Chapitre 15: Le bal d'été

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Je cours et cours encore avec Beverly.
On se trainent un peu mutuellement. J'ai le cœur qui bat à 1 000 à l'heure et les jambes tremblantes mais je persévère accompagnée de ma meilleure amie qui flippe sans doute plus que moi.

On ne s'arrêtent pas jusqu'à arrivée sous le porche des Denbrough.
Nous nous jettons sur la porte et tembourinons à pleines mains en paniques.

"À l'aide! Pitier Bill ouvre nous!! On a besoin de toi au secours!"
Nos voix se confondent.

Billy vien nous ouvrir, alerté par nos cries.
Au moment où la porte s'ouvre, Beverly s'éffondre dans les bras de son amoureux et je suis entraînée vers l'intérieur de la maison avec elle sauf que moi... C'est le carrelage qui vien me prendre dans ses bras..

Bill s'affolent aussitôt dans l'incompréhension.
Il sert Bev dans ses bras assis sur le sol et me regarde comme pour me demander des explications.

J'ai les yeux dans le flou et le cœur qui bat dans mes oreilles.
Je prend le temps de me calmer, de me relevé et de boire un coup avant de tout lui expliquer.

"... Bill on la vue.. c'était lui.. il était bien la.." Beverly c'est un peu détendu elle aussi on va dire que les câlins de Bill aide pas mal.

Elle nous expliques que l'homme qui est apparu face à elle n'est nul autre que sont père.
Je comprend tout de suite pourquoi il me semblé si familier.
Je reprend ensuite le récit "après le ballon, la boîte à musique, mon homme des enfers et le père de Bev, j'ai péter un plomb et je l'est frappé à coup de planche à clous.."

Je suis pas fière de moi, mais je ne regrette pas.
"Tu rigole? Mais qu'est ce qui t'a pris ? Tu imagine si c'est réellement de père de Bevy?"

J'essaie de me rassurer comme je peu "sa peu pas être lui.. à se que je sache Mr Marsh n'est pas un métamorphe et puis dans le pire des cas, il l'aurai mérité."  C'est pas faux. Se pédophile sadique mérite de se manger un coup de planche dans les dents pour se qu'il a fait à Beverly.

Nous nous sommes installés dans la cuisine, je suis assise sur le carrelage, contre le meuble sous l'évier, Bill est sur la table et Bevy est à coter de lui sur une chaise. Les parents de Bill ne sont pas là, ils sont au travail. Donc nous sommes là tout les trois seuls dans cette grande maison.

La sonnette retentit. Notre ami se lève immédiatement et va ouvrir.
À mon plus grand soulagement je voie Bill revenir avec Eddie.

C'est tout à fait se que j'ai besoin là maintenant. J'ai besoin de mon  T-Eddie Bear mon doudou humain préféré.

Il vien s'assoir près de moi, sans même se posé de question, c'est comme une évidence.
Il passa son bras autour de mes épaules et colla sa tête à la mienne pour me rassurer, m'apporter l'amour et le soutien dont j'ai besoin pour me débarrasser de ses images traumatisantes.

Eddie à vraiment le dont de m'apaiser, en un seul regard il me rassure, il est génial.

Il me dit des mots doux chantonne et me serre doucement contre lui. Mais il n'y a strictement aucune ambiguïté entre lui et moi.

On reste comme sa bien une heure avant d'être enfin presque totalement remisent de cette événement traumatisant.

Richie et Stan nous rejoignent chez Bill eux aussi. Ils s'assoient avec nous dans la cuisine, on leurs racontes à eux aussi. Leurs réactions sont complètement différente.

Stan dit "wow.. vous avez eux beaucoup de courage les filles, chapeau, ÇA ne vous a pas fait de mal au moin?"

(Ah oui, il faut savoir que tout les Losers sont au courant pour ÇA, on leurs à tout raconter Ben et moi)

La fille de DerryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant