Poulet rôti, pomme de terres sautées et petit pois.
Mhhh Sharon Denbrough est reelement une bonne cuisinière.Pendant le repas nous écoutons, Bill et moi, nos parents discuter des derniers événements, du deuil commun a nos deux familles, de l'enquête de police dans laquelle on se retrouve mêlée...
"Nous avons reçu ce matin une convocation au tribunal, elle aura lieu dans 10 jours.
J'espérais pouvoir rencontrée les parents des autres amis de Bill avant cette date mais je crois que cela ne va pas être possible.. J'espère que de leurs côtés tout va bien aussi.. après tout, tout nos enfants sont concernés, on doit se soutenirs.."La discussion s'enchaîne jusqu'au dessert, Billy et moi restons silencieux, nos parents parle sans aucuns arrêts, ce repas ressemble réellement à un exutoire pour eux, ça les apaisent j'ai l'impression.
En fin de repas j'aide Sharon avec ma mère à débarrassé la table, Bill met aussi la main à la pâte.
On décide de laisser nos parents à leurs discussions et montons à l'étage.« J'ai un t-truc à te montrer » il m'emmène au dernier étage, un étroit escalier en boit nous y conduit. Arrivé en haut on se retrouve face à une porte. C'est la seule à cette étage, elle est assombrie par l'absence de fenêtre a cette étage, tout est si silencieux. C'est comme si nous étions seule dans cette maison.
Bill s'avance vers la porte sans hésitation et la déverrouille. Avant de l'ouvrir il se tourne vers moi.« T-tes la première p-personne que j'amène ici.. je voulais just-te que tu le sache » il se retourne et ouvre la porte. Il entre dans la pièce suivis de peu par moi meme.
Cette endroit me fait penser à un tipi, sans doute à cause des murs penchés fidèles à la forme du toit.
La pièce est remplie de toute part, il y a des photos ou des posters à tout les murs, des figurines ou des affaires sur tout les meuble, il reste même des jeux au sol, mais le plus gros, c'est la cabane qui trône contre le mur face à moi, au fond de la pièce.C'est une cabane unique, faite de draps, de pince à linge et de supports pour ces derniers.
Le seul velux présent éclaire timidement la pièce de la belle lumière blanche du dehors.
Bill branche le bout d'une guirlande au mur, d'une seule coup des dizaines de loupiotes jaunes ornent la cabane. Il choisit ensuite avec soin un des vinyl de la pile à coter du tourne disque près de la porte.
Les titres des Clashs se mettent en route pendant que j'observe toujours soigneusement tout ce qui m'entoure.Bill se retourne enfin vers moi et scrute mon visage dans le but de percevoir la moindre réaction de ma part.
Je me baisse les yeux vers lui « c'est magnifique ici c'est toi qui a tout fait? »
« Moi et Ge-georgie. C'était notre salle de j-jeux, notre pièce à nous » il me sourit et m'invite à rentrer dans la cabane.
De l'intérieur elle parait bien plus grande que de l'extérieur. Il y a pleins de coussins, de couverture et même quelques doudous la dedans.
On s'allonge en regardant le « toit ». La guirlande illumine la cabane de ses lumières jaunes rendant l'ambiance très agréable.« On l'as const-truit l'an dernier cette cab-b-bane. » il sourit et reprend.
« On l'aimer t-tellement tout les deux.. sans rire on a dû pas-s-ser au moin 3 mois dedans! »
Je l'écoute, je n'ai pas besoin de répondre, il a juste besoin d'une oreille, de ce confier.Alors il ce met à me raconter une partie de tout les souvenirs qu'il a dans cette pièce avec sont frère, comment il s'est fait la cicatrice qu'il a dans le sourcils en jouant à la guerre avec georgie ici même, comment ils danser ensembles autour de ce tourne disque, combien de partie d'echec ils on jouer, par quel moyen ils on construit tout ce petit monde...
C'est le premières fois que je l'entendais rire en parlant de Géorgie depuis sa disparition, la première fois qu'il se pleurer pas.
Il avait l'air heureux.« Et t-toi? Tu a des s-souvenirs avec ton frère? »
Il me questionne du regard, comme curieux.
Ça me fait du bien de passer du temps avec lui, il s'adresse à moi sans pincettes, j'en ai plus que marre d'être prise en pitier et ça Bill le comprend mieux que personne.Je le redresse alors et le regarde.
« Biensur, j'ai énormément de souvenirs avec Patrick » je m'arrête un instant réfléchissant à quoi dire apres.« Je.. tu sais.. Patrick était quelqu'un de bien.. je sais qu'il s'est comporter comme une merde avec vous.. mais le vrai Patrick, celui que moi je connais, il avait rien à voir avec ce qu'il vous a montrer.. c'était pas un suiveur, et c'était pas quelqu'un de méchant.
Je sais que tu le croira peu être pas mais.. »Il pose sa main sur mon avant bras.
« Je suis s-s-sur que tu dit la vérité Ch-charly »
Je sourit légèrement et me rallonge a coter de lui, les yeux vers le ciel.« Je me souviens quand j'etait petite j'avais 5, 6 ans au plus, lui était un peu plus vieux. J'avais une peur monstre de dormir seule dans le noir. Ma mère insister pour que je reste seule dans ma chambre la nuit, je devait grandir un peu selon elle. Chaque nuit j'étais toujours plus angoissée, ça me rendais malade Patrick de me savoir comme ça. Alors toutes les nuits, il venait me retrouver, il restait près de moi, à me raconter des histoires qu'il inventer de toutes pièces. Il me caresser les cheveux jusqu'à ce que je m'endorme et quand il était bien sue je sois endormie, il retournait dans sa chambre dormir à son tour. Il a fait ça pendant presque 2 ans. »
Je sourit en me rappelant tout ces moments.
« C'était quelqu'un de très soucieux et d'extrêmement créatif. Il m'as appris la plupart des choses que je sais faire, il m'as toujours soutenue et pousser vers le haut. C'était mon frère et mon meilleur ami à la fois. »
Bill m'écoute comme je l'ai écouter l'heure précédente. On as passer l'après midi entière dans la cabane à ce raconter nos anévrismes, écouter de la musique et rire.
A l'heure venue je suis rentrée chez moi avec ma mère et jack, cette journée a était libératrice pour nous tous, comme pour les denbrough.
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La fille de Derry
Fanfiction"-Nan! Je n'y arriverais JAMAIS ! Comment veut tu que je combatte une chose qui n'est enfaite que le reflet de moi même?! -Ne dit pas de mensonge tu n'est pas comme lui! -J'en suis incapable... -Ne dit pas ça.. ensembles, on y arrivera! Je te le pro...