Chapitre 7: Avis de Recherche

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(Désoler pour mon absence je vais essayer de poster plus régulièrement, environ 2 fois par semaines, la je reviens avec un Chapitre très peu tournée vers le Loser club, il est plus tournée vers Charlotte et sa famille. J'espère qu'il vous plaira, il est assez important. Dites moi si vous en pensée et bonne lecture!)

Je suis là à tenir la main de ma mère pendant qu'elle est au téléphone avec le sergent. Elle sanglote.. j'essaie de la rassurer et de au passage me rassurer moi même.

On est immédiatement convoquer au poste pour faire une déposition. On y va, tout les 3, Mona ma mère, Jack mon beau père et moi. Quand on arrive au poste après 5 minutes de trajet, ma mère est déjà presque en larme elle est plutôt sensible quand il s'agit de ses enfants, je m'efforce de contenir mes émotions pour le moment... Rien est encore sûr, il est peu être chez l'un de ses amis.
Un policier nous reçois et mon beau père, toujours très calme commence à expliquer la situation "Hier matin, Patrick est partie rejoindre Henry Bowers, Belch Huggins et Victor Criss il a passer la journée avec eux, mais le soir, Patrick n'est pas rentrée chez nous..." Le policier écrit toute l'histoire sur un papier, il monte un nouveau dossier parmis tant d'autres. "Votre fils était avec Henry Bowers vous dites? Laissez moi un instant" il se lève et part vers un autre bureaux.
Il revient et s'assoie "Bon, le père de Henry, le Sergent Bowers est à son domicile, vous devriez passer le voir, Henry sais peu être ou pourrait être aller Patrick, il a peu être fugué vous savez" une fugue? nan mais il plaisante? Patrick n'aurai jamais fait ça! Aussitôt ma mère se lève et se rend à la voiture sans un mot, on part tout les trois vers chez les Bowers.

J'appréhende pendant tout le trajet, rien que l'idée de voir cet enfoirés d'Henry me fou le gerbe, mais si il sais où est mon frère, je doit aller le voir. Arrivé, on descend et frappe à la porte, le sergent arrive "Tien les Hockstetter qu'est ce que vous faites ici?" "Écouter, Patrick n'est pas rentré hier soir, on se demander s'y il ne pouvait pas avoir passer la nuit ici avec Henry?" Le père Bowers nous regardent "Mhh négatif, il n'est pas ici." Ma mère s'accroche "Henry est sûrement l'un des derniers à l'avoir vue, il sais même peu être ou il est à cette heure si?" le père de ce dernier regarde ma mère de haut en bas, retire c'est lunette de soleil et ouvre la porte de la maison "HENRY VIEN ICI" dit il sur un ton menaçant. Henry rapplique aussitôt, il ne parle pas et ose à peine nous regarder, il semble terrifier par son père "Mme Hockstetter et sa famille se demande si tu ne saurait pas où pourrait être aller Patrick, son père se penche au dessus de lui, tu sais?" Le garçon hoche la tête et murmure "nan.." son père monte d'un ton "Alors dit nous quand tu la vue la dernière fois!" Henry tremble "C"était hier après midi... On était partis se balader (à se moment précis il me fixa) dans les champs près de la carrière, on c'est séparé un moment,  Patrick n'est pas revenu, on a penser qu'il était rentré chez lui" Je le regarde avec haine, "se balader"? Sérieusement ? Nan mais je crois rêver ! Si mes parents apprenais que cet ordures était en réalité entrain de nous courrir après dans le but d'élimiter mon ami.. il prendrer chère, très chère. Je suis sur que cette pourriture y est pour quelques choses dans l'affaire de la disparition de mon frère "bien, mon fils n'a pas vue le votre après sa, n'est ce pas Henry?" Il hoche la tête comme un animal soumis, il est ridicule, il n'ose plus ouvrir sa bouche maintenant hein!

Ma mère a des larmes qui roulent le long de ses joues "Merci, Sergent... On va aller compléter le dossier des disparitions au poste, au revoir" elle entre dans la voiture suivie par moi et Jack puis elle fond en larmes, je lui carresse les cheveux et pose ma tête sur son épaule, jack la serre contre lui "Il est peu être juste parti faire un tour" elle se met à crier folle de rage et de tristesse "Il n'est pas partie faire un tour Jack! Mon fils à disparue ! Disparue tu entend?! Et il est peu être déjà mort!" Elle pleure de plus belle, se qui me fait craquer à mon tour... Je réalise encore presque pas.. mais la voir dans un tel état me rend malade.

On retourne au commissariat, dévasté, puis on complète son dossier, on fournit des photos, des descriptions, des infos, on dit tous se qu'on sais.
J'assiste à sa impuissante. Je ne peu rien faire de plus que les écoutés, pleurer, et prier pour le retrouver vivant.
Quand on rentre chez nous ma mère monte tout de suite dans sa chambre, Jack par faire un tour pour "se vider l'esprit" mais je sais très bien qu'il va au bar...pour picoler... et moi je me retrouve ici plus seule que jamais.

J'entend ma mère pleurer et frapper contre les murs, je doit aller la soutenir, on doit se soutenir mutuellement. Si vous saviez comme j'ai mal au cœur, c'est comme si une partie de moi avait était enlever, j'ai juste envie de remuer la ville et de le retrouver pour enfin etre en paix et savoir se qu'il lui est arrivée, mais je ne peu rien faire j'ai l'impression d'être inutile.

Je vais doucement vers sa chambre là où je frappe de 3 coups de doigts sur la porte, elle s'ouvre seule et je retrouve ma mère assise au milieu du plancher avec la moitier des meubles et des vêtements par terres. Elle pleure à chaudes larmes, sa me déchire encore plus le cœur. Je la rejoins et m'assoie près d'elle. Je me serre contre elle et pleure dans ses bras "ça va aller maman, on va le retrouver" je répète cette phrase en essayant de paraître le plus crédible possible, mais moi même je ne crois pas à ça. Il faut pas se leurrer, on vis à Derry, la ville où le taux de disparition est 6 fois plus élevée que dans tout le reste du pays, la ville des meurtres.

Je reste là une bonne demi heure à serré ma mère, jusqu'à se qu'elle est arrêté de pleuré. Je sais normalement c'est elle qui devrait me consoler mais.. ma mère est si fragile, elle a besoin de moi, elle ne survivrait pas seule à cette tragédie. Quand elle va mieux je l'aide à s'allonger sur son lit, là où elle s'endort immédiatement, exténuée par toutes c'est larmes versées. Je m'occupe donc de nettoyer un peu le carnage qui c'est produit ici. Tout en m'éfforçant de tenir bon.
Ensuite, je vais dans la salle de bain, la où je me déshabille, je me lave de cette journée affreuse puis je passe devant la chambre de mon frère.

La porte est entre ouverte, je la pousse sans m'en rendre compte, je regarde l'intérieur, tout est exactement comme hier soir, il y a des vêtements jetter sur le sol, des crayons étaler sur le bureau avec un paquet de feuilles blanches. Le lit à moitier défait, c'est comme si il n'avait jamais quitté cette chambre. Je regarde tout, en essayant de ne rien déplacer ou toucher. Je m'assoie sur le sol et je regarde mes pieds. J'ai l'impression qu'il est là avec moi, je me sent moins seule mais je sais pertinemment que se n'est que mon imagination. Quand je regarde sur sa table de nuit, je voie sa chevalière. C'est une bague que mon père lui a donner quand il était petit, elle représente beaucoup pour lui, c'est son porte bonheur. Mais hier il ne l'a pas prise. Je la contemple, je décide de la prendre avec moi, j'attrape une longue et fine chaîne en or autour de la quelle je fait glisser la bague, puis j'accroche le collier autour de mon cou. Il retombe au niveau de mon cœur, il sera toujours là, près de moi, à travers cette bague.

Je regarde autour de moi un dernière instant, je prend un de ses gros pulls qui traine sur le sol, celui qu'il a porter ya quelques jours, puis je ressors, j'ai bien fait attention a ne rien déranger à part c'est deux choses. Je serre le pull contre moi comme une peluche puis je vais me blottir contre ma mère pour finalement moi aussi trouver le sommeil.

(Et voilà j'espère que sa vous a plu! Désoler pour les fautes d'orthographes si il y en a! Le prochain chapitre sera plus gaie et plus tournée sur Le loser club ne voie inquiété pas! Bisous!)

La fille de DerryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant