Skies on fire

Les enfants perdus

Il fût plus qu'évident que nous ne pouvions atterrir dans ou directement a coté de Potemk. Nous atterrissons alors derrière une colline. J'avais déjà en tête de me faire passer pour une jeune manchot. J'envois déjà quelque hommes a la ville acheter discrètement certains vêtement. J'en charge d'autre de surveiller le zeppelin quand nous partiront.

Potemk...c'est le début du nom d'un navire de guerre cuirassé humain nommé Potemkin. Cette ville s'appelle ainsi, non pas parce que c'est le berceau de ce cuirassé, mais car c'est un important chantier naval. Il prend toute la coté de la ville, et se prolonge encore sur quelques kilomètre hors de la ville vers l'ouest. En période d'été et de chaleur, si les habitant veulent se rendre a la plage, ils doivent parcourir 1 ou 2 kilomètres vers l'est pour n'avoir aucun danger. Cette plage en question se situe également dans une crique, ce qui assure une certaine tranquillité.

Cette ville également n'est mas grande supportrice de l'armée de l'air, comme vous l'aurez compris elle est plus avenante envers l'armée de mer. Je n'y ai jamais mis les pattes en temps que commandante. Je n'airais donc aucun risque de me faire reconnaitre. Ce seras parfait pour mes investigation. Prions pour qu'elles soient fructueuses.

Mes hommes reviennent enfin. Avec plusieurs paquets de vêtements.

-Vous n'avez pas eut trop de mal?
-Pas tant que cela. Juste des regards dédaigneux de certains vieillards.
-Moi j'ai dut faire 3 magasins car ils refusaient de vendre a l'armée de l'air...

J'eut un léger sourire et ouvrir le paquet que l'on me tendis. Un châle, une chemise, un pantalon de toile ainsi que des sandale. C'était parfais...l'ensemble était même très jolis. Je le garderais pour mon civile.

J'allât me changer a l'infirmerie. Commençant par retirer ma prothèse, puis me mit nue. A mesure que je m'habillais mes yeux balayaient les étagères fermées de médicaments, instruments et autre. Dans le doute, sait-on jamais, je prit un flacon de morphine et une petite seringue faite pour les injections rapide. Ainsi je ressemblais a une banale citoyenne. Et retournât avec mes hommes.

-Messieurs! Dis-je d'une voix forte. Nous allons nous organiser de cette manière: je vois choisir l'un de vous pour jouer mon mari, nous ferons semblant d'être en couple et prendrons une chambre dans une auberge. Les autres se relaieront pour glaner des infos, en faisant croire qu'ils sont de passage. Je sortit par la suite une petit radio de communication. Je resterait avec mon "mari" a l'auberge et communiquerait avec vous chaque soir.

-Et votre prothèse?

-Je la cacherais dans un sac parmi d'autre affaires. Maintenant je vais choisir mon mari...toi!

Le renard, soldat simple, que je venais de pointer se mit a rougir.

-M-moi? Balbutiât-il.

-Oui toi. Allez change toi.

Toujours aussi rouge, il se changeât. Recevant des tape sur le dos et petit sifflement. Je l'attendait dehors. Avec un sac a roulette contenant entre autre ma prothèse et mon uniforme. Il arrivât ensuite, costume et pantalon de velours, chemise, et béret. Je lui tendit mon bras, il y passât le sien et prit le sac. Nous nous miment-en route

-Comment avez vous perdus votre bras?

Je le regarde en haussant un sourcil.

-eh bien...tu le sais. Le loup ble-

Il me coupât.