieur. Il entra a son tour dans le bâtiment et se dirigea vers son casier. En chemin, il croisa les membres de l'équipe de football australien qui lui proposa de venir a une de leurs soirée qui aurait lieu le week-end prochain chez le capitaine de l'équipe, il accepta et continua son chemin.

Quand il fut devant son casier, il ne put s'empêcher de regarder autour de lui, mais la personne qu'il chercher n'était apparemment pas là. Il se demander où elle pouvait être ? Était-elle déjà arrivé ou pas encore ? Il la chassa de ses pensées et prit dans son casier, ce dont il avait besoin pour son premier cours.

La matinée passa sans qu'il n'ai pu voir Rebecca et dans sa tête, il n'y avait que deux raisons possible a cela. Sois elle continuait de l'éviter, sois elle n'était pas venue en cours aujourd'hui. Et aucune de ces possibilités ne plaisait a notre futur soldat.

Benjamin aussi était absent, ce qui provoqua un léger sentiments de panique en lui. Une troisième alternative essayer de s'infiltrer dans son cerveau. Et si elle était chez son meilleur ami ? Ils avaient un devoir a faire ensemble, mais ce week-end Benjamin serai à Sydney, chez sa mère. Donc ils ne pourront pas travailler.

C'était Écrit... Par Mark Twain (Hiatus)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant