Chapitre 17: Tu va trop loin

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(Bonjour a tous! Voilà le nouveau chapitre! Le numéro 17! J'espère du fond du cœur qu'il va vous plaire! Bonne lecture!)

A l'heure du couvre feu, on rentre tous a contre coeur comme d'habitude, Stan me ramène chez moi aujourd'hui.
Il a vue que les derniers événements mon particulièrement touchée.
Eddie voulais me ramener lui aussi mais vous commencé a comprendre un peu comment sa marche chez lui, c'était donc pas possible pour lui de venir.

Je regarde le sol en reniflant, me forçant à marcher Stanley à mes côtés.

"Comment tu te sent, Charlounette?" Dit il sur un ton bienveillant.
Je hausse les épaules et renifles alors il s'approcha de moi et passa son bras autour de mes épaules de manière rassurante.
"Ne t'en fait pas, Richie c'est un dur, il ne lui arrivera rien sans qu'il ne se défende"

Je me rend compte à quel point j'ai déjà la chance de l'avoir prêt de moi, il prend sur lui pour me rassurer. Il remanie c'est arguments de manière très abile pour me mettre en confiance et a l'aise. Il laisserai même disparaître son côté rationnel habituel.

Je profite de se moment en tête à tête et de se premier pas pour me blottir contre lui et tenter d'oublier de qu'il c'est produit.
J'avoue que sa marche plutôt bien.

Malheureusement, on arrive déjà sur le seuil de chez moi.
Je me décolle de lui et voie s'éteindre doucement la petite flamme qui me rassurer face à mes sombres tourments.

Il s'approche et dépose un baiser sur ma joue "n'oublie pas, tout ira bien, à demain Charlotte" il sourit tant bien que mal puis rebrousse chemin vers la synagogue.

J'aurai pu entré, me mettre au chaud et me réconforter à travers un paquet de guimauve et la chaleur de la cheminée, j'aurai pu monter dans a chambre et lancé à fond mes différents vinyles.

Mais non. Je suis resté ici, devant la porte de chez moi.

Il est totalement impossible pour moi de rentré, ronger par la culpabilité.
Je me tien donc la tremblante a fixé la serrure, c'est seulement après que je me dirai 'mon dieu mais qu'est ce que je suis faible !'.

Oui je suis faible.
Même si les gens du lycée me craignent d'une certaine façon.
Je suis qu'une faible.

A 19h40 ma mère pousse la porte de la maison a toute vitesse, paniquée.
Je suis en retard, même très en retard, c'est normal qu'elle panique surtout avec les derniers événements.

Elle pousse un soupire de soulagement en me voyant puis se stoppe remarquant immédiatement que quelques choses ne va pas.

Elle s'approche de moi et, voyant les larmes briller dans mes yeux me serra doucement contre elle "Charly.. Qu'est ce qui t'es arrivé ? Qu'est ce qu'il ne va pas?"

Elle est tremblante elle aussi, quand je lève mes yeux vers les siens immédiatement les larmes s'intensifient et me brouillent entièrement la vue.

Je n'arrive plus à tenir le coup, je m'effondre dans ces bras.
"C'est de ma faute.. C'est à cause de moi si tout sa c'est produits c'est de ma faute si Beverly est avec se salop, c'est à ma faute si Richie c'est fait frappé !"

Je suis vraiment convaincu que c'est à cause de moi, si je n'avais pas péter un câble sur se pauvre type en entraînant dans ma chute mes meilleurs amis, rien ne se serrais produit.

Mais comme dit souvent Jack, avec les 'si' on refait le monde.

Ma mère se crispe en entendant mes propos "par qui c'est il fait frappée chérie ? De qui parle tu, Charlotte explique moi !"
Elle attrape mes mains et fait de grand yeux.
"Raconte moi tout sa a l'intérieur, tu est gelée" elle me tire dans le salon là où je lui explique tout de A à Z.

La fille de DerryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant