Skies on fire

Dans le ciel

Dans le ciel tout est beau, surtout comme maintenant au crépuscule. Les nuages sont teinté de cette couleur pourpre et orange magnifique.

Je me présente, Katerina Yusev. Commandante dans la flotte de Russianie. Accoudée au mur de metal du Bucéphale, le zeppelin de combat dont je suis la commandante, je contemple cette mer de nuages orange et rouge. Je ne me tourne pas les pouces loin de la, j'attend juste mon tour a l'infirmerie. Pourquoi? Car voyez vous mon bras gauche m'as été amputé, j'ai une prothèse mécanique.

Je me tourne en entendant le cliquetis de la porte en metal. L'infirmière, Katenka Yusev, ma soeur, me regarde en réajustant ses lunettes et s'essuyant les main.

-Allez viens donc dure a cuir.

Me dit elle en souriant. Je la suis et m'installe sur son lit d'infirmerie. Ma soeur me ressemble beaucoup. Nous somme toute deux des sourit au pelage blanc. Tout les deux de long cheveux blonds. Mais elle les a attaché en queue de cheval et laisse deux mèches tomber de parts et d'autres de son visages. Il est un peut plus petite que moi.

Néanmoins, elle a une grosse différence par rapport a tout les médecins. Dans notre monde, il existe des particules assez particulière, nommée MAG. Le moment n'est pas venus d'en parler en profondeur mais sachez qu'elles sont très particulières. Elles ont permis a ma soeur de faire un serum pouvant recoller des membre. Ainsi, son avant bras gauche a fourrure marron ne lui appartient pas, comme son sein droit a fourrure grise et son oeil gauche qui est bleu. Cependant le processus qui connecte les tissus necessite des point de suture et extremement douloureux.

-Alors soeurette qu'est-ce qui t'amène?

-Ma prothèse. J'ai l'impression que du pus s'échappe a la base. Dit-je d'un ton neutre.

-On va voir ca. Met toi torse nus. Sur un ton assez professionnel.

Je retire alors mon long manteau, mon pull en laine a col roulé -il fait froid la haut- et mon haut, ne restant qu'en soutient gorge. Ma soeur déconnecte alors ma prothèse, ce qui me donne un léger sursaut, elle examine la partie un metal qui couvre mon épaule, et ma cicatrice. Elle gratte un peut avec une tige en plastique. Je grogne un peut de douleur

-En effet. Tu a quelques écorchures infectée. En faisant une moue. Rien de grave ça doit être car ta prothèse rouille. Laisse m-

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que
L'alarme retentit. Avant même qu'elle aie put désinfecter mes plaies, j'avais reconnecté ma prothèse et me dirigeais vers le pont en me rhabillant. J'enfilais ma veste quand je passe le sas su pont

-Dites moi tout! Sur mon ton de commandante sérieuse.

-le Charlemagne, Commandant! Bâbord devant! Dit la vigie toute excitée.

Mon coeur fait un looping. Je prend mes jumelles et cherche a bâbord devant. Je le repère. Un zeppelin légèrement moins gros que le mien. Des épines en fer a la proue et poupe du ballon. Un trapèze a l'envers écrasé pour nacelle, dont le centre est creuser pour que les hélices y soient insérées. Je reconnait le Charlemagne. Le zeppelin du Loup Bleue.

Le Loup Bleue est un pirate du ciel. Le plus recherché de toute la Russianie. Mais cette fois, je le tient. Je prend le micro du pont, ma voix autoritaire se fais entendre dans tout le zeppelin

-À tout l'équipage, nous avons repérer le Charlemagne! Tout le monde a son poste. Nous serons ceux qui captureront le Loup Bleue!

Une effervescence générale se produisit. Tout le monde était excité a l'idée de capturer ce fleuron de la piraterie.

Il est temps de parler de comment s'organise un zeppelin de combat: la nacelle, comme précisé, est un trapèze a l'envers et écrasé. Et bien sur blindé. Le Bucéphale, mon appareil, est lambda, 15 canons de chaque coté, donc 30. Plus une passerelle déployable sous la nacelle, avec des canons gatling pour le combat rapproché.

Arrivé a même hauteur, nous fûmes les premier a tirer. Nos boulets évitèrent miraculeusement leurs hélices, mais s'écrasèrent contre leur nacelles et ballons. De nos jours les ballons sont quasi impossible a éclater. Mais je sent que nous avons endommager leur coque.

Ils tirent maintenant. Mais pas des boulets, des grappins, grand comme moi, soit 1m90 -oui je suis grande-. Ils veulent nous aborder. Les chaines reliant nos bâtiment rétrécissent, ils nous tirent vers eux. Une rapide annonce de mon second dans le micro, tout le monde s'arme de sabres et fusil.

Quand a moi je n'ai pas de sabre, mais ma prothèse commence a lentement se modifier. Ma paume s'ouvre, mes doigts se déplacent. J'ai maintenant un canon pour bras.

Les pirates commencent a nous aborder. Mon équipage a vite fais de faire des barricade de fortune un peut partout. Nous arrivons assez aisément a contenir les pirate vers leur lieux d'abordage. Enfin pour ce qui est celle du pont. Mais j'ai un sentiment bizarre. Comme l'impression qu'il essaye de faire diversion. Ils n'attaquent pas.

Toujours est-il que je finit par faire une charge, je les désoriente avec un tir de barrage. J'en touche quelque uns. Les autres fuient. Peut de temps après avoir regagner leur navire, les chaines des harpons lâchent. Je vois sur les passerelles de flanc en face, sur le Charlemagne, le tristement célèbre Loup Bleue.

Il est relativement grand, pour l'avoir déjà affronter au corps a corps -c'est lui qui m'as amputer de mon bras gauche- je peut dire qu'il fait ma taille. Plutôt sec et bien taillé. Il doit son nom, déjà au fait qu'il soit un loup, mais aussi car il porte un tricorne et un long manteau bleue. Il porte un masque en fer avec des LEDs bleue dessinant un visage de loup.

Je grogne a son attention. Je le vise et tire, mais le vent fais dévier ma cartouche qui s'écrase non loin de lui, il n'as pas bouger. A la place il me tire son chapeau et s'incline, ce qui me fais encore plus rager. Je veut tirer encore, mais mon bras s'est enrayé. Il prend une lampe faites pour la communication morse. Il m'envois un message.

"On se reverras ma belle. Désoler encore"

J'enrage. Je retourne au pont et hurle au timonier.

-Chaudière pleine puissance! Tu me rattrape ce type! Hurlais-je en colère.

-im-impossible...ils ont saboter les moteurs...Me dit le timonier, effrayé.

Nous n'avancions plus. Je voyais le Charlemagne lentement s'éloigner et disparaitre dans un nuage. J'enrage a nouveau et avec mon poings de metal cogne la vitre. La fissurant. Je sens mon équipage avoir peur de moi. Pas bon. Je prend une grande inspiration, puis me calme.

-Veuillez m'excuser. Des blessés? Demandais-je en soufflant.

-une vingtaine tout au plus mon commandant. Pas de mort.

Je fais un rapide calcul. Ca fais environs la moitié. Nous somme 40 a bords.

-Bien, prévenez l'infirmière qu'elle auras du boulot.

Un soldat arrive en trombe sur le pont

-Commandant! On a un problème!

-Que ce passe-t-il soldat?

Il prend son souffle et dit en contrôlant un certain affolement

-l'infirmière a été kidnapée...