Chapitre 3: Enfin les Vacances

1.1K 63 3
                                    

Je suis sur le trottoir, je regarde la voiture s'en aller. Comment est ce que mon frère a pu me faire ça?! Je rentre poser mon sac, mais hors de question pour moi de rester enfermée chez moi un soir d'été alors que c'est les vacances.

Je prend donc mon vélo, je met mes écouteurs, puis je part. Je pédale le plus vite que je peu, je ne sais même pas où je vais. Je veut juste me vidée l'esprit, sentire le vent dans mes cheveux, avoir cette sensation de liberté, pendant que je roule je ne peu m'empecher de penser au différent événements d'aujourd'hui. Le clown dans les toilettes, la manière dont les gens me regarder, Ben qui revient vers moi, Bill qui vien me parler.. et encore tout les autres petits événements. Je me rend vite compte que cette journée a était plus riche en émotions que c'est 2 derniers mois.

Je suis certaine de se que j'ai vue dans les toilettes. Je ne suis pas folle, comment aurai je pu inventer tout sa?! C'est absurdes! Et pourquoi Bill et les autres s'intéresse tant que sa a se qu'il c'est passée.. rolala... Puis à croire que c'est à cause de moi que Henry leurs est tombée dessus... J'avais l'espoirs de mettre enfin trouver des amis... Mais je crois bien que c'est ratée.. définitivement Bowers est née pour détruire ma vie.

J'espère juste qu'ils ne leurs on pas fait de mal. Je m'en voudrais vraiment..
Je continue de roulé jusqu'au moment où j'arrive sur Neibolt Street. Cette rue ma toujours fait peur, surtout la maison au bout de cette dernière, alors je reste la, figée, sans vraiment savoir quoi faire. Je fixe cette endroit et je me rappelle de quelque chose... Quand j'étais petite avec Patrick on jouée beaucoup dans se coin ci de la ville. Se jour là je jouée avec mon cerf-volant et lui avec son ballon, on riait si fort... On était si innocent.

On était tellement amuser par se qu'on faisait qu'on a même pas remarqué qu'on était en face de cette bicoques sordide, Patrick à shootée très fort dans son ballon, se dernier à ricocher sur le mur pour finir sa route dans la maison.. on c'est approcher pour voir si on pouvait récupérer le ballon quand soudain un clochard effrayant est sorti le ballon à la main et en criant "Qui ma lancer ça?!" Nous sommes rester figer, terrifier par se géant tout droit sorti des Enfers. Il c'est approcher de nous à toute vitesse puis nous avons filé en courant. Depuis se jours là, la maison de Neibolt Street nous a hanté. On disait qu'un troll vivait dans cette maison, un troll maléfique.. il m'a pas fallu longtemps pour ne plus croire à c'est histoire d'enfant, mais je sais que petite, il était ma plus grande peur, j'avoue qu'il l'est toujours un peu, je n'aimerais pas avoir de nouveau affaire à lui.

Quand je reviens enfin à moi même je me remet à pédaler et me rend à la boulangerie du coin. J'achète un cookie qui me servira de goûter. Je continue donc ma route à coter de mon vélo, je passe devant le lycée que j'ai quitter quelques heures plus tôt. Il est désert. Je traverse ensuite le marché de Derry pour finir ma descente près de la carrière. Sur la route je croise 3 personnes, il y en a 1 à terre, je m'arrête donc pour voir si cette personne va bien. À ma grande surprise le garçon au sol ne m'est pas inconnu. Eddie Kaspbrak entourée par Richie et le garçon juif de la "bande des ratée".

"Ça va?" Lance est je inquiete. Richie me regarde " Ça à l'air d'aller? Nan mais sérieux regarde le en dirai un cochon à l'abattoir!" Dit il en pointant Eddie affaler sur le sol la main sur le torse et la respiration alletante. Le 3e garçons, le fils du rabin, lève les yeux au ciel "La ferme Richie, il soupire, Eddie a failli se faire écraser, il a eu tellement peur que sa lui a déclenché une crise d'asthme." "Ça c'est passer quand?" Le garçon reprend "Sa vien à peine de se produire, Eddie n'a plus de ventoline.." Richie prend la parole "J'peu aller en chercher à la pharmacie, sa met quoi? 10 minutes en courant?" Je descend donc de mon vélo "tien prend mon vélo, sa ira plus vite, je vais attendre avec eux si tu veut" Richie enfourche immédiatement le vélo et fonce à toute allure vers le centre ville tandis que je m'assoie à coter d'Eddie...

Il faut que je lui fasse oublier c'est problème de respiration "Mhh.. tu est dans ma classe c'est sa?" Il me regarde et dit difficilement "oui, devant toi en cours" il respire fort et parle vite "chuu... doucement (je pose ma main sur sa jambe comme pour le rassurer)..et tu a des frères et sœurs?" "Nan aucun, ya juste moi" il a toujours la main sur le torse mais il se calme un peu. "Dit moi Eddie, tu pourrais me parler un peu de votre bande d'amis, je connais personne à part Ben... et un petit peu ceux qui était au réfectoire se midi" il regarde vers son ami.

"Lui c'est Stanley Iris, le fils du rabbin, Tu connais déjà Billy, mais lui il faut jamais lui parler de son frère Géorgie sous peine de le blesser au plus profond de lui, Mike vie avec son grand père dans une ferme, (Eddie c'est bien calmer, il prend son temps), Beverly je la connais pas beaucoup elle est nouvelle chez les ratées, Richie il est cool mais il peu vraiment être très con parfois, Ben c'est un nouveau aussi, on l'a ramasser hier dans le courant d'eau qui rejoind la carrière, il aller pas très bien, Les Bowers venez de lui tomber dessus et puis ya moi Eddie." Stanley me sourit, il a compris ma ruse.

On continue à occuper Eddie jusqu'au retour de Richie avec la ventoline. Il en prend une bouffer puis se relève, je récupère mon vélo et m'apprête à partir quand Stanley me dit "on se disait, enfin si tu veut, tu pourrais, si ta rien à faire, rester avec nous....?" Je souris "oh jveut pas vous déranger les gars.. je vous est déjà créé beaucoup de soucis au lycée tour à l'heure, d'ailleurs je suis désoler...Je voulais pas.."

Richie me regarde fixement sans rien dire alors que Eddie surenchéri "tu nous dérange pas, au contraire Merci d'être rester Charly, si tu a quelques choses à faire on comprend.. mais si tu veut, demain tu peu venir avec nous dehors, on devrait être à la salle d'arcade jusqu'à 15h" ils sourit tout les trois, je leurs sourit aussi puis regarde ma montre... "C'est bon à savoir, j'aurai aimer rester mais je doit rentrée. Peu être à demain les gars" je remonte en celle et pédale jusqu'à chez moi toute souriante.

La fille de DerryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant