Celui qui ne revais jamais

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Je continuais de tenter de me dégager, mais les liens étaient bien serrés. Cette salle était glauque. Je m'imaginais un genre de Victor Frankenstein opérant ici, enlevant les organes de pauvres enfant afin probablement de créer un enfant a sa propre image.

La porte a ma droite finit par s'ouvrir, un loup entrât. Son pelage était sombre, plus que la normale. Il était en blouse de scientifique blanche, immaculée. Ses cheveux lui arrivaient sous le menton. Une mèche rouge vif sur le coté gauche. Des yeux vert émeraude. A vus de nez, il était plus petit que moi. Il avait un air calme, un visage neutre.

-Veuillez excuser cette procédure. Me dit-il d'une voix calme. Nous n'avons jamais été confronté aux militaires, mes frères ont surement paniqués.

J'hallucinait. J'avais l'impression qu'il me parlait comme a un repas amical. Il était...beaucoup trop a l'aise pour prétendre n'avoir jamais avoir affaire a l'armée. En s'approchant du plan de travail a l'opposé de la table, il poussât le chariot d'instrument qui arrivât vers ma main. Les attaches étaient solide mais me laissaient bouger les mains. Je put attraper un bistouris du bout des doigts, le ramener sous mon bras, et le cacher en attendant le bon moment.

-Vous vous rendez compte que je suis totalement inoffensive?

Il ne répondit pas directement, je le vit, ou du moins entrevoyait depuis mon point de vue, glisser quelque chose dans un verre d'eau, remuer l'eau, et boire le tout en grimaçant. Etait-il malade?...élaborait-il un remède nécessitant des enfants?...

-Vous l'êtes actuellement. Et je crois également deviner que vous êtes personne ouverte a la diplomatie. Dit-il toujours sur un ton des plus neutre en s'approchant. Je vais vous detacher, pour que nous discutions. Mais avant.

Il tendit la main vers la mienne.

-Le bistouri que vous avez sous le bras

J'ouvrir grand les yeux. Il m'avait vus?

-Non je ne vous aie pas vus. Et non je ne lit pas dans les pensées. Déclarât-il avant même que je le pense. Mais, vous ne vous sentez pas en sécurité, et me prenez pour un ennemis. De plus en poussant le chariot il a atterit a portée de votre main, avec laquelle vous avez attraper le bistouri pour le cacher.

-...Vous avez déduis tout ça? Demandais-je étonnée.

-C'est un simple calcul dans lequel j'ai prit en compte votre mental. J'ai aussi trouver d'autre résultat de situation. Il se penchât. Je pourrais même calculer ou chacune des gouttes de mon sang atterrirait lorsque vous planterez la lame dans ma gorge.

Je déglutit. D'ordinaire, j'aurais penser tout cela impossible, et qu'il tentait de me faire peur. Cependant...il avait un tel sérieux en déclarant tout ça. Et déduisant également ce que j'avais fais. Je soulevait mon bras et fit glisser le bistouris dans sa main.

-A la bonne heure.

Il reposât l'instrument sur le chariot. Et défit mes lien. Mais aussitôt fait il plaquât mon bras contre la table, j'avais a peine commencer a le lever.

-Une discussion se passe mieux si aucun des deux partis ne frappe l'autre.

Je restât silencieuse, et tournât la tête. En effet j'allais le frapper. Il attendit quelques instant et lachât mon bras, puis défit les liens de mes pattes. Puis, tandis que je me relevait, il reculât de quelques pas. Je pût constater qu'il était...petit. Par seulement par rapport a moi qui suit déjà bien grande, il faisait deux têtes de moins que moi. Voir meme deux têtes et demi. Je me sentis légèrement...frappée dans mon ego d'officier que quelqu'un d'aussi petit m'aie maitriser. Enfin...je doute que ce soit lui qui m'ai assommé. Je ne le vois pas du type a se "salir les mains". Plutôt celui qui donne les ordres.
Il tendit à nouveau la main vers moi. Mais pour échanger une poignée de main.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 05, 2019 ⏰

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